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L’amour d’Aïssatou
4.000CFAL’amour d’Aïssatou : 1960, l’indépendance. Le gouvernement souhaite scolariser le plus d’enfants possible. Même les filles… Mais les mentalités n’évoluent pas facilement. Lorsque la mère d’Aïssatou déclare que sa fille ira à l’école. Que de critiques dans le village ! Rien n’est simple, mais la fillette apprend avec acharnement. Part au collège, voudrait devenir infirmière. Sage-femme… Et puis, un jour, Aissatou tombe amoureuse. Là non plus, rien n’est simple pour la jeune femme moderne qu’elle est devenue…
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Le génie des termitières
1.500CFAPour sauver sa fille, Kindo accepte de rencontrer le génie des termitières. Il lui faudra beaucoup de bravoure, car les épreuves auxquelles il sera soumis sont effrayantes. Et il doit y aller tout seul, sans sa femme, sans son fils. S’il est courageux, il survivra, s’il prend peur, il deviendra fou.
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Mémé
1.500CFAAvec Mémé, j’ai fait le programme d’aller suivre un match de foot. Mais entre-temps, des visiteurs sont arrivés. Mémé a pris goût à la causerie… Moi, je temporise. Je lui fais signe. Je ronge mes ongles. Je m’énerve. Elle ne me voit même pas. Mais comment la sortir de là ?
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La gifle
1.500CFAUn garçon atterrit dans une école prestigieuse où il est complètement dépaysé. Alors qu’il cherche encore ses repères, il reçoit un jour une gifle plutôt injuste. C’est le début d’une aventure humaine à l’issue inattendue…
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Miyamini retrouve sa maison
5.000CFA« Ramenée dans sa maison après avoir travaillé comme petite bonne à Cotonou, Miyamini va devoir se réadapter à la vie au village et retrouver une place au sein de sa famille.
Mais renouer avec ses frères et sœurs et pardonner à ses parents de l’avoir placée comme domestiques n’est pas forcément une chose facile… » -
La case des ancêtres
1.500CFA« Un jeune homme, orphelin de père, ose réclamer son héritage à son oncle, le frère aîné de son père. En fait Saka souhaite récupérer les deux palmeraies laissées par son père décédé précocement. Cette audace fait trembler sa mère et donne des soucis au chef de la collectivité. Pourquoi tant de peurs ? »
