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  • La déesse aux longs cheveux

    Quand amour rime avec bien matériel, vous vous croyez sur un petit nuage, tout vous sourit. Quand vous voyez fuir l’objet de vos désirs, tout devient noir, vous priez les eaux de vous engloutir. Marc et Ayélé, deux étudiants qui peinent à connaître le sens de l’amour et qui l’ont appris tardivement.

    Une intrigue amoureuse où réalités africaines côtoient modernisme et où le miel ne coulent pas éternellement.

    4.000CFA
  • La déesse mère destinée

    …Le suspens
    était à son comble. Le silence se fit. Qui allait le briser. Stupeur !
    Emotions ! Tobi ne comprenait rien de rien. Il ramena son regard vers
    Sèna.

    Qu’est-ce qui n’allait pas chez Sèna pour qu’on le regarde de la sorte…

    3.500CFA
  • La Désillusion de ces dames émancipées

    Maman Rosine ayant
    réussi à rabattre la porte et continuait tout simplement sa douche. Dans son
    coin. Le petit Junior âgé de quatre ans dormait d’un sommeil paisible. Sa sœur
    Rosine n’était pas encore de retour des classes. Une réflexion déprimante envahit
    Basile. Son épouse se plaisait à jouer à l’allumeuse et à quoi d’autre encore.
    Faillait-il la sortir de là et la bastonner pour se soulager un peu ?

    Basile se rappela
    tout de suite la dernière fois qu’il avait usé de violences à l’égard de son
    épouse : il avait payé six mille francs pour le certificat médical avant
    de s’en sortir, alors qu’il avait été poussé à bout. Ce soir-là, l’attitude
    pour le moins incompréhensible de son épouse le vidait de toute énergie. Il se
    souvint de leur première rencontre et de tout ce qu’il avait enduré de la part
    des beaux-parents pour obtenir sa main et pour l’épouser. Toutes ses économies
    y passèrent…

    3.000CFA
  • La dette éternelle

    Je tombais des nues au fur et à mesure que ma mère avançait dans son récit. Je me rendais compte que cette « dette » avait une dimension bien plus grande que tout ce que j’imaginais. Elle dépassait largement toutes mes estimations. Me rendre compte que tout ce que je vis, que je vivrai avait déjà été décidé depuis des générations bien avant moi me désarma. J’avais la chair de poule ! Mais pourquoi moi?

    2.600CFA
  • La femme au portefeuille

    – Ô impératrice des contrées charnelle, avance et soumet le monde à ta souveraineté enivrante. Nous, tes sœurs du cercle, t’emboîtons les pas. Nous avançons hardiment, épaules contre épaules, seins pointant en sagaies, yeux étincelants d’envie, sur les champs de bataille lubriques du monde. Là-bas, par les armes de la volupté et de la jouissance, tuons. Ainsi seulement, nous pourrons nous emparer de la totalité du pouvoir.

    – Oui, ma sœur, il est de la nature du pouvoir d’être total, il n’y de pouvoir nulle part, s’il y en a un débris égaré ailleurs. Et ce pouvoir total, les sœurs du Cercle, sous la conduite de leur Reine-mère Ramath, le conquerront. Que les Dieux dans l’ombre des choses, livrent ce pays entre nos cuisses.

    5.000CFA
  • La fillette aux camélias

    Ces vacances-là furent de loin les plus mémorables de toute mon enfance car j’allais faire la connaissance d’une fillette de mon âge. Tout mon petit être s’enflammera d’une passion sans pareille par la fréquentation de cette dernière. Je me consacrerai dans ce qui va suivre aux menus détails d’une idylle qui fit fleurir, le temps de cet âge candide, les parcelles de mon cœur non encore explorés par l’une des passions les plus raffinées et sans doute réservées à notre espèce.

    2.600CFA
  • La fortune du Diable

    Noël, un jeune immigré africain est passé à tabac par des hooligans blancs dans le métro de Londres. Un groupe de clochards qui étaient à proximité, intervient pour le sauver. Ayant perdu connaissance, Noël se réveille plus tard chez l’un de ses sauveurs, un mendiant. Le jeune homme découvre que sous ce manteau de clochard, se cache un homme puissant, se taisant appeler le Grand Baba – l’Etre Suprême – qui lui propose la richesse et le pouvoir, s’il acceptait d’être son « représentant » en Afrique. En acceptant ce pacte, Noël ne sait pas qu’il est désormais lié au diable qui fera de lui un homme riche, craint, mais aussi l’un des destins les plus tragiques de l’Afrique.

    Ce roman est une odyssée profonde dans le milieu et les souterrains des grosses fortunes et des pouvoirs inusables. C’est un faible moderne qui déconstruit le mythe des destins toilés sur mesure.

    1.800CFA
  • La jarre trouée

    Alors le roi fit signe à tous ceux qu’il avait nommés ainsi qu’à de nombreuses personnes de l’assistance et il leur dit de se grouper et de boucher avec leurs doigts les trous de la jarre. Et, quand tous les trous furent bouchés, le roi versa de l’eau dans la jarre et pas une goutte ne tomba. Puis il dit : regarder notre mère patrie est pareil à une jarre trouée. Si nous ne nous unissons pas pour en boucher les trous, elle ne peut retenir l’eau de la vie.

    12.000CFA
  • La Naissance de Fa : L’enfant qui parle dans le ventre de sa mère

    Avec la Naissance de Fa que nous offre ici Mahougnon KAKPO, nous sommes dans ce double contexte. Onze récits révèlent, sous forme de tableaux ou de sketchs, une dimension de la sagesse béninoise, c’est-à-dire le sens, la signification, le pourquoi des choses, l’origine invisible de leur visibilité. Il s’agit notamment d’un ensemble de textes oraux, bien structurés et d’ampleur variée, exposant les origines mythiques du monde, de la vie, de la mort du bien, du mal…

    Un d’entre eux nous enseigne une sentence proverbiale placée en exergue, comme pour tous les textes, proclame une parole de Fa : « A force de persévérer, le lépreux se remettra de son mal, l’infirme guérira de son infirmité, comme l’aveugle guérira de sa cécité ».

    3.500CFA
  • La nuit fatale : Tome I

    Ils sont beaux, jeunes, promis à un bel avenir et veulent échanger leurs vœux devant Dieu et devant les hommes. La veille alors que l’homme s’apprête à aller enlever sa vie de garçon en compagnie de ses amis, il fait un tour chez sa fiancée. Stupeur : dans la chambre, la future mariée est dans les bras d’un autre. Décomposé, révolte, le jeune homme accuse le coup, mais décide, contre toute attente, de célébrer le mariage. En lui, un plan se met en place. Jusqu’où ira-t-il pour nourrir sa vengeance ? Pourquoi faire souffrir l’autre alors qu’on n’est pas soi-même un exemple de vertu ?

    Dans le tome I de cette saga, les deux personnages se livrent, sans réserve, à un combat de nerfs. Si, pour l’homme, ce combat est physique et explosif, pour la femme, il est subtil et intérieur. Mais chaque pas posé par les personnages se transforme en conflit permanent, et chaque situation, en un volcan qui explose.

    1.800CFA
  • La nuit fatale : Tome II

    Séparé d’Hirankè, son épouse, Délé Craiq, patron d’une entreprise de BTP, pensait trouver le réconfort dans les bras d’une autre femme, en se lançant tout azimut dans les aventures extraconjugales. S’il rejette les avances de la fantasque Alero, sa secrétaire de bureau, il préfère les élans enfiévrés de Buiki, la jeune femme avec qui, la veille de son mariage, il pensait pouvoir enterrer sa vie de garçon. Mais Alero se sent presque « trahie ». Arrêtée pour trafic de stupéfiants, elle accuse Délé d’en être le commanditaire. La police appréhende le jeune homme et le fait incarcérer. Commence pour Hironkè, la femme répudiée, un véritable parcours du combattant afin d’innocenter son époux et le faire libérer.

    Dans le deuxième tome de La Nuit Fatale, l’histoire d’Hironkè et de Délé Craig se conjugue à coups de cris, de blessures et de larmes. Si, à des moments donnés, l’homme pense maîtriser les évènements, il se rend compte, à la lueur de leurs développements, qu’il n’en est que le jouet vulgaire et mécanique.

    1.800CFA
  • La nuit fatale : Tome III

    La saga de Délé Craig, PDG d’une grande entreprise et de son épouse Hironkè continu de se densifier. Dans cette troisième livraison, le couple vient d’avoir un enfant. Alors que tout semblait baigner dans l’huile, les démons du passé, insuffisamment ensevelis, reviennent en première ligne : il s’agit d’Alex, ancien escroc devenu riche de manière trouble et décidé à détrôner Délé à la tête de la société. Il y a aussi Mariam, la veuve d’Idriss, qui veut prendre une revanche sur le sort, parce que malmenée par la famille après le décès accidentel de son mari. Les deux personnages ont conçu un plan destiné à mettre en minorité les actionnaires de l’entreprise familiale et à imposer leur autorité. Mais Délé Craig, secrètement, préparer une riposte…

    Les turbulences, ici, semblent provenir de partout. Si elles ont quitté le couple Délé Hironkè, elles semblent s’être désormais installées dans le clan familial avec pour enjeu principal le contrôle de la société. Mais chacun fourbit son arme, prêt à assommer l’autre, du moins, à le mettre hors d’état de nuire.

    1.800CFA
  • La nuit fatale : Tome IV

    Délé est revenu à de meilleurs sentiments. Son épouse Hironkè qui lui a fait un beau bébé, semble avoir négocié une trêve avec ses démons intérieurs. La vie, chez les Craig, a retrouvé le parfum enthousiaste des lendemains qui chantent. Mais pas pour longtemps : Hironkè se retrouve du jour au lendemain à l’hôpital avec une grossesse extra-utérine. Pour le médecin traitant, il n’est plus question pour elle d’avoir un autre enfant. Le risque est grand, il en informe le mari d’autant qu’elle a déjà subi deux césariennes.

    Pour Délé, les interrogations sur le passé de sa femme refont brusquement jour. Depuis quand elle a subi sa première césarienne ? Aurait-elle eu un enfant avant lui et de qui ? Et si l’enfant existe, qu’est-il devenu ? Et pourquoi garde-t-elle jalousement ce secret ?

    De son côté, Délé est dans l’embarras ; il attend un bébé d’une autre femme, une de ses anciennes employées avec il folâtrait. Alors que sa mère s’en réjouit, lui-même se demande si ce n’est pas une erreur de trop. Pendant ce temps, Hironkè attend à la maison et compte patiemment les coups.

    1.800CFA
  • La nuit fatale : Tome V

    Délé vient de célébrer son deuxième mariage à l’insu de sa première épouse, Hironkè. Alors que la jeune mariée s’ennuie dans l’attente de l’enfant qu’elle accouchera bientôt, Mariam, la veuve de son oncle, commence à mettre au point la stratégie destinée à lui arracher Craigs Holding, la société familiale à la tête de laquelle trône le jeune homme. Mariam s’est adjoint les services d’Alex, son jeune frère revenu des Etats-Unis et enrichi dans des activités troubles. Peu à peu, l’étau se resserre autour de Délé qui empêtré dans ses histoires matrimoniales, ne voit pas venir le mal. Mais il y a comme l’ombre d’une bonne fée qui plane sur lui en la personne du détective privé Amzat qu’il a engagé à son service.

    Règlement de comptes, cinquième tome de La Nuit fatale, met un point final à cette saga familiale où, amour, argent, haine, trahison, rapprochent et en même temps divisent les personnages, véritable archétypes des figures du business moderne africain, dignes des caractères des grandes séries américaines comme Dallas ou Dynastie.

    1.800CFA
  • La perle du Sahara

    Fièrement, Wangaharo
    s’approcha de sa femme et lui proposa :

    -Bori,
    permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je
    t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante tête de vaches
    comme moussouforey.

    Celle-ci
    répondit calmement :

    -Mon cher
    frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens
    périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la
    vénération d’une déesse

                       Le prince Wangaho s’éprend
    éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à
    son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale.
    Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux
    roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestrales où la parole est tout
    un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui
    conférer la forme voulue.

    4.000CFA
  • LA PRINCESSE DU DIABLE

    Débarquant dans la précipitation, ma mère ne se rendit même pas compte que la chambre qu’elle avait pris soin de fermer à clé, il y avait a peine une heure, ne I ‘était plus. Elle tourna la poignée, la porte s’ouvrir instantanément. Elle s’introduisit et tomba pile poil devant le principal acte de la scène obscène. Interloquée, une exclamation, a peine audible, s’échappa de sa gorge.

    Seigneur !!! fit-elle les deux mains sur la poitrine. Dans le lit conjugal, sa fille de dix-sept ans était là, suant, en tenue d’Ève, activement rudoyée par ce solide quadragénaire. Lui faire ça a elle, mère vertueuse qui choisissait toujours les répétiteurs de ses filles parmi les professeurs les plus réputés pour leur intégrité morale … Ma mère perdit connaissance et s’effondra.

     

    1.800CFA
  • La rivale de Dieu

    Le roman « La rivale de Dieu » raconte l’histoire de Yin’dé, prêtre malgré lui.

    5.000CFA
  • La rue a aussi ses anges

    Yénounkoun écrasa un graillon tout près de moi. Je n’ai aucunement peur qu’il me contamine avec sa tuberculose, le rue ne m’a pas laissé grand espoir. Mourir d’une tuberculose serait un luxe dans les rues de Cotonou. Je n’ose pas m’en plaindre. Pas du tout. Je peux pleurer nuit et jour, la vie ne m’offrira rien de gratuit, j’en suis bien conscient. Elle en a décidé ainsi depuis l’époque de mes parents. Voilà d’ailleurs pourquoi j’ai horreur de prier. Je ne comprends même pas cette contradiction. Les mêmes dans leur chasuble ou veste allèguent …  Tout est accompli …, et pourquoi vais-je encore prier ?

    Dans ce livre foisonnant d’images se lisent et vivent les petites joies des enfants de la rue, et aussi leurs peines. Ces enfants qui ne sont rien d’autre que notre propre reflet, et qui n’attendent qu’une main.

    2.500CFA
  • La rue bleue

    Roland : je ne suis pas un hors –la-loi

    Koïgo : regarde petit .La ruelle juste derrière s’appelle Castino. Celle en trois s’appelle Révérend. Chacune des rues environnantes porte le nom d’un voleur .Une fois qu’on les a livrés au feu et que les flammes s’élèvent dans les cieux, la foule ferme les yeux et les jette dans l’oubli. Mais ce quartier ne veut pas oublier ses enfants .Alors, on monte une plaque sur le champ, et pendant que le marteau du menuiser bat la cadence au chant mortuaire des camarades, on y placarde le nom du rôti-celui que tout le monde lui connait –son sobriquet. Après ça, chacun rentre chez lui en espérant que le lendemain, une autre rue soit baptisée .Il n’y a rien à faire, la milice n’aime pas les voleurs.

    3.500CFA