Auteur: Bravo
De son vrai nom Abdou Maboudou Rahim, Bravo est titulaire d’une Licence en Anglais, Option Etudes Africaines à l’Université d’Abomey-Calavi du Benin. Le chant des vers est sa première publication
Editions: Savanes du continent
3.000CFA
Ce soir-là, une histoire d’amitié, de transmission commençait son tissage entre la jeune Afrique et la vieille Europe… Il lui manquait juste un « vas-y » d’encouragement et elle, une braise sur laquelle souffler….Son inspiration a pris feu et vous avez le résultat sous vos yeux : Dominique Guibert de Villoutreys, Psychologue, accompagnante et enseignante certifiée PNL
Auteur: Bravo
De son vrai nom Abdou Maboudou Rahim, Bravo est titulaire d’une Licence en Anglais, Option Etudes Africaines à l’Université d’Abomey-Calavi du Benin. Le chant des vers est sa première publication
Editions: Savanes du continent
SKU: | 005SAV |
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Catégories | Auteurs Béninois, Autres genres littéraires, Divers |
Étiquettes : | Auteur Béninois, littérature africaine, Poésie |
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Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde. Jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Évènement dérisoire : le fantasme d’une femme, mais tel est le piège qui fait qu’à l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique.
Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres Françaises, au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme. Sur sa solitude aussi, à quelque climat qu’il appartienne. »
La saga de Délé Craig, PDG d’une grande entreprise et de son épouse Hironkè continu de se densifier. Dans cette troisième livraison, le couple vient d’avoir un enfant. Alors que tout semblait baigner dans l’huile, les démons du passé, insuffisamment ensevelis, reviennent en première ligne : il s’agit d’Alex, ancien escroc devenu riche de manière trouble et décidé à détrôner Délé à la tête de la société. Il y a aussi Mariam, la veuve d’Idriss, qui veut prendre une revanche sur le sort, parce que malmenée par la famille après le décès accidentel de son mari. Les deux personnages ont conçu un plan destiné à mettre en minorité les actionnaires de l’entreprise familiale et à imposer leur autorité. Mais Délé Craig, secrètement, préparer une riposte…
Les turbulences, ici, semblent provenir de partout. Si elles ont quitté le couple Délé Hironkè, elles semblent s’être désormais installées dans le clan familial avec pour enjeu principal le contrôle de la société. Mais chacun fourbit son arme, prêt à assommer l’autre, du moins, à le mettre hors d’état de nuire.
Délé vient de célébrer son deuxième mariage à l’insu de sa première épouse, Hironkè. Alors que la jeune mariée s’ennuie dans l’attente de l’enfant qu’elle accouchera bientôt, Mariam, la veuve de son oncle, commence à mettre au point la stratégie destinée à lui arracher Craigs Holding, la société familiale à la tête de laquelle trône le jeune homme. Mariam s’est adjoint les services d’Alex, son jeune frère revenu des Etats-Unis et enrichi dans des activités troubles. Peu à peu, l’étau se resserre autour de Délé qui empêtré dans ses histoires matrimoniales, ne voit pas venir le mal. Mais il y a comme l’ombre d’une bonne fée qui plane sur lui en la personne du détective privé Amzat qu’il a engagé à son service.
Règlement de comptes, cinquième tome de La Nuit fatale, met un point final à cette saga familiale où, amour, argent, haine, trahison, rapprochent et en même temps divisent les personnages, véritable archétypes des figures du business moderne africain, dignes des caractères des grandes séries américaines comme Dallas ou Dynastie.
Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette oeuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente oeuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.
Avec la Naissance de Fa que nous offre ici Mahougnon KAKPO, nous sommes dans ce double contexte. Onze récits révèlent, sous forme de tableaux ou de sketchs, une dimension de la sagesse béninoise, c’est-à-dire le sens, la signification, le pourquoi des choses, l’origine invisible de leur visibilité. Il s’agit notamment d’un ensemble de textes oraux, bien structurés et d’ampleur variée, exposant les origines mythiques du monde, de la vie, de la mort du bien, du mal…
Un d’entre eux nous enseigne une sentence proverbiale placée en exergue, comme pour tous les textes, proclame une parole de Fa : « A force de persévérer, le lépreux se remettra de son mal, l’infirme guérira de son infirmité, comme l’aveugle guérira de sa cécité ».
Délé est revenu à de meilleurs sentiments. Son épouse Hironkè qui lui a fait un beau bébé, semble avoir négocié une trêve avec ses démons intérieurs. La vie, chez les Craig, a retrouvé le parfum enthousiaste des lendemains qui chantent. Mais pas pour longtemps : Hironkè se retrouve du jour au lendemain à l’hôpital avec une grossesse extra-utérine. Pour le médecin traitant, il n’est plus question pour elle d’avoir un autre enfant. Le risque est grand, il en informe le mari d’autant qu’elle a déjà subi deux césariennes.
Pour Délé, les interrogations sur le passé de sa femme refont brusquement jour. Depuis quand elle a subi sa première césarienne ? Aurait-elle eu un enfant avant lui et de qui ? Et si l’enfant existe, qu’est-il devenu ? Et pourquoi garde-t-elle jalousement ce secret ?
De son côté, Délé est dans l’embarras ; il attend un bébé d’une autre femme, une de ses anciennes employées avec il folâtrait. Alors que sa mère s’en réjouit, lui-même se demande si ce n’est pas une erreur de trop. Pendant ce temps, Hironkè attend à la maison et compte patiemment les coups.
Ils sont beaux, jeunes, promis à un bel avenir et veulent échanger leurs vœux devant Dieu et devant les hommes. La veille alors que l’homme s’apprête à aller enlever sa vie de garçon en compagnie de ses amis, il fait un tour chez sa fiancée. Stupeur : dans la chambre, la future mariée est dans les bras d’un autre. Décomposé, révolte, le jeune homme accuse le coup, mais décide, contre toute attente, de célébrer le mariage. En lui, un plan se met en place. Jusqu’où ira-t-il pour nourrir sa vengeance ? Pourquoi faire souffrir l’autre alors qu’on n’est pas soi-même un exemple de vertu ?
Dans le tome I de cette saga, les deux personnages se livrent, sans réserve, à un combat de nerfs. Si, pour l’homme, ce combat est physique et explosif, pour la femme, il est subtil et intérieur. Mais chaque pas posé par les personnages se transforme en conflit permanent, et chaque situation, en un volcan qui explose.
Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette oeuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente oeuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.