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Tu seras ma passerelle…
S’asseoir sur le rebord de la vie et regarder passer le temps qui laisse derrière une grosse traînée de regrets.
Voir le temps faire du roller. Sauter d’harmattan en harmattan boire d’un trait les feux de brousse en un mot s’entraîner pour une pirouette au Cirque du Soleil.
Moissonner les étoiles pour en faire un collier à ton cou.
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La croix de la mariée
Bénita et Benjamin, amoureux, viennent de terminer leurs études et sont dans la vie active. N’est-ce pas que «l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux feront une seule chair » ? Ils y ont cru, mais c’était sans compter avec une belle-mère envahissante et résolument décidée à pourrir la vie à sa bru. Ce furent des hauts et des bas, désillusions, motivations ; si Bénita pouvait ne plus aimer son mari…
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Œstrogènes
Les œstrogènes sont des hormones féminines dont le rôle est d’induire le développement et le maintien des caractères sexuels secondaires chez la femme. Ce recueil reprend leur nom pour questionner la féminité, en rapport avec la problématique de la liberté.
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Vers ma patrie
Vers de ma patrie, de mes guerres lointaines qui étouffent rêves et convictions en soute reflets chimérique de mes espoirs en route dans le noir de la violence contemporaine.
Passionné de littérature et particulièrement intéressé par les questions de leadership, l’auteur est aussi formateur sur plusieurs thématiques sociétales et a à son actif la réalisation de plusieurs projets dans le domaine social et humanitaire. Il est marié et père de famille. Vers de ma patrie, son premier livre est certainement l’une des meilleures preuves de la rare sensibilité qui est la sienne vis-à-vis de son pays et de son histoire.
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La perte
La perte.
Il faut perdre les mots pour peut-être espérer gagner ou échouer dans la quête quotidienne du bonheur longtemps recherché en vain. Hermann Yao KOUASSI perd les mots des mots de la langue de Molière (…) .En vérité la poésie d’Hermann marque toute son africanité au détour d’image, de musique mais aussi de sursignification. Dans ce recueil de poèmes, il dénonce tam-tam en main, les maux qui minent l’Afrique, le désespoir qui s’empare des cœurs, la ruine des valeurs de base comme reconnaissance.
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Parole citée
Et la rosée inspira dix-sept plumes. Qui eurent la fraîcheur matinale non pas dans des brumes. Mais sous des lumières rutilantes. Pour égayer les yeux et les cœurs assoiffés de lignes limantes. Ils leur demandèrent de boire le fruit de cette rosée.
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Odalisques
Quoi qu’il en soit, ces poèmes me parlent en tant que négation de l’anecdotique ambiant érigé en loi morale jusqu’au sommets les moins soupçonnables.
Extraits de la préface de Camille Adébah Amouro
Voici la génération Antée à laquelle mère Gaia prophétise immortalité, sur terre, et pas seulement. Dans les airs aussi. Ce ne sont que des tigrons. Mais, nom d’une mère, dans leurs griffes, il y a une mer… extrait de la postface de Constantin Amoussou
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L’Os du silence
Une poésie du silence. Des mots sourds-muets qu’on égrène, tels des grains de maïs à la bonne saison. L’écrivain prouve, ici, dans cet ensemble, qu’il est poète avant d’être romancier et nouvelliste.
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Eclats de vers
Hey baudelaire
Au cœur des fleurs du mâle,
J’ai pu effleurer
Les sens parfumés de la mienne
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Les mots d’amour
L’ouvrage est centré sur un vécu quotidien et la vraisemblance d’un réel cri d’amour. Elle amène très adroitement, au fil des pages, le lecteur à voir la blessure et la souffrance des adolescents qui découvrent le grand Amour qui leur échappera tout aussi banalement.
La réalité que décrit Barbara n’appartient qu’au genre humain. Tout le monde, tôt ou tard, en fait les frais. L’auteur livre aux lecteurs sans faux-fuyants, ni dissimulation d’aucune sorte, ce que ressentent les jeunes amoureux. A cet âge, on est jaloux de ses sentiments que l’on dissimule dans son jardin secret. Barbara Akplogan termine son ouvrage.
Les mots d’Amour, par une mise en garde à la jeunesse insouciante. Elle persiste et signe : Le sida existe, il faut savoir l’éviter par un
comportement responsable. -
Comme un funambule
J’ai tout laissé au vent ,Craignant attachement,J’ai tout abandonné au temps,Craignant firmament,Aujourd’hui, je repeints ces mots,Les écumes les rendent vagues pour que le monde les voies,Et si à tort, art, j’ai mal usé de toi,Il me sera donné éternité pour t’écrire,Car mon devoir sera d’écrire l’art,De le souffler dans le saxophone si Manu,par son art et son rire m’ouvrent les cieux…
Myrtille Akofa HAHO est gestionnaire-comptable de formation.Auteur de plusieurs œuvres dont Odyssée accomplie en 2014, Escalades en 2016, elle est aussi coauteure d’anthologies et d’autres ouvrages collectifs..
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Art-Mots-Nid Coup d’éclat !
Lecteur auditeur, ne ferme pas les yeux avec lesquels du viens d’écouter Harmonie. Repars au lac, comme si tu lisais et vivais Lamartine que te suggère la première de couverture, et va au-delà d’une lecture jouissance du premier degré. Tu verras que tu dois vivre… et vivre, c’est s’appliquer, pour reprendre les mots d’Ese Baoulé à propos de la poésie dans Poésie africaine, magie de la langue, à « la respiration profonde de la nature humaine ».
Lire Harmonie, c’est se lire, se dire, Se dire, c’est se découvrir via la lyre. Se dire, c’est slamer…slamer… c’est vivre en harmonie avec son âme. Vis harmonieusement donc !
Très jeune diplômée d’un Master en Comptabilité, Contrôle et Audit, Harmonie Dodé BYLL CATARYA prit parallèlement à la gestion, le chemin de l’art depuis bientôt trois (03) ans. Emportée par le slam juste après sa nomination en tant que championne du « Bénin Slam 2013 », elle est présente sur des scènes nationales et internationales : Auditrice
Interne et spécialiste en méthodologie de recherche, Harmonie est aussi militante dans des ONG et promotrice du Festival International du Slam Théâtralisé (FIST). -
Dessins de silences
Un jour tu décides de faire parler l’Autre, l’homme du miroir, qui n’est qu’une façon d’aborder le grand silence qui te dévore jusqu’au premier bruit de délivrance : le poème !
Et zut, voilà que tu as écrit un poème, presque par inadvertance, par impudeur sans doute, mais toujours dans la douce peine de créer du corps, d’ordonner quelle prétention !
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L’écrivain qui s’essayait
Observer le monde. L’analyser. Le contempler. Puis faire part de ses réflexions à autrui. Telles sont les attributions de l’écrivain. Si ses expériences ne lui appartiennent plus entièrement, il en fait don avec plaisir.
Et se laissant aller à ses rêveries et à ses questionnements les plus intimes comme les plus universels, il devient tout à la fois penseur, poète, et guide, afin d’éclairer la terre de ses lumières…
Dans ce recueil de pensées aux accents poétiques, Fadel Kabassi propose au lecteur de partir à la découverte de son univers à travers un ensemble de textes aussi variés qu’harmonieux, couchés sur le papier avec une plume sincère et percutante. -
Fragiles
Après son premier recueil de poésies Eclats de vers, un succès de librairie et sur scène, Méchac ADJAHO propose une nouvelle expérience à travers Fragiles, fruit de ces lueurs, subtiles et vulnérables qui succèdent à toute explosion de lumière, à tout éclat de verre.
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Ecrin d’ivresse
Oui ! Je t’ai vu, Je t’envie Je te veux, Je te vis, J’ai ta langue, Je languis, Je joue oui! Je jouis. Lhys est écrivaine prolifique. Edison a le slam en plus.
Tous deux sont Béninois, jeunes, fous. D’écriture. Et là, de poésie. Le duo invite à prendre le risque de vivre le fruit d’un exercice d’équilibre, d’harmonie et de sensualité; un voyage de nuit , un voyage d’envies sous un ciel marbre de vers, un ciel de lettres qui salive de toute sa pluie.
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Le chant des vers
Ce soir-là, une histoire d’amitié, de transmission commençait son tissage entre la jeune Afrique et la vieille Europe… Il lui manquait juste un « vas-y » d’encouragement et elle, une braise sur laquelle souffler….Son inspiration a pris feu et vous avez le résultat sous vos yeux : Dominique Guibert de Villoutreys, Psychologue, accompagnante et enseignante certifiée PNL