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  • Le sublime sacrifice

    Des bouleversements menaçaient la quiétude du royaume de Klodan après le règne de Komlan Anzian. Mais fait insolite dans l’histoire de ce peuple, une femme était pressentie pour lui succéder : Taloua Klaman. Elle était très intelligente et « … plus belle que la déesse de la beauté elle-même –  si bien qu’elle séduisit le créateur de toutes choses ( Gnamien Kpli ). Celui-ci envoya un oiseau sacré, le cygne, lui porter le message de sa mission salvatrice. La responsabilité était noble et lourde. Mais elle réussit à rester digne et loyale. De son mariage avec Assoue Tanon, naquit un garçon, Moye Kouakou, « un miracle de Dieu » et « la clé de l’énigme ». En fuyant la dictature de l’usurpateur Kouassi Obodoun, cet être innocent fut le seul présent qu’acceptât le fleuve Comoé en furie. Par ce sacrifice suprême, Taloua Klaman sut « mourir » pour que vive son peuple.

    2.600CFA
  • Le Code Secret de l’Emploi

    Le chômage est considéré à tort comme une fatalité. Les jeunes diplômés en arrivent même à croire qu’il n’y a plus du travail ou qu’il faut forcément avoir des connaissances hautement placées pour en avoir. D’autres encore, qui ont perdu leur emploi, n’ont plus vraiment confiance en leurs capacités de trouver un nouvel emploi, surtout quand ils ont déjà un certain âge. En réalité, il n’en est rien. La recherche d’emploi est une question de stratégies et d’astuces qui, une fois connues, vous permettent de décoder le système et d’avoir l’emploi de vos rêves quel que soit le domaine et quelle que soit votre situation : étudiant, chômeur, professionnel ayant perdu un emploi, etc., cet ouvrage est une aubaine, car, il vous donne les méthodes, les astuces et les outils nécessaires pour traverser cette période de votre vie avec succès. Des conseils pratiques en développement personnel et professionnel, et des méthodes qui ont prouvé leur efficacité sont condensés dans ce code ultime de déverrouillage du monde de l’emploi que vous tenez dans vos mains. Découvrez les et, surtout, partagez les autour de vous.

    5.000CFA
  • Mona Lisa Des tropiques

    Un jour, j’engageai un débat sérieux avec Sonia pour comprendre sa motivation à vouloir embrasser l’islam. Elle me fit savoir qu’elle était très admirative du fait que Khady et moi avions su dominer nos cœurs respectifs pour ne pas nous laisser dépasser par le désir qui conduit à la liberté sexuelle. Je ne pouvais pas me contenter d’une explication aussi laconique. Je poussai donc ma curiosité et lui demandai ce qu’elle trouvait de si intéressant dans la chasteté. Elle m’expliqua, avec une extraordinaire égalité d’âme, qu’au contact de Khady, elle avait fini par percevoir dans cette attente de découvrir ce pan de la personnalité de l’homme avec qui l’on doit passer sa vie, quelque chose, non seulement de sacré et de jubilatoire, mais aussi de nature à favoriser une meilleure gestion de la période d’apprentissage à la vie adulte.

    Le corps de la femme, me dit Sonia, ne se brade pas mais se valorise ; il n’a certes pas une valeur marchande mais s’acquiert au prix d’une attention soutenue. Cette attente permettrait, selon elle, de tirer une meilleure satisfaction des rapports intimes dans le mariage. Elle avait appréhendé, à partir de l’expérience qu’elle menait, que la jouissance avant le mariage pouvait facilement prendre le pas sur le désir de chercher à bien connaître et ainsi à pouvoir aimer véritablement la personne avec qui on est censé passer toute la vie.

    7.000CFA
  • L’Enfant Prodige

    Cette intrigue policière se déroule au Bénin à l’époque de la crise économique et sociale. Un réseau de trafiquants de drogue est démantelé grâce à la perspicacité d’un jeune homme et l’efficacité des services secrets. Ce récit imaginaire, palpitant et riche en rebondissements, vous emmène de Cotonou à Parakou en passant par Porto-Novo, Savè et tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page.

    5.000CFA
  • Réalisez vos rêves Même les plus imaginaires

    Chaque Homme rêve de passer une vie paisible et idéale. Il souhaite satisfaire ses besoins fondamentaux avec fierté. Mais, il n’y a que peu qui y arrivent ! la connaissance des principes de cet ouvrage est désormais à portée de main. L’Homme peut accomplir tout ce qu’il veut grâce à ces principes. Il doit être déterminé et rassurant. Il ne doit point se décourager car l’échec, la persévérance et la conviction en soi paient, et c’est là l’apothéose !

    Alors chers lecteurs, que votre succès vous obsède ! Méditez le au quotidien en faisant du succès votre imagination. Nous vivons dans un monde où la plupart des hommes décident sans la savoir de la destination de leur vie. Mais vous, vous le savez maintenant.

    3.500CFA
  • Grand Popo Nonvitcha a 100 ans

    La première publication de l’auteur avait pour titre Les Clés d’une émergence positive de l’homme noir. Avec beaucoup d’amertume, il y abordait les problèmes identitaires ainsi que les conditions de vie et de développement peu inviables de race noire, malgré tous les atouts et possibilités dont elle dispose.

    Aujourd’hui il nous propose, dans un tout autre registre, de revisiter avec lui quelques clichés de la vie à Grand Popo, sa terre natale dont il est resté amoureux. La vie, jadis, y était facile : rien n’était calculé d’avance pour lui, tout se faisait d’instinct et il se contentait seulement d’être un enfant…

    La présente parution, qu’il qualifie lui-même de « littérature naïve », redonne pourtant vie et vue panoramique à ce passé idyllique de Grand Popo où nous nous retrouvons brusquement, hors du temps, au théâtre des rêves, et chaque petite histoire racontée nous fait découvrir les vrais visages de ces ombres et spectacles de passé.

    Mais la nature et ses éléments ont peu à peu mis prématurément fin à la douce symphonie de son « Hawaï » du Mono.

    L’auteur prophétise néanmoins la renaissance de celle-ci en proposant quelques pistes pour y parvenir, pistes où l’association NONVITCHA doit jouer un rôle primordial.

    Mais l’histoire ne peut s’écrire d’avance.

    6.000CFA
  • Passeport pour un métier

    C’est en nous appuyant sur nos talents et nos apprentissages que nos œuvres brillent au service de notre communauté. Une orientation responsable est donc nécessaire. En effet, le poids des figures parentales s’appuyant sur d’autres paramètres que les propensions propres de leurs enfants, le mimétisme à tous égards, et le système d’orientation scolaire qui ne tient pas compte de la globalité de l’individu, sont autant de freins à l’expression vivante de l’individu dans sa profession.

    D’un d’abord simple, cet opuscule vous décrit étape par étape comment choisir consciemment son métier, dont l’exercice enthousiasmant, invite comme conséquences heureuses, la créativité, l’inspiration, l’efficacité et l’efficience.

    3.500CFA
  • Supplice de tantale

    Le ton décrût crescendo pour s’épandre religieusement en menaces. : « Que les indélicats soient combattus, mis en déroute ou abattus et que les blasphémateurs subissent ta rigueur, Fa Aïdégouin ! »

    A peine ébauchait- il l’a cérémonies qu’un oiseau venant à passer échoua au milieu du dispositif sacré. Un grand oiseau aux yeux globuleux et illuminé ! Un Hibou. Il battit les ailes pour repartir, en vain. Avec une vigueur adolescente, il s’en saisit, le porta vers la bouche, l’arrosa de paroles mystiques et ironisa en ricanant, très désinvolte : « Messager infortuné, tu as échoué et ne retrouveras plus jamais l’enveloppe que tu as déserté pour transmigrer ! Mon espace n’est ni une passoire, ni une citadelle prenable » Il le maintint ensuite sous son pied gauche. Barricadés d’effroi, Dada s’accrocha au siège du vieillard, pour ne le lâcher que longtemps après.

    4.000CFA
  • La femme au portefeuille

    – Ô impératrice des contrées charnelle, avance et soumet le monde à ta souveraineté enivrante. Nous, tes sœurs du cercle, t’emboîtons les pas. Nous avançons hardiment, épaules contre épaules, seins pointant en sagaies, yeux étincelants d’envie, sur les champs de bataille lubriques du monde. Là-bas, par les armes de la volupté et de la jouissance, tuons. Ainsi seulement, nous pourrons nous emparer de la totalité du pouvoir.

    – Oui, ma sœur, il est de la nature du pouvoir d’être total, il n’y de pouvoir nulle part, s’il y en a un débris égaré ailleurs. Et ce pouvoir total, les sœurs du Cercle, sous la conduite de leur Reine-mère Ramath, le conquerront. Que les Dieux dans l’ombre des choses, livrent ce pays entre nos cuisses.

    5.000CFA
  • Tourbillons

    : Revenue de L’Europe pour participer au mariage de sa demi-sœur Abakè, Abbey, jeune africaine et moderne, caresse secrètement le rêve de retrouver son amour de jeunesse, Ola, dont elle avait perdu la trace depuis huit ans. Le lendemain de son arrivée sa sœur l’appelle pour lui présenter l’heureux élu. C’est la stupeur. Le futur beau frère n’est autre que son ex, Ola.

    Confus autant que bouleverse, Ola apprend (‘existence de Délé, un enfant issu de ses amours avec Ia jeune femme et qui lui ressemble trait pour trait. Remonte Alors a la surface la passion qui L’avait habité envers Abbey. S’il envisage un instant de se remettre avec elle, il opte finalement pour le mariage avec sa fiancée du moment. Mais l’autre, folle de rage, ira s’attacher les faveurs d’un marabout pour briser cette relation et inverser le tour des choses. Dans In famille, le tourbillon est déclenché. La force adverse va lui aussi contre attaquer.

     

    2.000CFA
  • La perle du Sahara

    Fièrement, Wangaharo s’approcha de sa femme et lui proposa :

    -Bori, permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante têtes de vaches comme moussouforey.

    Celle-ci répondit calmement :

    -Mon cher frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la vénération d’une déesse

    Le prince Wangaho s’éprend éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale. Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestraux où la parole est tout un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui conférer la forme voulue.

    4.000CFA
  • Le cri des feuilles qui meurent

    L’histoire se passe en Guinée. Elle commence en novembre 1970. Mais sait-on vraiment quand commence une histoire ? D’abord, il y a Sali. Adolescente de quinze ans amoureuse de Mounirou, mais qui doit partir loin de lui car elle a attrapé la lèpre. Elle suit un rébouleux qui fait d’elle son esclave en échange de potions inutiles. Et puis il y a le camarade Emile. Métis cultivé et zélé serviteur de la révolution. Nul nom n’est plus craint ni plus haï que le sien… Ensuite, il y a Fotédi, autre métis, et attardé mental, lui qui croit avoir tué Allah, et qui ressemble étrangement au camarade Emile, le redoutable séide du régime…

    Il y a Gassimou, un truand qui veut tirer avantage de cette ressemblance en se servant du débile comme d’un passeport pour des amitiés lucratives…

    Il y a Ramatoulaye, une homosexuelle que sa mère voudrait marier à un commerçant amateur de pucelles…

    Il y a l’enfant de Sali, la lépreuse, car la nature qui est parfois bonne, lui a donné un beau bébé…

    Il y a des voleurs d’enfants, des charlatans et des gendarmes…

    Il y a un chien famélique, des mercenaires portugais, et tant d’autres personnages qui croient leurs destins…

    Il y a cette cour aux mendiants, véritable Cour des Miracles de notre époque, qui cache un terrible secret.

    4.500CFA
  • Babingo : au nom des acculturés

    Pointe-Noire, 1950, Makouta était un indigène évolué fier de communiquer dans sa concession exclusivement dans la langue française, avec Madeleine Mamatouka, son épouse, Alex, son unique garçon, et les autres enfants de la famille Makouta ne voulait, à aucun prix, que les membres de sa famille révèlent un accent bantou, en s’exprimant dans la langue de la Métropole. Et quiconque s’aventurait à parler le kituba avec les domestiques de la maison familiale était passible d’une sévère réprimande.

    L’intransigeance paternelle était bien entendu en contraste avec l’ambiance dans le quartier et au long de la route menant à l’école. Et c’est tout naturellement que Tessa, voisine dans le quartier, parvint à convaincre l’adolescent Alex Babingo de l’absurdité de la consigne de Makouta.

    Alex Babingo était alors bien loin de s’imaginer que braver l’interdit paternel n’était que le début d’un itinéraire qui devait, de l’autre bout du monde, le ramener aux racines même de sa culture et de ses traditions.

    Babingo, au nom des acculturés est un vibrant plaidoyer pour l’instauration des langues nationales dans le système scolaire des pays africains de l’espace francophone.

    Moussibabou Mazou est docteur en économie du développement, ancien vice-directeur général du Bureau international de l’Union postale universelle.

    Président du Forum pour la recherche et le développement des services postaux en Afrique (FRDPA).

    5.000CFA
  • Les rescapés de l’indifférence

    Elle était là, elle rôdait comme un fauve affamé à la recherche de sa proie. Quand viendrait- elle ? Quand frapperait-elle ? Nul ne pouvait le dire. Mais elle n’était jamais trop loin. D’instant en instant, à la clameur qui montait des concessions voisines, aux cris de douleur que jetaient des proches éplorés, on savait qu’elle avait encore frappé.

    5.000CFA
  • Les tresseurs de corde

    Lorsqu’on est révolutionnaire pur et dur, qu’on occupe un poste important dans l’équipe qui a pris le pouvoir pour conduire au bonheur un pays » sous développé « , selon des principes idéologiques infaillibles, quels événements peuvent du jour au lendemain faire basculer votre destin et vous amener à vous remettre en question ?

    C’est à ces interrogations que répond Trabi, le héros du dernier roman de Jean PLIYA, Les Tresseurs de corde.

    4.500CFA
  • AKOSSIWA mon amour

    Il était une fois, en Afrique de l’Ouest, un jeune homme qui, au seuil de sa vie d’adulte, se mit à méditer sur son destin d’homme dans une Afrique qui tarde à se prendre en charge. L’amour frappe à sa porte. Il se laisse attendrir. Akossiwa mon amour est aussi une douce évocation de la poésie naturelle de nos campagnes, faite d’une succession de tableaux réalistes de la vie rustique africaine.
    2.200CFA
  • Achou l’amour empoisonné

    Achou, jeune étudiante à l’école des sciences économiques et bancaires de l’université de Cotonou 2, fait la connaissance d’Alain, un jeune diplômé en droit international. Elle tombe amoureuse après avoir été séduite par sa gentillesse, son flair et surtout son charme. Au bout de quelques rencards, elle lui avoue ses sentiments. Ayant trouvé grâce aux yeux de cette mousmé, Alain se laissera emporter par un amour réel, profond et réciproque. Les jeunes amoureux commenceront ainsi, de la façon la plus douce, leur relation qui ne restera pas douce, mais plutôt doucereuse. Le jeune homme sera à mille lieues de s’imaginer qu’il s’est énamouré d’une fille hantée. Il sera confronté à un dilemme : renoncer à cet amour en l’abandonnant ou l’aider…

    5.000CFA
  • La déesse aux longs cheveux

    Quand amour rime avec bien matériel, vous vous croyez sur un petit nuage, tout vous sourit. Quand vous voyez fuir l’objet de vos désirs, tout devient noir, vous priez les eaux de vous engloutir. Marc et Ayélé, deux étudiants qui peinent à connaître le sens de l’amour et qui l’ont appris tardivement.

    Une intrigue amoureuse où réalités africaines côtoient modernisme et où le miel ne coulent pas éternellement.

    4.000CFA
  • Ma résilience

    Je retrouvai mon appartement. Vidé de son contenu, comme un bélier éventré le jour de la Tabaski. Il me restait juste le haut-parleur, qui ornait encore cette pauvre chambre, triste de mes désirs. C’était du moins l’image que je recevais. Mon lit, le matelas, tout le reste était parti dans des bradages commerciaux pour que je puisse prendre ce vol vers le Canada. J’avais dépensé tout l’argent qui m’avait été donné, en plus de ce que j’avais pu réunir de la vente de mes biens. Et là, je revenais bredouille, la tête assaillie par une marée de doutes.

    5.000CFA