Auteur: Bravo
De son vrai nom Abdou Maboudou Rahim, Bravo est titulaire d’une Licence en Anglais, Option Etudes Africaines à l’Université d’Abomey-Calavi du Benin. Le chant des vers est sa première publication
Editions: Savanes du continent
3.000CFA
Ce soir-là, une histoire d’amitié, de transmission commençait son tissage entre la jeune Afrique et la vieille Europe… Il lui manquait juste un « vas-y » d’encouragement et elle, une braise sur laquelle souffler….Son inspiration a pris feu et vous avez le résultat sous vos yeux : Dominique Guibert de Villoutreys, Psychologue, accompagnante et enseignante certifiée PNL
Auteur: Bravo
De son vrai nom Abdou Maboudou Rahim, Bravo est titulaire d’une Licence en Anglais, Option Etudes Africaines à l’Université d’Abomey-Calavi du Benin. Le chant des vers est sa première publication
Editions: Savanes du continent
SKU: | 005SAV |
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Catégories | Auteurs Béninois, Autres genres littéraires, Divers |
Étiquettes : | Auteur Béninois, littérature africaine, Poésie |
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Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette oeuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente oeuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.
Comment vivre un mariage lorsqu’on est géographiquement séparés ? Comment sauver son couple lorsque l’on retourne au pays pour s’inventer une nouvelle vie alors que l’autre préfère rester en terre étrangère, préoccupée par sa carrière professionnelle ? Que faire de chaque côté pour ne pas tomber dans les tentatives d’une aventure extraconjugale alors que l’absence de l’autre pèse sur soi autant qu’un boulet ?
Empêtrés dans cette balançoire de la vie à deux, entre la Côte d’Ivoire et le Bénin, Gohé et Antoina ne font rien pour éviter la rupture. Mais au moment où l’inévitable doit se produire, les deux parviennent à trouver la force nécessaire pour se réconcilier. Ce combat aussitôt terminé, se profite un autre, plus éprouvant incapacité pour eux de faire ensemble un enfant…
Aimer de Nouveau est un roman à tiroirs. Histoire d’amour, combat contre la solitude et l’intolérance d’une société arquée sur ses traditions, il apparaît surtout comme une initiation à assurer son destin, quelle qu’en soit l’issue.
Julienne, va dans le champ de ton oncle me cueillir une poignée de gombos, s’il te plait !
Ordonna Baïe à sa fille.
En obéissant à sa mère, Julienne pouvait-elle se douter qu’elle allait à la rencontre de son destin ? Et que la cueillette de légume marquerait le point de départ d’une romance avec Tony ?
Baïe comme Julienne était loin d’imaginer que ce jour s’était levé pour renverser le cours normal de la vie familiale, notamment celle de Julienne et celle de sa sœur aînée, Régisette. Et que ce jour, en somme, apprêtait un funeste voile à étendue sur les différents intervenants dont les chemins vont se croiser, au point d’être à l’origine d’une fonction détonante entre deux mondes parallèles…
Le sort de toute une lignée va se jouer autour d’une poignée de gombos. Une tragédie béninoise qui prend sa course à Akiza, dans un champ de gombo, le long d’une voie ferrée…
Quand on était petits, Comlan allait passer les congés chez ses parents à Aglimey, une ferme située à dix-sept kilomètres de Zougbomey. Et avant de partir, il m’informait qu’il se rendait à Harlem. Il y demeurait jusqu’à la veille de la rentrée, et revenait le sac bourré de provisions.
A Harlem, on cultivait le manioc, l’igname, la patate douce, le maïs et le haricot et rouge.
Deux destins que tout oppose se croisent : un bébé abandonné par Monique, une femme démunie et un couple riche en quête d’un enfant. Adopté, le bébé grandit dans ce foyer où par miracle un autre enfant naît. Déji. Amoureux, il ne vit que dans la certitude de l’épouser. Mais Jojo, c’est la fille de Monique, elle ne sait pas que son fiancé est le frère de lait de son propre demi-frère, Plus grave : les parents de Déji s’opposent à elle, arguant qu’une danseuse n’est qu’une femme de mœurs légères. Dans cette intrigue où l’on avance à tâtons les personnages deviennent des marionnettes aux mains du destin qui les instrumentalise et se joue d’eux.
Heureusement que l’amour est là. Puissant antidote contre les trajectoires imposées, il donne parfois à la vie des saveurs insoupçonnées.
Ils sont beaux, jeunes, promis à un bel avenir et veulent échanger leurs vœux devant Dieu et devant les hommes. La veille alors que l’homme s’apprête à aller enlever sa vie de garçon en compagnie de ses amis, il fait un tour chez sa fiancée. Stupeur : dans la chambre, la future mariée est dans les bras d’un autre. Décomposé, révolte, le jeune homme accuse le coup, mais décide, contre toute attente, de célébrer le mariage. En lui, un plan se met en place. Jusqu’où ira-t-il pour nourrir sa vengeance ? Pourquoi faire souffrir l’autre alors qu’on n’est pas soi-même un exemple de vertu ?
Dans le tome I de cette saga, les deux personnages se livrent, sans réserve, à un combat de nerfs. Si, pour l’homme, ce combat est physique et explosif, pour la femme, il est subtil et intérieur. Mais chaque pas posé par les personnages se transforme en conflit permanent, et chaque situation, en un volcan qui explose.
Et comme si on se connaissait depuis le premier cache-sexe de la terre, un large sourire fendilla ta bouche. Tu me tendis la main, m’attiras à toi. Nous voilà poitrine contre poitrine, ta main gauche me tapotant le dos amicalement. J’en fus quelque peu confus, mais tu me rassuras très vite, me murmurant que c’était votre façon à vous de saluer, car selon Jab, tous les hommes sont frères et doivent se comporter comme s’ils avaient un cœur unique, un foie unique, un intestin unique, un … Tu profitas pour me parler de Lucie, cette mère assez féconde pour te donner sept milliards de voisins et qui passait ses heures à égrener ses misères dans les cavernes d’Ethiopie.
Avec la Naissance de Fa que nous offre ici Mahougnon KAKPO, nous sommes dans ce double contexte. Onze récits révèlent, sous forme de tableaux ou de sketchs, une dimension de la sagesse béninoise, c’est-à-dire le sens, la signification, le pourquoi des choses, l’origine invisible de leur visibilité. Il s’agit notamment d’un ensemble de textes oraux, bien structurés et d’ampleur variée, exposant les origines mythiques du monde, de la vie, de la mort du bien, du mal…
Un d’entre eux nous enseigne une sentence proverbiale placée en exergue, comme pour tous les textes, proclame une parole de Fa : « A force de persévérer, le lépreux se remettra de son mal, l’infirme guérira de son infirmité, comme l’aveugle guérira de sa cécité ».