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Le Vrai visage
2.500CFATitre du livre : Le vrai visage
Le mariage n’est ni un objectif ni une fin en soi, mais c’est plutôt une étape dans l’existence de deux êtres. Il n’est jamais un océan tranquille. De ce fait, il exige de rester attentif, de continuer ou de renouveler quotidiennement le don de soi à l’autre.
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Une aile commune chue
1.500CFATHEÄTRE
Devant la certitude de la mort, quelle attitude faille-t-il garder ? Rester passif en bon stoïcien (comme cara) ou se révolter à la camus. Le relationnisme peut-il servir de paradigme solutionniste à toute problématique ? Voilà autant de questions (philosophiques) dont cet opuscule pourtant essentiellement littéraire se veut être l’illustration. En effet, cette jeune plume qui n’est qu’à sa première tentative(expérience) donne des raisons de croire en une relève assumée et assurée. Avec une finesse et adresse alertes et allantes, l’auteur dans cette pièce remet la contingence qu’impose la versatilité de la vie sur tapis en syntonisant allure poétique et pertinence thématique qu’une bonne maîtrise du patrimoine stylistique porte à son faite. Il n’en fallait pas moins pour conduire Lily, L’aile au jour où il finirait par cesser de battre, le jour où elle chut(choit).
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Le Bal des bouffeurs
2.500CFADans ce roman, le narrateur découvre après des années d’études scolaires et universitaires, entièrement théoriques, qu’aucun avenir ne s’offre à ses diplômes. Avant de vivoter, il devrait retourner à la terre qu’il a abandonnée des années durant. Dans ce pays où l’entreprise de taxi-moto embauche des dizaines d’employés au quotidien, le Secteur privé, grand pourvoyeur d’emploi agressé et asphyxié.
Alors que les mains de nos dirigeants sont toujours tendues à l’occident, L’Afrique réclame sa souveraineté hypothéquée par l’inaction et la mauvaise gouvernance. Les mêmes problèmes se déplacent depuis les indépendances, alors que ta population augmente exponentiellement.
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La déesse mère destinée
3.500CFA…Le suspens était à son comble. Le silence se fit. Qui allait le briser. Stupeur ! Emotions ! Tobi ne comprenait rien de rien. Il ramena son regard vers Sèna.
Qu’est-ce qui n’allait pas chez Sèna pour qu’on le regarde de la sorte…
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La perte
1.500CFALa perte.
Il faut perdre les mots pour peut-être espérer gagner ou échouer dans la quête quotidienne du bonheur longtemps recherché en vain. Hermann Yao KOUASSI perd les mots des mots de la langue de Molière (…) .En vérité la poésie d’Hermann marque toute son africanité au détour d’image, de musique mais aussi de sursignification. Dans ce recueil de poèmes, il dénonce tam-tam en main, les maux qui minent l’Afrique, le désespoir qui s’empare des cœurs, la ruine des valeurs de base comme reconnaissance.
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Parole citée
2.500CFAEt la rosée inspira dix-sept plumes. Qui eurent la fraîcheur matinale non pas dans des brumes. Mais sous des lumières rutilantes. Pour égayer les yeux et les cœurs assoiffés de lignes limantes. Ils leur demandèrent de boire le fruit de cette rosée.
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Exercices de gestion des Ressources Humaines
6.000CFA53 exercices avec des corrigés détaillés pour vous entraîner à pratiquer la Gestion des Ressources Humaines.
Ce livre vous met ainsi en situation d’appliquer les principes et les mécanismes fondamentaux de la GRH appris dans votre cours, puis de vérifier leur bonne application.
Les thèmes suivants sont abordés successivement avec des exercices variés suivis de corrigés détaillés :
• le concept de GRH ;
• le recrutement ;
• la gestion des carrières ;
• l’évaluation ;
• la formation ;
• la GPEC ;
• les rémunérations ;
• le temps de travail ;
• les risques professionnels ;
• les relations sociales ;
• les défis pour la GRH.
L’ensemble constitue un véritable outil de travail et d’entraînement pour l’étudiant qui prépare un examen de Gestion des Ressources Humaines dans le cadre d’une formation de l’enseignement supérieur en gestion
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Vodou : la Forteresse d’Espérance
10.000CFALa civilisation vaudou va faire gagner l’Afrique. Lorsque l’Africain, de bonne foi va se fortifier dans sa culture et dans sa spiritualité et s’engager au travail avec audace et créativité, le développement prendra corps. Tu verras !
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Quelques clés d’IFA…
5.500CFATitre complet: Quelques clés d’IFA. Sagesse existentielle du Golfe de Bénin
IFA, sans embrouille ni mystère !
Pour édifier les esprits ouverts, voici des explications claires sur une science millénaire. Science à trois branches et socle de la civilisation yoruba, le système IFA est inscrit au patrimoine culturel immatériel de l‛humanité. Sa sagesse existentielle recèle une éthique de compassion solidaire, basée sur la tempérance et l‛humilité, la solidarité et l‛équité.
Avec pédagogie et poésie, LPP expose la moisson d‛une quête patrimoniale de
profane curieux : 16 planches de salut extraites par thème (chap. 1 et 2), comme échantillon du corpus des 256 leçons allégoriques d‛une sagesse millénaire, codifiée par une écriture hexadécimale binaire, préfigurant l‛informatique (chap. 3). Enfin d‛ouvrage (chap. 4), quelques réflexions de morale universelle sont partagées.L‛auteur tire de son héritage culturel, jugé obscurantiste par ignorance, un outil pratique de développement humain et communautaire. Voici enfin une explication claire d‛une science complexe, pour édifier les esprits curieux et ouverts.
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OUIDAH : La Mémoire Silencieuse
12.500CFAL’auteure évoque les ramifications qui lient et relient Ouidah, ses habitants et ses patrimoines à d’autres communautés et peuples Outre Atlantique, notamment au Brésil, à Cuba, aux USA, à Haïti, aux Antilles et aux Caraïbes.
Ce livre est une invitation à la découverte, à une immersion sur les lieux et les sites pour partager avec des communautés, et vivre « in situ » la richesse et la variété de leurs terroirs.
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Ordalies
4.000CFALes mémés sexagénaires, les baronnes ménopausées (BM), servent également la joie ! Valère Vignigbè « Mal dans l’âme »
Sa fraîche peau de vingt-trois ans était pulpeuse comme un fruit mûr d’acajou: Ismael Ichola, « la petite calebasse d’espoir »
C’est vrai que je suis différent mais bon ! je ne suis qu’un monsieur accoutré d’un jarabu balafré de noir: Djamile Mama Gao, « messe d’action de fuite »
La peur le tenaillait et la sueur coula le long de ses tempes. De quoi avait-il peur ? Yves Modiano
Biaou, « Grand frisson »Tiens cette noix de cola. Tu en croqueras un peu et tu deviendras bel homme: Daniel Atrévi, « le mendiant »
Soumaila, le frère de Moktar, est resté prisonnier des islamistes pour avoir explosé le front à l’un de leurs responsables au cours de la lapidation. Hurcyle Gnonhoué, « étouffé dans le sahel »
Tu redoubleras d’ardeur. Tu dansas, petit ver d’eau solitaire. Tu dansas pendant près d’un quart d’heure, puis soudain tu t’arrêtas. Rodrigue Atchaoué, « Cœur de rasta ».
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Odalisques
3.000CFAQuoi qu’il en soit, ces poèmes me parlent en tant que négation de l’anecdotique ambiant érigé en loi morale jusqu’au sommets les moins soupçonnables.
Extraits de la préface de Camille Adébah Amouro
Voici la génération Antée à laquelle mère Gaia prophétise immortalité, sur terre, et pas seulement. Dans les airs aussi. Ce ne sont que des tigrons. Mais, nom d’une mère, dans leurs griffes, il y a une mer… extrait de la postface de Constantin Amoussou
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L’Os du silence
3.000CFAUne poésie du silence. Des mots sourds-muets qu’on égrène, tels des grains de maïs à la bonne saison. L’écrivain prouve, ici, dans cet ensemble, qu’il est poète avant d’être romancier et nouvelliste.
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La perle du Sahara
4.000CFAFièrement, Wangaharo s’approcha de sa femme et lui proposa :
-Bori, permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante têtes de vaches comme moussouforey.
Celle-ci répondit calmement :
-Mon cher frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la vénération d’une déesse
Le prince Wangaho s’éprend éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale. Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestraux où la parole est tout un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui conférer la forme voulue.
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Passionné(e) s
5.000CFAC’est l’histoire de ma famille, d’une dynastie me diriez-vous. Intrinsèque. Voilà l’histoire qui coule dans mes veines, l’histoire de mon sang résumé en quelques mots. Une histoire réduite à une goutte de sang éclatant, cramoisi. Une goutte de sang entraperçue entre mes lèvres balbutiantes et à peines formées. Une goutte forçant ma bouche à compter…
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Meurtre à la pendjari
4.000CFALe corps d’une jeune femme est retrouvé calciné dans le parc de la Pendjari. Tout porte à croire qu’il s’agit d’Anaïs Vezinou, vedette de la chanson et cliente de l’Hôtel du parc. Tout et tous accusent Sylvère Yémalian, son époux. Au même moment, les présidentielles s’annoncent à Cotonou, les tractations pour l’alternance au pouvoir s’annonce âpres. Et ce tragique accident pourrait nuire aux ambitions présidentielles de Stanislas Vézinou, père d’Anaïs, et bouleverser les plans du parti au pouvoir.
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L’ivrogne de la sorbonne
5.000CFA« …En attendant la promesse de l’aube à la Colince de Yann, vous lirez les textes qu’il a rassemblés ici pour nous. Il a un beau style joliment drapé dans un bel humour. J’ai lu chacun des textes avec tendresse pour les personnages, avec reconnaissance envers l’auteur. Colince Yann a du talent. Je vous le recommande » Roger Gbégnonvi
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Eclats de vers
5.000CFAHey baudelaire
Au cœur des fleurs du mâle,
J’ai pu effleurer
Les sens parfumés de la mienne
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Trop de diables sous leur jupe
4.000CFANous avons écrit Trop de diables sous leur jupe à deux : Une femme et un homme, un Européen et une Africaine, une Noire est un Blanc, de sexe, de culture et de sensibilité différents. Entreprendre une co-écriture à égalité, c’était emprunter un chemin long et difficile. Après coup et non sans quelques inévitables, conflits, nous sommes devenus incapables, l’une et l’autre, se distinguer les coutures de nos contributions respectives.
C’est cet échange, nécessairement lent et complexe pour éviter les malentendus, qui permet à chacun de nous prendre une distance avec ses habitudes de pensée ou de comportement, de créer, couche après couche, une écriture commune, vivante et imagée, parfois émaillée de proverbes ou d’expressions en fon, en mina ou en yoruba pour donner du relief à la langue.









