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La magie des contes
AVEZ-VOUS AIMÉ CES CONTES? D’AUTRES HISTOIRES, DU MÊME AUTEUR, VOUS ATTENDENT !
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Le lion et le trône
Il a construit cet opuscule sur la trame du récit d’un événement historique qui a marqué son village natal : l’arrivée d’un lion dans les champs. Ce dernier avait mis ses pattes dans un piège à gibier et avait constitué une menace pour la population durant quelques jours. Les guerriers du village avaient réussi à abattre le fauve mais il avait aussi fait une victime parmi la population. Autour de cette charpente. Augustin Komivi Nyuiava MOSSI a brodé les problèmes qui assaillent la vie des populations des villages africains dans un contexte global de pauvreté et de retard de développement. II s’agit d’une part, des oppositions entre les croyances ancestrales et la foi chrétienne avec souvent, des excès de zéle, source de superstitions et de comportements irrationnels, et d’autre part, la problématique du pouvoir, à l’origine de conflits permanents, quelle que soit la manière dont il est acquis et quel que soit le niveau auquel il est exercé.
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Neyla
« Neyla est avant tout un roman d’amour. Le narrateur, étudiant africain en Italie, rentre au pays natal pour y passer les vacances après cinq ans d’absence. Quelques jours après son arrivée, il se rend au bureau de son frère, ingénieur agronome de son état, pour revoir celui-ci. Là, il rencontre Neyla, la réceptionniste éponyme du roman, qui le séduit. Le retour au pays natal donne, comme on pouvait s’y attendre, l’occasion au narrateur de se rappeler certains souvenirs, de revisiter certains lieux de son adolescence, de parler en termes éloquents, non seulement de la nostalgie éprouvée pendant toutes ces années loin des siens, mais de mesurer aussi les changements qu’il a subis… la représentation poétique, lyrique de l’amour profond, intense et partagé qui s’installe entre les personnages, distingue ce texte et séduit le lecteur. KOMLA- EBRI sait trouver les mots et les métaphores justes pour célébrer le naturel joyeux de cet amour qui, malheureusement, ne sera qu’éphémère. »
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Étrange héritage
<< Ce roman des années 80 montre une jeunesse friande de mode occidentale, de plaisirs et de sexualité. On y rencontre des pratiques sociologiquement datées comme les « surprises-parties », les <<< afternoon jumps », la fréquentation des boîtes de nuit, les sorties amoureuses à la plage ou au cinéma. Gad Ami décrit largement ces attitudes et on en vient à rêver (sans aucune preuve réelle, bien entendu) de sa propre implication au sein de la jeunesse de cette époque, une jeunesse des années fastes, d’avant les crises politiques et économiques, d’avant les contestations démocratiques. Il est temps de redécouvrir Gad Ami, il est temps de célébrer son premier roman comme un jalon important dans l’histoire de la littérature togolaise. >>>
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La gazelle s’agenouille pour pleurer
Ce recueil de quatorze nouvelles contre douze à sa première parution en 2001 puis quatorze à sa deuxième édition en 2003, embarque le lecteur dans une échappée sensible et réflexive à travers des histoires teintées d’humour et de réalités crues. Kangni Alem revient avec La gazelle s’agenouille pour pleurer, revu et augmenté, pour donner un nouveau goût à ses lecteurs, anciens, nouveaux comme futurs. Comme à son habitude, il y fait rire et voyager dans plusieurs pays, avec un style de narration particulier, propre à lui.
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Si proche du bonheur
<< Tous les livres de Jeannette Ahonsou semblent poursuivre le même idéal, la même quête défendre la condition des femmes. Et elle s’y emploie avec sensibilité et radicalité. Ce nouveau roman aux allures de roman policier n’y échappe pas. Vous y découvrirez des personnages trouble-fête, des hypocrites qui s’assument, des hommes de Dieu appliqués à faire leur travail, pendant que le monde s’écroule au dehors. Ahonsou raconte le couple, la famille, les folies humaines avec maestria et doigté. >>>
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Conte et légende du Togo
Ce recueil de contes est son premier document publié dont le deuxième Tome est en voie. L’auteur poursuit ses recherches afin de contribuer à la pérennisation de la culture Kabyè.
« …N’ayant plus d’anditoires, nos conteurs, an fil des ans, se jont rares.. Ainsi dans les toutes prochaines années, il n’y aura plus du tout de conteurs. Est ce sera indubitablement la fin de l’histoire orale de nos sociétés, la fin de notre vraie bistoire. …L’auteur, communicateur de profession, a choisi un langage simple et direct, un style de narrateur. En journaliste professionnel, il a voulu se mettre à la place du conteur, pour étre plus proche de ses lecteurs. »
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Hamed Bakayoko : Un destin inachevé
<< Quelle relation entretenait-il avec la jeunesse ? A travers un projet d’écriture initié du vivant de l’illustre défunt, j’entreprenais de retracer son parcours exceptionnel et parsemé d’embûches. Mais malheureusement, Hamed BAKAYOKO est parti trop tôt, au moment où son pays avait plus besoin de lui.
Quels héritages Hambak a-t-il pu laisser derrière lui pour que son nom ne soit oublié aussi bien en Côte d’Ivoire que dans le monde? (…) Dans les chapitres qui suivent, vous allez découvrir un personnage hors pair. Un Homme d’État qui a quitté le bas de l’échelle pour devenir un grand inspirateur de la jeunesse… >>>
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Elle
<<<…L’originalité de ce recueil de poèmes se résume en un triple mécanisme humaniste: d’abord, une peinture de la laideur et de la beauté au plan social et comportemental chez les deux genres; ensuite, une invite des deux genres à la même table d’équité et d’Amour réciproques en passant par l’éveil de conscience de la femme: une quintessence de la parole poétique de l’auteure enfin, une incitation au lectorat à aller à cette même table pour une découverte de soi et de l’autre, en vue d’ériger le fondement du vivre- ensemble. La thérapie par l’écriture et la lecture …! >>>
Mme Maria Larba APOUDJAK Ancienne ministre déléguée auprès du premier ministre chargée du Secteur Privé, Ancienne parlementaire, Ancienne Présidente du Réseau des Femmes Africaines Ministres et Parlementaires (REFAMP-Togo).
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Comment tuer dix fois un criminel…
Comment tuer dix fois un criminel ? La question peut sembler banale, mais elle est d’importance. On peut tenter de suivre Couao-Zotti pour comprendre le mystère de la résurrection préalable du criminel, lequel, en tout état de cause, se doit d’être un sujet qui défie le temps et les balles de ses adversaires. Ou qui bénéficie de protections particulières, va savoir.
Dans ce recueil composé de huit nouvelles, le maître de la nouvelle vague des écrivains béninois fait voyager ses lecteurs en les amenant à la découverte des mystères cachés dans les choses que l’on peut trouver insignifiantes. C’est un Bénin surprenant, une Afrique secrète et mélancolique que chante l’écrivain dans cet énième ouvrage dont la composition révèle sa maturité, et son rire tonitruant. J’ai plaisir à vous le proposer comme un viatique, dans votre passion pour les grands voyages intérieurs.
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ZEGLEMETOU
KOFFI KOFFI est né en 1968 à Kringambo dans la sous-préfecture de Bouaflé. Titulaire d’un D.E.A. de lettres modernes, option littérature orale, il est professeur de lettres de lycée. Il est aussi responsable de l’association Point de lecture qui organise les cafés littéraires en Côte d’Ivoire et Ahoko Kouah’in n’gwa gwa, le Festival Ahoko Kouah’in de contes de Kringambo.
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L’héroïne du lycée
Quinze heures ! Un flot de plomb incandescent noyait le lycée / Pas une brise. Tout suffoquait. Dans les classes surchauffées, élèves et professeurs, fronts et joues perlés de sueur, tentaient, tant bien que mal, de se créer une illusion de fraicheur en s’éventant, qui avec un mouchoir en tissu, qui avec un cahier.
De partout montaient des effluves de parfums douteux qui, au contact des miasmes qui se soulevaient de temps à autre comme des lames de fond, devenaient nauséabondes, insoutenable. Un espace peuplé de milliers d’âmes, mais pourtant silencieux comme un cimentière. Les volets complètement ouverts ne semblaient d’aucun secours pour personnes.
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Doumoya
ZOU Michel est né en 1958 à Bouatia s’appelle Gala Bi Youzan à l’état civil. Il est Kweni (Goura) de Bouafla, dans la nouvelle sous-préfecture de Tibéita, Département de Bouaflé, dans le centre-ouest de la Côte d’Ivoire. Marié et père de famille, cet ancien agent du centre secondaire des états civils de Bouafla est actuellement planteur dans ledit village. Il a arrêté les études au CM2 et est titulaire du Certificat d’Étude Primaire et Élémentaire (CEPE) obtenu en 1979. C’est un talentueux conteur. Il a formé un groupe qui l’accompagne lors de ses prestations. Il reste une des mémoires vives du conte gouro. Doumoya, la concurrence des êtres humains et des génies est son premier livre.
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J’écoute et j’apprends
Ce livre bienveillant et encourageant explique aux enfants ce que signifie écouter, pourquoi il est important de savoir écouter et comment développer une bonne capacité d’écoute. Des exemples réalistes et des illustrations tout en couleur permettent une présentation vivante des idées abordées. L’objectif est de montrer aux enfants les résultats positifs d’une écoute attentive. Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut également un chapitre destiné aux adultes avec des outils pour renforcer les compétences enseignées, des questions autour desquelles engager la discussion et des jeux pour apprendre à écouter.
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Je prends soin des objets qui m’entourent
Il y a une place pour chaque chose. Les objets durent plus longtemps quand nous en prenons soin. Avec des mots simples et des illustrations attrayantes, ce livre enseigne aux enfants le respect et le sens des responsabilités, ainsi que l’organisation et la gestion du quotidien. Les enfants apprennent à prendre soin d’eux-mêmes, à ranger les choses à leur place, à demander la permission pour emprunter des objets qui ne leur appartiennent pas et à respecter leur environnement.
Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut un chapitre spécial destiné aux adultes avec des questions autour desquelles engager la discussion, des jeux, des jeux de rôle pour acquérir le sens des responsabilités et des conseils pour apprendre aux enfants à mieux ranger leurs jouets et éviter le désordre.
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Je peux dire NON
Dans Je peux dire non, Jenny Simmons enseigne aux enfants le pouvoir de dire « non ». Qu’il s’agisse de dire non au harcèlement ou à quelqu’un qui envahit leur espace personnel, ou tout simplement de refuser de jouer avec leurs camarades parce qu’ils ont besoin d’un peu de tranquillité, les enfants vont apprendre à s’exprimer pour défendre ce qui est bon et bien pour eux, et fait du bien au monde.
J’ai appris un petit mot. Et aussi petit soit-il, quand je l’emploie avec autorité, je suis la plus forte ! Non. Voilà, je peux dire NON. Je peux dire non à un film que je n’aime pas. Je peux dire non si je n’ai pas envie d’aller faire du vélo. Je peux dire non si je veux rester seule, ou si je me sens un peu fatiguée et préfère rester à la maison. Apprendre à dire non sans se sentir coupables ni avoir besoin de se justifier donne aux enfants le pouvoir de préserver leur espace, leur énergie, leurs convictions et leur temps.
Dire non leur permet aussi de pouvoir dire oui à ce qui leur tient le plus à cœur. En apprenant à employer à bon escient ce mot court, mais puissant, ils seront capables d’aborder la vie avec confiance, autonomie et une saine estime d’eux-mêmes !
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Je parle des problèmes pour les régler
Il n’est jamais trop tôt pour qu’un enfant apprenne le processus nécessaire pour résoudre pacifiquement un conflit. Avec des mots simples et des illustrations qui mettent en valeur le texte, ce livre offre un outil précieux. Les enfants apprennent à se calmer, à parler du problème, à écouter pour comprendre, à réfléchir aux différentes solutions possibles, puis à choisir la meilleure. Et ce n’est pas parce qu’ils ne trouvent pas de solution qu’ils ne peuvent pas faire preuve de respect à l’égard de leur interlocuteur. Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut un chapitre spécial destiné aux adultes avec des questions autour desquelles engager la discussion, des jeux pour apprendre à résoudre des problèmes, des exemples de scénarios, des jeux de rôle et des activités de renforcement des compétences sociales.
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Je me calme et je surmonte ma colère
Il n’est jamais trop tôt pour montrer aux enfants comment reconnaître un sentiment de colère, l’exprimer et développer les compétences qui leur permettront de la gérer de manière positive. Ce livre saura les rassurer et les aider. Ils comprendront qu’il est humain de ressentir de la colère, mais qu’il ne faut pas blesser les autres, ni en paroles ni en gestes. Ils verront comment se calmer, se faire aider, parler et écouter, s’excuser, se montrer patients et voir les autres sous un jour plus positif. Ils auront ainsi les moyens de retrouver leur sérénité intérieure. Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut à la fin un chapitre spécial destiné aux adultes avec des questions autour desquelles engager la discussion, des activités, des jeux et des conseils pour renforcer la capacité des enfants à gérer leur colère.
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Je connais et je respecte les règles
Un enfant incapable de respecter les règles est un enfant souvent en difficulté. Avec des mots simples et des illustrations attrayantes, ce livre apprend aux enfants les règles de base et leur explique pourquoi elles sont importantes : parce qu’elles les aident à apprendre, à assurer leur sécurité, à se montrer justes et équitables, et à vivre en bonne entente avec les autres. L’objectif est de leur faire découvrir l’aspect positif du sentiment de fierté lié au respect des règles, et non les conséquences négatives de leur non-respect. Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut un chapitre spécial destiné aux adultes avec des questions autour desquelles engager la discussion, des jeux et des activités de renforcement des compétences sociales.
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