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L’affaire BISSI
Fari, Funmi, Kadara, Rissi, Tobi, cinq personnages trempés dans de sulfureuses intrigues,
confrontées chacune à des situations extrêmes où se mêlent visible et invisible, rationnel et irrationnel, naturel et para-naturel et où, sur fond d’humour noir, l’amour côtoie non seulement l e religieux et le sacré mais aussi et surtout l’horreur et la mort. -
La Naissance de Fa : L’enfant qui parle dans le ventre de sa mère
Avec la Naissance de Fa que nous offre ici Mahougnon KAKPO, nous sommes dans ce double contexte. Onze récits révèlent, sous forme de tableaux ou de sketchs, une dimension de la sagesse béninoise, c’est-à-dire le sens, la signification, le pourquoi des choses, l’origine invisible de leur visibilité. Il s’agit notamment d’un ensemble de textes oraux, bien structurés et d’ampleur variée, exposant les origines mythiques du monde, de la vie, de la mort du bien, du mal…
Un d’entre eux nous enseigne une sentence proverbiale placée en exergue, comme pour tous les textes, proclame une parole de Fa : « A force de persévérer, le lépreux se remettra de son mal, l’infirme guérira de son infirmité, comme l’aveugle guérira de sa cécité ».
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Le cid
Rodrigue et Chimène s’aiment et s’apprêtent à se marier. Mais lorsque le comte de Gomès, le père de Chimène, donne un soufflet à don Diègue, celui de Rodrigue, c’est au jeune homme que revient le devoir de laver, dans le sang, l’outrage fait à son vieux père. Rodrigue a « du coeur », mais il ne sait que faire : mourir sans offenser Chimène ? Se venger et la perdre ? Cruel dilemme. Le Cid est un poème amoureux. Corneille raconte l’histoire d’une jeunesse que ses aînés condamnent au renoncement et que les sentiments poussent à la révolte. • Objet d’étude : Dire l’amour ; Individu et société : confrontation de valeurs ? • Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes • Prolongement : La querelle du Cid Classe de quatrième.
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Le gong a bégayé
En sortant [de la représentation de ce régal composite d’histoire, d’art, et de culture], on reste marquer par l’intensité dramatique qui a été embrayée (avec le scandale du gong qui a bégayé au ‘’premier symbole’’), maintenue et propulsée à son pic (aux deuxième, troisième, quatrième et cinquième ‘’symbole) dans une logique imparable de gradation ascendante ou si l’on veut de colère ascendante du Roi, avant de chuter en douceur dans une atmosphère de communion, d’entente mutuelle avec le ‘’symbole final’’.
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Le malade imaginaire
Convaincu d’être atteint d’une grave maladie, Argan ne peut se passer des médecins. Il rêve donc de voir sa fille Angélique épouser un docteur, Thomas Diafoirus. Sauf qu’Angélique aime Cléante et refuse le choix de son père. Ce dernier, ulcéré, décide alors de la déshériter au profit de Béline, épouse hypocrite et odieuse marâtre. Mais c’est compter sans l’aide providentielle de Toinette et Béralde, qui s’ingénient à faire triompher la cause des amoureux !
Dernière œuvre de Molière, cette comédie-ballet en trois actes a connu un grand succès du vivant de l’auteur et reste aujourd’hui encore l’une des pièces les plus célèbres du dramaturge.
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Le médécin malgré lui
Pour se venger d’avoir été battue par son mari Sganarelle, Martine le fait passer pour un médecin, mais si fantasque qu’il faut le bastonner pour qu’il accepte d’exercer son art. Contre toute attente, ce médecin malgré lui fait merveille. Au mois d’août 1666, la pièce rencontre un succès éclatant devant le public du Palais-Royal. C’est que Molière, au sommet de son art, combine avec éclat le vieil héritage de la farce française et la leçon de la commedia dell’arte, non sans emprunter à ses propres pièces antérieures. Simple assemblage de sources diverses ? Certainement non, mais une pièce construite pour mettre en valeur les exploits de Sganarelle joué par Molière lui-même, une pièce dont l’allant ne faiblit jamais et où le génie du dramaturge – acteur, farceur, metteur en scène – n’oublie jamais l’action. Lui-même nous l’avait dit : « Les comédies ne sont faites que pour être jouées. »
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Le rêve étranglé
Dans ce recueil de onze nouvelles, Eustache Adétona Prudencio met en exergue les traditions africaines, leur influence sur la vie des gens, leur complicité et leur richesse. Il transcrit plus particulièrement avec justesse et humour, des aspects de la culture béninoise, à travers des portraits et des situations croustillantes. L’auteur se place ainsi en ardent défenseur des valeurs propres à sa culture, et en conteur des valeurs universelles telles que la lutte contre le racisme, où chacun pourra identifier des rêves, avoués ou étranglés.
Cet ouvrage associe donc le plaisir de la lecture à une réflexion plus profonde sur la société africaine. Un régal instructif à découvrir, une envolée onirique aux accents réalistes, qui s’adresse à tout public.
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Les tresseurs de corde
Lorsqu’on est révolutionnaire pur et dur, qu’on occupe un poste important dans l’équipe qui a pris le pouvoir pour conduire au bonheur un pays » sous développé « , selon des principes idéologiques infaillibles, quels événements peuvent du jour au lendemain faire basculer votre destin et vous amener à vous remettre en question ?
C’est à ces interrogations que répond Trabi, le héros du dernier roman de Jean PLIYA, Les Tresseurs de corde.
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Perles d’émotion
Un ouvrage à nouveau, qui s’adresse d’abord à la tendre jeunesse, Avec pour partage la nature, les rêves, les peines et les joies de la vie.
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Pour une poignée de gombos
Julienne, va dans le champ de ton oncle me cueillir une poignée de gombos, s’il te plait !
Ordonna Baïe à sa fille.
En obéissant à sa mère, Julienne pouvait-elle se douter qu’elle allait à la rencontre de son destin ? Et que la cueillette de légume marquerait le point de départ d’une romance avec Tony ?
Baïe comme Julienne était loin d’imaginer que ce jour s’était levé pour renverser le cours normal de la vie familiale, notamment celle de Julienne et celle de sa sœur aînée, Régisette. Et que ce jour, en somme, apprêtait un funeste voile à étendue sur les différents intervenants dont les chemins vont se croiser, au point d’être à l’origine d’une fonction détonante entre deux mondes parallèles…
Le sort de toute une lignée va se jouer autour d’une poignée de gombos. Une tragédie béninoise qui prend sa course à Akiza, dans un champ de gombo, le long d’une voie ferrée…
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Pourquoi le bouc sent mauvais et autres contes du Bénin
Découvrez de merveilleux contes sur le Bénin
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Serment d’abstinence
Deux collègiens, Olaoyé et Lyabo, sont épris d’un de l’autre. De cet amour banal est censé naître une expérience pour les deux tourtereaux dont l’idéal sentimental est, pour leurs proches, condamné à se heurter aux épreuves de la vie. C’est la fable de Tristan et Yseul.
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Une si longue lettre
Au long des pages, la sensibilité n’est que menue monnaie. Chaque page, chaque paragraphe, chaque phrase presque, met l’accent sur un aspect important de la société sénégalaise, dont les soubassements culturels se trouvent exhumés, expliquant conduites et attitudes. Un grand roman africain est né, et au-delà, une grande romancière.
- Prix Noma 1980
- Traduit en 25 langues
- Sélectionné 3ème parmi les 100 meilleurs livres africains du 20e siècle.