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Cabane Magique : La vallée des dinosaures
Tom et sa sœur, Léa, sont projetés au temps des dinosaures! Fascinés, ils explorent ce monde peuplé de créatures bizarres et gigantesques… jusqu’au moment où ils se retrouvent face à un tyrannosaure ! Trouve l’indice caché dans chaque aventure de Tom et Léa et découvre qui est le mystérieux propriétaire de la Cabane Magique. En plus, tu apprendras plein de choses sur les dinosaures.
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Vent des couleurs sur le Vatican
<<< Ayant lu le recueil à l’envers, je me permets de vous suggérer ma méthode, qui est celle un peu du podcast, procédé contemporain de l’accès aux contenus multiformes. On prend le temps de musarder, sereinement, conscient qu’un texte en suivant l’autre, nous conduira toujours vers un apprentissage nouveau à l’envers, les nouvelles se suivent et se redressent d’elles-mêmes, avec aplomb! Comme Monsieur Carter…, le lecteur entrera de plain-pied dans un maelström de mots et d’idées. Sacré Roger Gbégnonvi, quelle dent aurait-il contre les religions !? Car ce n’est pas possible autrement de conclure, une fois qu’on a refermé les pages amères des aveux d’Oussama Ben Laden ou Vent des couleurs sur le Vatican. Vendre du rêve, est-ce la même chose que vendre de l’illusion?>>>
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La plus belle maman
Un événement inédit: la Mairie lance le concours de la plus belle maman du village. Le petit Cossi y inscrit sa mère. Celle-ci, consciente de sa laideur physique, refuse d’y prendre part. Mais l’enfant, convaincu que sa mère est la plus belle de toutes les mamans du village, réussit à lui faire changer d’avis. Et le miracle se produit. << La plus belle maman » est la célébration de la beauté du coeur, un réquisitoire contre l’intolérance et un plaidoyer en faveur des exclus et des mal-aimés de la société.
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Mélodie pour une douleur
(…) Viwe, c’est s’arrtmer, dans toutes les situations, à l’idée qu’avant la nuit il y a le soleil, et que, quand viendra la nuit, il y aura la lune et les étoiles. C’est en faisant de cette beauté notre horizon que nous parvenons à marcher même sur un interminable chemin de braises sans hurler.
Avec Mélodie pour une douleur, roman d’une beauté mélancolique, Sami Tchak nous fait entendre les doux murmures de la vie à travers les douleurs qui l’accompagnent : la maladie, le handicap mental de l’enfant, la vieillesse, les désillusions, la mort…
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Vacances au village
Fondateur de l’Ecole Privée Laïque POLYVALENCE à Tsévié, il continue d’assister les enseignants nouvellement sortis des centres de formation, dans leur perfectionnement. Président Fondateur de l’association Ecoles Rurales, il a construit un Centre Aéré du même nom, où il accueille les enfants pour des activités autour du livre, des jeux et manuels. Pour lui, l’enfant est le socle et l’avenir de Kokou AHODO-AZIADOME a une passion poussée pour l’écriture. Après des années dans l’autopromotion de ses écrits, il vient offrir au grand public, VACANCES AU VILLAGE, son tout premier ouvrage édité, racontant l’histoire d’un voyage des petits enfants de la ville à leur village natal lors des grandes vacances.
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La magie des contes
AVEZ-VOUS AIMÉ CES CONTES? D’AUTRES HISTOIRES, DU MÊME AUTEUR, VOUS ATTENDENT !
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Le lion et le trône
Il a construit cet opuscule sur la trame du récit d’un événement historique qui a marqué son village natal : l’arrivée d’un lion dans les champs. Ce dernier avait mis ses pattes dans un piège à gibier et avait constitué une menace pour la population durant quelques jours. Les guerriers du village avaient réussi à abattre le fauve mais il avait aussi fait une victime parmi la population. Autour de cette charpente. Augustin Komivi Nyuiava MOSSI a brodé les problèmes qui assaillent la vie des populations des villages africains dans un contexte global de pauvreté et de retard de développement. II s’agit d’une part, des oppositions entre les croyances ancestrales et la foi chrétienne avec souvent, des excès de zéle, source de superstitions et de comportements irrationnels, et d’autre part, la problématique du pouvoir, à l’origine de conflits permanents, quelle que soit la manière dont il est acquis et quel que soit le niveau auquel il est exercé.
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Étrange héritage
<< Ce roman des années 80 montre une jeunesse friande de mode occidentale, de plaisirs et de sexualité. On y rencontre des pratiques sociologiquement datées comme les « surprises-parties », les <<< afternoon jumps », la fréquentation des boîtes de nuit, les sorties amoureuses à la plage ou au cinéma. Gad Ami décrit largement ces attitudes et on en vient à rêver (sans aucune preuve réelle, bien entendu) de sa propre implication au sein de la jeunesse de cette époque, une jeunesse des années fastes, d’avant les crises politiques et économiques, d’avant les contestations démocratiques. Il est temps de redécouvrir Gad Ami, il est temps de célébrer son premier roman comme un jalon important dans l’histoire de la littérature togolaise. >>>
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La gazelle s’agenouille pour pleurer
Ce recueil de quatorze nouvelles contre douze à sa première parution en 2001 puis quatorze à sa deuxième édition en 2003, embarque le lecteur dans une échappée sensible et réflexive à travers des histoires teintées d’humour et de réalités crues. Kangni Alem revient avec La gazelle s’agenouille pour pleurer, revu et augmenté, pour donner un nouveau goût à ses lecteurs, anciens, nouveaux comme futurs. Comme à son habitude, il y fait rire et voyager dans plusieurs pays, avec un style de narration particulier, propre à lui.
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Si proche du bonheur
<< Tous les livres de Jeannette Ahonsou semblent poursuivre le même idéal, la même quête défendre la condition des femmes. Et elle s’y emploie avec sensibilité et radicalité. Ce nouveau roman aux allures de roman policier n’y échappe pas. Vous y découvrirez des personnages trouble-fête, des hypocrites qui s’assument, des hommes de Dieu appliqués à faire leur travail, pendant que le monde s’écroule au dehors. Ahonsou raconte le couple, la famille, les folies humaines avec maestria et doigté. >>>
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Conte et légende du Togo
Ce recueil de contes est son premier document publié dont le deuxième Tome est en voie. L’auteur poursuit ses recherches afin de contribuer à la pérennisation de la culture Kabyè.
« …N’ayant plus d’anditoires, nos conteurs, an fil des ans, se jont rares.. Ainsi dans les toutes prochaines années, il n’y aura plus du tout de conteurs. Est ce sera indubitablement la fin de l’histoire orale de nos sociétés, la fin de notre vraie bistoire. …L’auteur, communicateur de profession, a choisi un langage simple et direct, un style de narrateur. En journaliste professionnel, il a voulu se mettre à la place du conteur, pour étre plus proche de ses lecteurs. »
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Hamed Bakayoko : Un destin inachevé
<< Quelle relation entretenait-il avec la jeunesse ? A travers un projet d’écriture initié du vivant de l’illustre défunt, j’entreprenais de retracer son parcours exceptionnel et parsemé d’embûches. Mais malheureusement, Hamed BAKAYOKO est parti trop tôt, au moment où son pays avait plus besoin de lui.
Quels héritages Hambak a-t-il pu laisser derrière lui pour que son nom ne soit oublié aussi bien en Côte d’Ivoire que dans le monde? (…) Dans les chapitres qui suivent, vous allez découvrir un personnage hors pair. Un Homme d’État qui a quitté le bas de l’échelle pour devenir un grand inspirateur de la jeunesse… >>>
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Elle
<<<…L’originalité de ce recueil de poèmes se résume en un triple mécanisme humaniste: d’abord, une peinture de la laideur et de la beauté au plan social et comportemental chez les deux genres; ensuite, une invite des deux genres à la même table d’équité et d’Amour réciproques en passant par l’éveil de conscience de la femme: une quintessence de la parole poétique de l’auteure enfin, une incitation au lectorat à aller à cette même table pour une découverte de soi et de l’autre, en vue d’ériger le fondement du vivre- ensemble. La thérapie par l’écriture et la lecture …! >>>
Mme Maria Larba APOUDJAK Ancienne ministre déléguée auprès du premier ministre chargée du Secteur Privé, Ancienne parlementaire, Ancienne Présidente du Réseau des Femmes Africaines Ministres et Parlementaires (REFAMP-Togo).
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Comment tuer dix fois un criminel…
Comment tuer dix fois un criminel ? La question peut sembler banale, mais elle est d’importance. On peut tenter de suivre Couao-Zotti pour comprendre le mystère de la résurrection préalable du criminel, lequel, en tout état de cause, se doit d’être un sujet qui défie le temps et les balles de ses adversaires. Ou qui bénéficie de protections particulières, va savoir.
Dans ce recueil composé de huit nouvelles, le maître de la nouvelle vague des écrivains béninois fait voyager ses lecteurs en les amenant à la découverte des mystères cachés dans les choses que l’on peut trouver insignifiantes. C’est un Bénin surprenant, une Afrique secrète et mélancolique que chante l’écrivain dans cet énième ouvrage dont la composition révèle sa maturité, et son rire tonitruant. J’ai plaisir à vous le proposer comme un viatique, dans votre passion pour les grands voyages intérieurs.
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ZEGLEMETOU
KOFFI KOFFI est né en 1968 à Kringambo dans la sous-préfecture de Bouaflé. Titulaire d’un D.E.A. de lettres modernes, option littérature orale, il est professeur de lettres de lycée. Il est aussi responsable de l’association Point de lecture qui organise les cafés littéraires en Côte d’Ivoire et Ahoko Kouah’in n’gwa gwa, le Festival Ahoko Kouah’in de contes de Kringambo.
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L’héroïne du lycée
Quinze heures ! Un flot de plomb incandescent noyait le lycée / Pas une brise. Tout suffoquait. Dans les classes surchauffées, élèves et professeurs, fronts et joues perlés de sueur, tentaient, tant bien que mal, de se créer une illusion de fraicheur en s’éventant, qui avec un mouchoir en tissu, qui avec un cahier.
De partout montaient des effluves de parfums douteux qui, au contact des miasmes qui se soulevaient de temps à autre comme des lames de fond, devenaient nauséabondes, insoutenable. Un espace peuplé de milliers d’âmes, mais pourtant silencieux comme un cimentière. Les volets complètement ouverts ne semblaient d’aucun secours pour personnes.
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Doumoya
ZOU Michel est né en 1958 à Bouatia s’appelle Gala Bi Youzan à l’état civil. Il est Kweni (Goura) de Bouafla, dans la nouvelle sous-préfecture de Tibéita, Département de Bouaflé, dans le centre-ouest de la Côte d’Ivoire. Marié et père de famille, cet ancien agent du centre secondaire des états civils de Bouafla est actuellement planteur dans ledit village. Il a arrêté les études au CM2 et est titulaire du Certificat d’Étude Primaire et Élémentaire (CEPE) obtenu en 1979. C’est un talentueux conteur. Il a formé un groupe qui l’accompagne lors de ses prestations. Il reste une des mémoires vives du conte gouro. Doumoya, la concurrence des êtres humains et des génies est son premier livre.
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J’écoute et j’apprends
Ce livre bienveillant et encourageant explique aux enfants ce que signifie écouter, pourquoi il est important de savoir écouter et comment développer une bonne capacité d’écoute. Des exemples réalistes et des illustrations tout en couleur permettent une présentation vivante des idées abordées. L’objectif est de montrer aux enfants les résultats positifs d’une écoute attentive. Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut également un chapitre destiné aux adultes avec des outils pour renforcer les compétences enseignées, des questions autour desquelles engager la discussion et des jeux pour apprendre à écouter.
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Je prends soin des objets qui m’entourent
Il y a une place pour chaque chose. Les objets durent plus longtemps quand nous en prenons soin. Avec des mots simples et des illustrations attrayantes, ce livre enseigne aux enfants le respect et le sens des responsabilités, ainsi que l’organisation et la gestion du quotidien. Les enfants apprennent à prendre soin d’eux-mêmes, à ranger les choses à leur place, à demander la permission pour emprunter des objets qui ne leur appartiennent pas et à respecter leur environnement.
Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut un chapitre spécial destiné aux adultes avec des questions autour desquelles engager la discussion, des jeux, des jeux de rôle pour acquérir le sens des responsabilités et des conseils pour apprendre aux enfants à mieux ranger leurs jouets et éviter le désordre.
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Je peux dire NON
Dans Je peux dire non, Jenny Simmons enseigne aux enfants le pouvoir de dire « non ». Qu’il s’agisse de dire non au harcèlement ou à quelqu’un qui envahit leur espace personnel, ou tout simplement de refuser de jouer avec leurs camarades parce qu’ils ont besoin d’un peu de tranquillité, les enfants vont apprendre à s’exprimer pour défendre ce qui est bon et bien pour eux, et fait du bien au monde.
J’ai appris un petit mot. Et aussi petit soit-il, quand je l’emploie avec autorité, je suis la plus forte ! Non. Voilà, je peux dire NON. Je peux dire non à un film que je n’aime pas. Je peux dire non si je n’ai pas envie d’aller faire du vélo. Je peux dire non si je veux rester seule, ou si je me sens un peu fatiguée et préfère rester à la maison. Apprendre à dire non sans se sentir coupables ni avoir besoin de se justifier donne aux enfants le pouvoir de préserver leur espace, leur énergie, leurs convictions et leur temps.
Dire non leur permet aussi de pouvoir dire oui à ce qui leur tient le plus à cœur. En apprenant à employer à bon escient ce mot court, mais puissant, ils seront capables d’aborder la vie avec confiance, autonomie et une saine estime d’eux-mêmes !