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Les mille commandements
4.000CFALes mille commandements est un roman de jeunesse qui expose les méandres du libertinage.
Un miroir de la nouvelle génération.
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Kéréwa
4.500CFADans ce recueil, les différents contes à valeur ludique et enseignante demeurent un véhicule de connaissances, un moyen de transmettre le savoir. Ils mettent en exergue des valeurs: le travail, la fraternité, l’amour, la justice, l’unité, la solidarité…; ils dénoncent les comportements néfastes : l’orgueil, la jalousie, la méchanceté, la maltraitance, l’avidité de riches notables… Ils expliquent aussi l’origine de certains rites et coutumes. Kéréwa donne à découvrir, avec un grand plaisir de lecture, une partie de l’histoire et de la philosophie du pays Kabyè.
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La bataille du désert
7.000CFAUn calme jamais ressenti auparavant embrassait depuis peu les alentours. Il était vingt heures ou vingt et une heures; Dodji n’avait pas d’horloge pour confirmer son appréhension du temps. Mais la face argentée de l’astre de la nuit l’en convainquait. Pour la première fois depuis sa descente ici, les geôliers avaient tous abandonné leur poste, à l’exception d’un obstiné qui avait, malgré tout, regagné sa position sur le mirador d’à côté. Mais comme si les cieux étaient complices, il venait de dégringoler, sa kalachnikov après lui. Pour la première fois, les projecteurs ravalèrent leur netteté capable de rendre jaloux le jour. Pour une fois, le roc de système de sécurité venait de se mesurer à un colosse, elle était actuellement en sourdine. Dodji dénota fièrement qu’il s’agissait là des effets de l’eau-de-vie, le liquide précieux, ami des bouteilles et ennemi du ventre, la graisse du palmier, le sotoni, ce liquide aux sobriquets interminables, lesquels il faudra une nuit entière pour recenser, tant ses merveilles sont innombrables.
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Les nouveaux contes d’Amadou Koumba
5.000CFALes 13 contes qui composent ce recueil racontent les aventures de personnages appartenant à la littérature orale d’Afrique de l’Ouest, humains ou animaux, tels, Leuk le Lièvre, Bouki l’Hyène, etc….
Les uns et les autres sont décrits de façon vivante avec l’accent mis sur leurs qualités et leurs défauts. Chacune de ces histoires donne ainsi à réfléchir sur le comportement des uns et des autres, invitant à la manière des fables, à tirer des leçons de vie de chaque mésaventure.
Cet ouvrage résulte de la transcription par Birago Diop, des contes racontés par le griot Amadou Koumba. Ils sont devenus des classiques de la littérature de l’Afrique de l’Ouest.
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Les contes d’Amadou Koumba
5.000CFALes 19 contes qui composent ce recueil racontent les aventures de personnages appartenant à la littérature orale d’Afrique de l’Ouest, humains ou animaux, tels Fari l’Anesse, Golo le Singe, Khary la femme bossue, Ngor le Sérère, Leuk le Lièvre, Bouki I’Hyène, Maman-Caïman, etc …
Les uns et les autres sont décrits de façon vivante avec l’accent mis sur leurs qualités et leurs défauts.
Chacune de ces histoires donne ainsi à réfléchir sur le comportement des uns et des autres, invitant à la manière des fables, à tirer des leçons de vie de chaque mésaventure.
Cet ouvrage résulte de la transcription par Birago Diop, des contes racontés par le griot Amadou Koumba. Ils sont devenus des classiques de la littérature de l’Afrique de l’Ouest.
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L’homme aux chaussettes rouges
30.000CFAUn livre sur la vie d’un leader générationnel, engagé, homme de conviction qui marque son époque. Un beau cadeau livré pour que toutes les jeunesses puissent s’en inspirer. Un travail admirable fait par lécrivain Pacôme Christian Kipré cadre à la direction des affaires scolaires de la ville de Paris et le sujet du livre Stanisłas Zézé-Tebily, PDG de Bloomfield Investment Corporation. Stanislas Zézé l’homme aux chaussettes rouges un instrument littéraire, scientifique, sociologique transformationnel qui inspirera plus d’un afin que l’Afrique reprenne ses couleurs par ses pavillons, armoiries et autres symboles qui aujourd’hui doivent scintiller par une attitude comportementale et mentale des valeurs.
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Etha contest
7.500CFAHuit histoires d’ici. Huit intrigues de tous les jours, puisées de nos quartiers, aux abords de nos maisons, à la lisière de nos vies, du fond de nos cœurs. Une fois encore, l’écriture vivace d’Habib Dakpogan incise, avec son humour pince-sans-rire, quelques abcès bien douloureux de notre tissu social. Ce livre au titre énigmatique est comme une fresque des dépendances, un dessin triste et drôle du Béninois enchaîné qui vit en chacun et en chacune de nous. Il est aussi l’écho de l’espérance surprenante qui combat le désespoir.
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Une cible dans le dos
10.000CFALe dauphin du Président de la République du Bénin fut retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel en plein congrès du parti. Un célèbre journaliste politique fut, lui, retrouvé mort, d’une balle dans la tête, quelques heures plus tard. Le Capitaine de police Shade SOGLO eut du mal à croire à une coïncidence quand il retrouva dans la gorge du journaliste, une boule de papier sur lequel, il lut le mot S.H.U.T. Le même qu’il avait retrouvé sur un tir bouchon dans la loge du Premier Ministre dont les médecins avaient lié le décès à une crise cardiaque. S.H.U.T! Le Capitaine SOGLO se souvint d’une affaire du genre, dénommée la veuve noire, il y a sept ans alors qu’il était au début de sa carrière. Il avait sa petite idée mais était seul. Cependant, quand son supérieur perdit la vie dans un accident de circulation alors qu’il détenait une preuve, pour corroborer ses dires, il se tourna vers la seule personne capable de lui apporter des réponses, le Lieutenant-Colonel Karl SENOU. Sauf que le Capitaine n’avait aucune conscience de la trajectoire qu’allait prendre désormais sa vie.
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Un lotus aux yeux de mer, suivi de Les rides de mon cœur
3.900CFAPar-delà l’autotélicité, ce florilège de vers intimistes et télépathiques, tout en magnifiant les connotations de l’azur, dessine une symétrie du silence chaotique par rapport à la parole vitale et manipule, sans les voiler à ceux qui savent lire la poésie rituélique prônée par le poète-dédicataire Mahougnon Kakpo, les codes de la circularité du mourir pour renaître :
« je refais le chemin à l’envers/ voici des jours que parle à mes souvenirs/toi mon autre/tu es dans tous mes rêves/ dans tous mes souffles/je ne t’ai jamais laissé loin de moil hier tu étais avec moi/demain tu seras encore là/pour cueillir le poème que je porte à la main » Daté Atavito Barnabé-Akayi
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XWÉDA VODOUN DAGBÉ
5.000CFALe Python royal est un serpent inoffensif et l’animal totem du peuple xwéda. Tout dans le Python est symbole. Son mouvement ondulatoire traduit la sinusoide que forment les deux principaux fluides énergétiques qui circulent dans tout l’univers et dans l’organisme humain…
La tradition xwéda est l’héritage des connaissances appartenant à l’humanité et à l’Égypte antique en particulier. Elle est transmise pour comprendre l’univers, découvrir ses lois et ses forces, forger la conscience par analogie à la Divinité suprême.
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Dictionnaire Fon – Français
12.000CFACe dictionnaire est le fruit du travail de deux missionnaires sma qui ont passé leur vie au Bénin et de beaucoup de collaborateurs béninois qui ont travaillé avec eux. Le Père Basilio SEGUROLA, (Vitoria, Espagne 1911-1987) commença ce dictionnaire en 1948 et y travailla 26 ans, en même temps qu’il enseignait dans le séminaire de Ouidah.
Le Père Jean RASSINOUX (Grosbreuil, France, 1932) arrive au Bénin en 1967, et, après avoir réalisé un dictionnaire Français – Fon en 1974, entre-prendre de réviser et compléter le dictionnaire Fon – Français du Père SEGUROLA à la fin de son séjour à Sagon (1995-2000).
Dans cette recherche ils se sont laissés porter par la passion pour une con-naissance toujours au service du dialogue et ils ont pris plaisir à un travail long et caché. Aujourd’hui, c’est nous qui avons la joie de publier ce dictionnaire où le lecteur que vous être peut trouver, dans les vibrations de la langue, la présence vivante des personnes qui ont créé parole et musique propres pour dire la vie du monde et rendre possible et agréable celle des hommes.
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AIMER, c’est mourir
6.000CFA— Ça nous fais donc onze suspects. En plus des domestiques.
Émilie hoqueta.
Zeynab haussa les épaules.
— J’ai bien dit onze. Personne n’est hors du panier. Pas même toi.
— Mais qu’est-ce que tu raconte ? Je… Je ne sais pas …
— Calme-toi, Émilie. Tu es un suspect. Ça ne te désigne pas d’emblée coupable. Tu étais là donc tu aurais pu la tuer, toi aussi ! Maintenant, il reste à savoir si tu l’as fait.Caricature parfaite de la beauté, Aimée était une énigme. De son vivant, elle ébouillantait les cellules grises de ceux qui croissaient son chemin. Il vous suffisait de la connaître ou de la croiser, ne serait-ce qu’une seule fois pour vous retrouver embobiné, en bien ou en mal. Sa mort ne changea rien à l’équation. Suicide, accident ou …autre chose ? La chute libre du haut de l’étage renseignait très peu. Émilie, sa seule amie, tenta de percer le mystère. Elle découvrira bien de chose et bien de personne qui, pourtant, avaient toujours fait partie de son quotidien. Elle se découvrira aussi,comme quoi, on ne se connaît jamais assez soi-même. Les méninges s’allieront à l’occultisme pour faire sortir les vérités du placard. Et si on allait assembler les pièces pour reformer le puzzle ?
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MON BAPTÊME ET MA PREMIÈRE COMMUNION
3.000CFALa porte de l’église ouvre à la porte de la foi dont le baptème est la clé. (…)
L’Eucharistie est ce qu’il y a de plus grand dans votre vie chrétienne.(…)
Il n’y pas d’église sans Eucharistie. Un chrétien sans Eucharistie manque tout et de tout.
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Senghor ou rien
5.000CFA« En tout état de cause, Senghor ou rien n’est pas la tentative d’une hagiographie de Senghor, poète ou homme politique, mais une exhortation à revenir aux fondamentaux de la formation scolaire, éducative et sociale. En faisant aimer le livre par tout son entourage, en s’imposant à l’école grâce à l’activité de lecture, en créant dans son environnement familial et social, un amour de la lecture, Kévin consacre et célèbre la vitalité et la préséance du livre. Le livre n’est alors pas un simple assemblage de feuilles, il est une expérience, un moyen de construction de nos vies, de nos identités individuelles et collectives. »
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Sagesse Contée Tome 1
3.200CFAL’ambition, en fait, n’est pas à décourager. Au contraire, partout doit-on la cultiver. Il faut la saine émulation raviver, Et le désir de triompher bien propager.
Mais les envies démesurées de dominer, Si elles ne sont par nul conseil maîtrisées, Finissent par leur auteur faire mépriser, Et au banc des accusés, il est confiné.
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Sagesse Contée Tome 2
3.200CFAConnais l’homme avant de lui faire confiance,
Connais l’homme avant de prendre sa défense. Connais l’homme avant de baisser toute garde, Car en l’homme, c’est ton malheur qui te regarde.
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Ainsi va la vie…
3.000CFAJe dois déjeuner avec mon père aujourd’hui. Cela fait un mois que je refuse de le voir et de lui parler. David m’a convaincue, et il n’y a rien que je ne ferais pour lui. Depuis cette fameuse nuit, nous avons commencé à nous voir. Je crois qu’il a vaincu ses peurs. À vrai dire, je ne sais pas de quoi il avait peur au juste. Et cette grande tristesse qui nourrissait son regard semble avoir presque totalement disparu…
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Walaandé
4.500CFANous passons notre vie à souffrir! Souffrir pour faire plaisir à nos pères, puis à nos maris, puis à nos enfants. Nous passons notre vie à penser aux autres quand personne ne pense jamais à nous. Nous passons notre vie pour les autres car en réalité nous n’avons même pas de vie.
Oui, c’est pathétique. On a beau construire ensemble, tout est à lui …
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Mistiriijo
4.500CFAGogo Aïssa, une attachante sexagénaire est injustement accusée d’avoir « mangé l’âme » de Moussa, le fils d’Alhadji Hamadou, l’homme qui lui a accordé l’hospitalité quand elle est venue s’installer à Mbarmaré. Aïssa fait face à toutes sortes de cruautés et d’humiliations. Femmes et hommes se ruent alors chez elle pour la forcer à « cracher » l’âme de Moussa afin que ce dernier ne décède pas.
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