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  • LA PRINCESSE DU DIABLE

    Débarquant dans la précipitation, ma mère ne se rendit même pas compte que la chambre qu’elle avait pris soin de fermer à clé, il y avait a peine une heure, ne I ‘était plus. Elle tourna la poignée, la porte s’ouvrir instantanément. Elle s’introduisit et tomba pile poil devant le principal acte de la scène obscène. Interloquée, une exclamation, a peine audible, s’échappa de sa gorge.

    Seigneur !!! Fit-elle les deux mains sur la poitrine. Dans le lit conjugal, sa fille de dix-sept ans était là, suant, en tenue d’Ève, activement rudoyée par ce solide quadragénaire. Lui faire ça a elle, mère vertueuse qui choisissait toujours les répétiteurs de ses filles parmi les professeurs les plus réputés pour leur intégrité morale… Ma mère perdit connaissance et s’effondra.

     

    1.800CFA
  • Héros

    « Pour les trois visiteurs, mieux valait partir. Mais, avant de se retirer, Paul tenait à terminer ce qu’il avait bien commencé

    – Laisse-moi le buter, ce bâtard pour lui apprendre à respecter les femmes d’autrui.

    – Pas maintenant, lui opposa Philippe. II va mourir mais pas aujourd’hui. Partons d’ici!

    Il entraîna aussitôt son compagnon, pressa te pas jusqu’au seuil de ta porte. Avant de s’en aller, il jeta un dernier coup d’œil à l’homme assis sur le lit :

    – Vis ces prochaines heures comme si c’était les dernières, lui lança-t-il, car je te promets que nous reviendrons ! »

    Comment peut-on vouloir tuer celui qu’on est supposé avoir tué vingt ans plus tôt ? Lors d’un braquage, un voyou se rend compte que sa victime n’est autre que celui qui l’avait jadis accusé d’avoir provoqué sa mort. Ayant déjà purgé une peine relative à ce meurtre supposé, le jeune homme décide de se venger. Mais en face, l’homme est puissant et redoutable. A moins qu’il commette un acte héroïque.

    2.000CFA
  • Felicity Atcock

    « La plupart des gens ont une famille bien comme il faut. Moi, non. Mon fils a des super pouvoirs, ma tante est un vampire, et mon père est gardé prisonnier en enfer. Je vais aller le chercher au sous-sol, serrer la pince à Satan et lui faire faux bond dans la foulée.

    Avec un peu de chance, je m’en sortirai indemne. Enfin… Presque. »

    Un voyage dans les ténèbres, voilà ce qui manquait aux péripéties de la piquante Felicity et aux créatures déchaînés qui ont fait de sa vie… Un enfer !

     

    4.000CFA
  • Le Bal des bouffeurs

    Dans ce roman, le narrateur découvre après des années d’études scolaires et universitaires, entièrement théoriques, qu’aucun avenir ne s’offre à ses diplômes. Avant de vivoter, il devrait retourner à la terre qu’il a abandonnée des années durant. Dans ce pays où l’entreprise de taxi-moto embauche des dizaines d’employés au quotidien, le Secteur privé, grand pourvoyeur d’emploi agressé et asphyxié.

    Alors que les mains de nos dirigeants sont toujours tendues à l’occident, L’Afrique réclame sa souveraineté hypothéquée par l’inaction et la mauvaise gouvernance. Les mêmes problèmes se déplacent depuis les indépendances, alors que ta population augmente exponentiellement.

    2.500CFA
  • La déesse mère destinée

    …Le suspens était à son comble. Le silence se fit. Qui allait le briser. Stupeur ! Emotions ! Tobi ne comprenait rien de rien. Il ramena son regard vers Sèna.

    Qu’est-ce qui n’allait pas chez Sèna pour qu’on le regarde de la sorte…

    3.500CFA
  • Vodou : la Forteresse d’Espérance

    La civilisation vaudou va faire gagner l’Afrique. Lorsque l’Africain, de bonne foi va se fortifier dans sa culture et dans sa spiritualité et s’engager au travail avec audace et créativité, le développement prendra corps. Tu verras !

    10.000CFA
  • La perle du Sahara

    Fièrement, Wangaharo s’approcha de sa femme et lui proposa :

    -Bori, permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante têtes de vaches comme moussouforey.

    Celle-ci répondit calmement :

    -Mon cher frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la vénération d’une déesse

    Le prince Wangaho s’éprend éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale. Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestraux où la parole est tout un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui conférer la forme voulue.

    4.000CFA
  • Passionné(e) s

    C’est l’histoire de ma famille, d’une dynastie me diriez-vous. Intrinsèque. Voilà l’histoire qui coule dans mes veines, l’histoire de mon sang résumé en quelques mots. Une histoire réduite à une goutte de sang éclatant, cramoisi. Une goutte de sang entraperçue entre mes lèvres balbutiantes et à peines formées. Une goutte forçant ma bouche à compter…

    5.000CFA
  • Meurtre à la pendjari

    Le corps d’une jeune femme est retrouvé calciné dans le parc de la Pendjari. Tout porte à croire qu’il s’agit d’Anaïs Vezinou, vedette de la chanson et cliente de l’Hôtel du parc. Tout et tous accusent Sylvère Yémalian, son époux. Au même moment, les présidentielles s’annoncent à Cotonou, les tractations pour l’alternance au pouvoir s’annonce âpres. Et ce tragique accident pourrait nuire aux ambitions présidentielles de Stanislas Vézinou, père d’Anaïs, et bouleverser les plans du parti au pouvoir.

     

    4.000CFA
  • Le cri des feuilles qui meurent

    L’histoire se passe en Guinée. Elle commence en novembre 1970. Mais sait-on vraiment quand commence une histoire ? D’abord, il y a Sali. Adolescente de quinze ans amoureuse de Mounirou, mais qui doit partir loin de lui car elle a attrapé la lèpre. Elle suit un rébouleux qui fait d’elle son esclave en échange de potions inutiles. Et puis il y a le camarade Emile. Métis cultivé et zélé serviteur de la révolution. Nul nom n’est plus craint ni plus haï que le sien… Ensuite, il y a Fotédi, autre métis, et attardé mental, lui qui croit avoir tué Allah, et qui ressemble étrangement au camarade Emile, le redoutable séide du régime…

    Il y a Gassimou, un truand qui veut tirer avantage de cette ressemblance en se servant du débile comme d’un passeport pour des amitiés lucratives…

    Il y a Ramatoulaye, une homosexuelle que sa mère voudrait marier à un commerçant amateur de pucelles…

    Il y a l’enfant de Sali, la lépreuse, car la nature qui est parfois bonne, lui a donné un beau bébé…

    Il y a des voleurs d’enfants, des charlatans et des gendarmes…

    Il y a un chien famélique, des mercenaires portugais, et tant d’autres personnages qui croient leurs destins…

    Il y a cette cour aux mendiants, véritable Cour des Miracles de notre époque, qui cache un terrible secret.

    4.500CFA
  • Le mortier rouge

    Une femme à qui son ami propose, pour devenir immensément riche comme elle, de piler son bébé afin d’en faire un savon magique ; une jeune fille folle amoureuse de l’amant de sa mère et qui en tombe même enceinte ; un chef d’Etat véreux dont le seul souci est de s’éterniser au pouvoir au détriment du peuple ; toute une famille mise en branle par l’annonce du décès d’un des siens, mais qui découvre que c’était en réalité une fausse alerte ; un féticheur qui identifie l’auteur d’un vol ; un autre qui, invité pour découvrir la cause d’un décès, révèle plutôt la maladie d’un tiers, etc…

    Tel est le cocktail littéraire que constitue ce recueil. Tant d’histoires savamment écrites qui nous plongent dans des réalités sociales, culturelles et politiques surprenantes.

    3.300CFA
  • Les soupirs de la Saint Valentin

    La voiture ralentit et se gara sur le côté. Le surveillant dévora Nina des yeux. Pourquoi fais-tu la difficile, ma chérie ? Fit-il d’une voix teintée de malice. Nina ne comprenait rien. Déjà, une main froide se glissa adroitement dans sa jupe. Mais…. monsieur, bredouilla-t-elle, en la repoussant.

    Pendant qu’elle interdisait de lui toucher les cuisses, le surveillant passa l’autre main dans son dos et, ayant trouvé la fermeture éclair, entreprit de découvrir le buste de son élève. Il se pencha en avant et lui imposa tout son poids afin qu’elle se laissât faire. Nina était affolée. C’était ses fidèles muscles contre ceux en acier de l’autre. Comment trouver du secours dans ce désert ? Et avec toutes ces vitres teintées, fermées… Elle décida pourtant de lutter. Lutter jusqu’à son dernier souffle,
    jusqu’à l’ultime goutte de sueur.

    Le surveillant était fort avancé dans son entreprise. Il réussit à soulever la jupe et…

     

    4.000CFA
  • Jouissance Fatale

    Ce jour-là, le ressac avait quelque chose d’excitant et invitait presque Raïssa à sortir de sa réserve. Elle avait mis la tête contre l’épaule de son compagnon dont le bras lui enserrait la taille. Elle scrutait dans le lointain où l’azur et la mer semblent se
    confondre…Raïssa et Armel s’aiment évidemment. Mais comment l’amour peut-il
    faire basculer les destins, et transformer les rêves les plus merveilleux en
    d’horribles cauchemars ?

    C’est qu’il y a d’un autre côté, les maniaques sexuels, ces fins stratèges qui ne lésinent pas sur les moyens pour ébranler la foi même des plus fidèles serviteurs de Dieu. Adam
    et Eve y ont succombé et dès lors, aucun homme n’est à l’abri : le sexe domine et dicte sa loi à tout venant. A travers la vie de Raïssa ou Armel en passant par celle de Djèmila et des autres, c’est le quotidien de certaines et de tout le monde. Et chacun peut avoir le temps de comprendre qu’avec le sexe, on ne badine pas. 

    Jouissance Fatale est un récit écrit dans un style mondain, accrocheur, pour éduquer et faire s’évader.

    3.500CFA
  • On peut aussi pleurer de joie

    Les hommes vous draguent dès qu’ils constatent que vous êtes libres, sans un mari à vos côtés. Certains même font fi de votre situation matrimoniale, vous mettent la pression et finissent toujours par atteindre leur but. Mais alors, ils prennent leur envol pour d’autres horizons. Irma comprenait enfin et avait décidé de se construire une bonne conscience.

    3.000CFA
  • La Désillusion de ces dames émancipées

    Maman Rosine ayant réussi à rabattre la porte et continuait tout simplement sa douche. Dans son coin. Le petit Junior âgé de quatre ans dormait d’un sommeil paisible. Sa sœur Rosine n’était pas encore de retour des classes. Une réflexion déprimante envahit Basile. Son épouse se plaisait à jouer à l’allumeuse et à quoi d’autre encore. Faillait-il la sortir de là et la bastonner pour se soulager un peu ?

    Basile se rappela tout de suite la dernière fois qu’il avait usé de violences à l’égard de son épouse : il avait payé six mille francs pour le certificat médical avant de s’en sortir, alors qu’il avait été poussé à bout. Ce soir-là, l’attitude pour le moins incompréhensible de son épouse le vidait de toute énergie. Il se souvint de leur première rencontre et de tout ce qu’il avait enduré de la part des beaux-parents pour obtenir sa main et pour l’épouser. Toutes ses économies y passèrent…

    3.000CFA
  • Babingo : au nom des acculturés

    Pointe-Noire, 1950, Makouta était un indigène évolué fier de communiquer dans sa concession exclusivement dans la langue française, avec Madeleine Mamatouka, son épouse, Alex, son unique garçon, et les autres enfants de la famille Makouta ne voulait, à aucun prix, que les membres de sa famille révèlent un accent bantou, en s’exprimant dans la langue de la Métropole. Et quiconque s’aventurait à parler le kituba avec les domestiques de la maison familiale était passible d’une sévère réprimande.

    L’intransigeance paternelle était bien entendu en contraste avec l’ambiance dans le quartier et au long de la route menant à l’école. Et c’est tout naturellement que Tessa, voisine dans le quartier, parvint à convaincre l’adolescent Alex Babingo de l’absurdité de la consigne de Makouta.

    Alex Babingo était alors bien loin de s’imaginer que braver l’interdit paternel n’était que le début d’un itinéraire qui devait, de l’autre bout du monde, le ramener aux racines même de sa culture et de ses traditions.

    Babingo, au nom des acculturés est un vibrant plaidoyer pour l’instauration des langues nationales dans le système scolaire des pays africains de l’espace francophone.

    Moussibabou Mazou est docteur en économie du développement, ancien vice-directeur général du Bureau international de l’Union postale universelle.

    Président du Forum pour la recherche et le développement des services postaux en Afrique (FRDPA).

    5.000CFA
  • Corruption et Erotisme

    Lucas Nudokpo est un observateur de sa société. Il joue pleinement son rôle d’écrivain. Car à travers sa plume, il peint et dépeint sa société (Bonne gouvernance, la corruption, la prostitution, l’hospitalité, femme de ma race, etc.)

    L’ouvrage de Lucas Nudokpo est un mélange littéraire. Nous y notons la poésie, la nouvelle, etc. Corruption et Erotisme est une œuvre sociétale. Souhaitons à l’auteur plein de succès dans le monde littéraire.

    Né d’une nationalité Bénino-Ghanéenne, Lucas Nudokpo fit ses études au Togo et au Ghana. Il est enseignant.

    3.500CFA
  • Sinibagirwa

    En Europe, nous avons cette chance d’être soutenu lorsque l’on a pas d’emploi, lorsque l’on est malade…et on râle encore ? Et plus encore, on jalouse son voisin parce qu’il est riche, on maudit la réussite de l’autre et j’en passe. Donc oui, tenter d’éteindre l’autre pour briller est devenu monnaie courante en Europe aussi d’autant que certains états ont fait de la délation une arme légale !!!

    En Afrique, malgré le fait d’y vivre, je suis pourtant mal placé pour répondre de manière précise. Parce que je n’y suis pas né, parce que mes connaissances comportementales africaines sont faibles, parce que…parce que…Cependant je peux confirmer que cette forme de jalousie est bien présente au Bénin.

    3.000CFA
  • Les rescapés de l’indifférence

    Elle était là, elle rôdait comme un fauve affamé à la recherche de sa proie. Quand viendrait- elle ? Quand frapperait-elle ? Nul ne pouvait le dire. Mais elle n’était jamais trop loin. D’instant en instant, à la clameur qui montait des concessions voisines, aux cris de douleur que jetaient des proches éplorés, on savait qu’elle avait encore frappé.

    5.000CFA