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YOKPO SETÓNÚ
3.000CFABien éduquer une fille, c’est garantir un radieux avenir à tout une nation, voir tout un continent. Voilà pourquoi ce petit joyau vient rappeler aux filles et femmes d’être respectueuses et d’accepter l’éducation que leur inculquent non seulement leur parents mais aussi leurs nations et les lois.
Le monde des animaux sera une fois de plus sollicité pour implémenter le récit qui impulse cette note de vertus pour nos sociétés.
Mahuna Fidèle Anato, auteur de cet ouvrage s’est rabattu sur une histoire à lui racontée par son arrière grand-mère pour peindre un idéale de fille, <<< animal supérieur » qui en toute sagesse, humilité et bardée d’une bonne éducation a pu supporter des affres d’animaux sauvages au point d’en attirer sympathie et faveur. Il faut le faire.
YOKPO SETÓNÚ, est un conte illustré au cœur croustillant, digeste et pétillant à l’image du polyvalent et homme de scène qui en a porté la plume.
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LA JUNGLE DES ANIMAUX
4.000CFACokou Romain AHLINVI nous invite à plonger au cœur d’une jungle extraordinaire, où les animaux sont bien plus que de simples créatures, mais des acteurs d’une histoire captivante. Dans ce récit fascinant, vous découvrirez les origines de cette jungle, les conséquences de l’arrivée des colonisateurs, les luttes pour l’indépendance des communautés animales, et les bouleversements politiques qui ont marqué son histoire. A travers les destins croisés de ses principaux personnages-animaux, ce livre vous offre une vision unique de la société animale et des leçons précieuses sur l’importance de la préservation de notre environnement. «La Jungle des Animaux» est une épopée inoubliable qui invite le lecteur à réfléchir sur notre propre monde et à embrasser les valeurs de solidarité, de respect de la nature et de lutte pour la justice. Plongez dans ce voyage épique et laissez-vous emporter par les aventures palpitantes qui se déroulent dans la jungle des animaux. Une lecture à la fois divertissante et éclairante, ce livre captivera les esprits curieux de tous âges.
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LE TRAVAIL DES ENFANTS EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
7.000CFAMe livre donne à réfléchir sur le phénomène du travail des enfants en Afrique subsaharienne en situant le contexte dans lequel évoluent les auteurs et les victimes.
Il met en lumière les méthodes peu glorieuses d’une pratique assumée par la doxa communautaire, et a pour objectif de réveiller la conscience collective sur l’urgence de mettre fin au travail des enfants sous toutes ses formes.
Il milite en faveur de l’intérêt supérieur de l’enfant dans le contexte des réalités africaines où la lutte contre le phénomène a considérablement ralenti ces dernières années, selon les estimations mondiales de l’OIT et de l’UNICEF. -
HISTOIRES DE DE TASÌ HANGBÉ
8.000CFAL’histoire de la reine Tasi Hangbé a longtemps été contée à voix basse. Certes, la tradition orale à Abomey, capitale de l’ancien royaume du Danxome faisant aujourd’hui partie du Bénin, a toujours discrètement admis qu’une femme avait bel et bien dirigé le pays de 1708 à 1711. Pourtant, Jumelle d’Akaba, le second roi du Danxomè, Hangbé a non seulement été écartée du pouvoir parce qu’elle était une femme, mais elle a été effacée de l’histoire officielle du royaume.
La figure de Tasi Hangbé ré-émerge autant à l’extérieur qu’à l’intérieur du Bénin, pour devenir petit à petit une icône de la femme en Afrique et dans le monde. Hangbé fut à l’origine des célèbres troupes d’élite féminines du Danxomè, le corps des amazones, ou plutôt des agoojié, qui fera la renommée de l’armée aboméenne, et qui reçut un éclairage international en 2022 avec le succès du film hollywoodien The Woman King.
Ce livre raconte à plusieurs voix la trajectoire exceptionnelle de cette figure historique, unique femme à avoir régné sur le Danxomè, telle que la tradition orale s’en souvient. Sa réédition en 2024 est la reprise d’un livre et d’un documentaire sortis en 2003, époque où peu de gens avaient entendu parler de la reine Hangbé.
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Du Danxome d’alors Tome 7 (Panégyrique des femmes devenues kpojito & jeux traditionnels du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 6 (Économie 3 Artisanat 2 du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 5 (Économie 2 Artisanat 1 du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 4 (économie 1- Agriculture & commerce du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 3 (Vodun transversaux du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice». -
Du Danxome d’alors Tome 2 ( Vodun jowamon du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice». -
Du Danxome d’alors Tome 1 (berceau & expansion du Danxome)
5.000CFAL’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice». -
Mon premier recueil
3.000CFADJOSSOU Princia Donatella Mignonna est née le Vendredi 16 Mars 2012. Avant mars 2021, elle est donc dans sa huitième (8è) année d’existence.
Elle est née un Vendredi, comme son père, DJOSSOU Patrick fils de Maurice, et comme son frère, DJOSSOU Primaël Mauriciano.
Elle est née d’une mère poétesse, Judith-Bernice ADIVIGNON alias Judbern Sytah d’où lui vient donc sa fibre poétique. Ses prénoms rimés (Princia – Donatella – Mignonna) rythment déjà poétiquement sa vie dès sa naissance. Son père est aussi Ecrivain.
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L’alphabet du vodun
3.500CFAL’accusé Vous, mes ancêtres, l’heure a sonné. L’heure de la vérité. Nous avons assez été manipulés. Nous sommes continûment persécutés. Nous sommes chosifiés et animalisés à la fois. Ils nous ont enlevé notre dignité, ils nous ont volé notre humanité et, cela a trop duré. Nos chaînes portées n’étaient pas définitives. Il est temps de prendre la voie de notre Science. Il est temps de réagir. Il est l’heure d’agir. Vous, mes ancêtres, ne m’abandonnez pas. Soyez chers ancêtres, l’avocat de nos divinités diabolisées par les temps d’aliénation.
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Wôlôguèdè la chaîne incarcérée
5.000CFAVous, chaînes !
Symbole d’aliénation !
Symbole de blessures !
Symbole de soumission!
Symbole de meurtrissures !
Je vous transforme en instrument de réconciliation !
Je vous transforme en image du futur !
Et ces anneaux, ces multiples anneaux, en symbole de tous nos frères et sœurs d’Amérique, d’Afrique et des Caraïbes guéris de toutes leurs brûlures et déchirures, en route vers la construction de la grandeur retrouvée de notre Nation. -
Il n’y a pas de départ sans retour
10.000CFAMicheline ADJOVI, auteure de cet ouvrage, ne s’est pas contentée de présenter historiquement les obstacles au développement des peuples africains et particulièrement celui de Danxomè déstabilisé par les affres de la colonisation. Partant du principe de la dynamique sociale, elle a jeté les bases d’un éveil citoyen capable de provoquer les changements sociaux attendus depuis des siècles à travers un postulat énoncé ainsi qu’il suit : « il n’y a pas de départ sans retour ». Cette « loi de l’équilibre cosmique >>> comme le précise l’auteure, est une autre façon de lancer à la face du monde que tout ce qui a été dérobé aux peuples africains en général et au Danxomè en particulier, leur retournera car ils savent attendre tout comme ils savent se battre.
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Sèblamèco
5.000CFAUn peu après minuit, un chien avait commencé à pleurer à travers le village. Aux premiers cris de l’animal, les gens avaient pensé à l’aboiement d’un chien affolé par une silhouette indécise. Mais très vite, la persistance, la détresse et la mutation subite des aboiements en pleurs avaient jeté l’effroi et la panique sous tous les toits. Réveillés par les hurlements, certains hommes, assis au bord de leurs lits, avaient essayé en vain de comprendre le malheur contre lequel les ancêtres et les dieux prévenaient le village. Sous d’autres cieux, dans d’autres villages, cet événement pouvait paraître banal. Mais dans un village fon, particulièrement où chaque chose émettait un souffle, chaque élément de la nature avait une âme et les mythes comme le respect du sacré maintenaient les hommes sous le joug du pouvoir tutélaire des dieux, un chien ne pouvait jamais pleurer par simple hasard. >>>
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Illusion dermique
5.000CFACela fait six jours que cette chose a vu le jour, et elle paraît encore plus claire qu’à sa naissance. Elle ne brunit pas. Aucune pigmentation ne s’annonce. Je m’en suis émue sans trop vouloir l’admettre, puis là, mes pires craintes se confirment. Elle a l’iris de l’œil rouge. Il est indéniable que Moulaya a mis au monde une albinos…
Bineta dit vrai, mon fils Adama, ta femme a donné naissance à une albinos. Le malheur frappera notre village. Nous devons agir aujourd’hui même selon notre tradition. Elle sera traitée à l’instar de tous les êtres anormaux qui ont l’impudence de voir le jour chez nous, qu’ils naissent avec une dent, qu’ils débutent leur première dentition par la gencive du haut, qu’ils sortent par le siège à la naissance et autres anomalies… Comment cela a-t-il pu nous arriver ? Moulaya doit se confesser.
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LE RETOUR DES ANCETRES
4.000CFAAprès avoir perdu nos frères, après avoir perdu les bras valides de notre continent dans l’indigne et inhumain commerce des bois d’Ebène, nous troquons à présent ce qui fait notre essence contre des miettes ! Nous nous dépossédons joyeusement de nos objets, nous détruisons les vestiges de notre passé sous prétexte de pauvreté, d’urbanisation et de construction d’infrastructures. Nous nous appauvrissons davantage et dissolvons notre identité dans l’océan de notre ignorance.
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365 jours avec la sagesse Bousanké (BOO)
6.000CFAAvec une centaine de pages, Cosme Orou Logouma guide les lecteurs à travers les dédales de la sagesse Boo, offrant une immersion constante dans cet univers polyvalent. Chaque jour de l’année est accompagné d’une sagesse spécifique, permettant aux lecteurs de s’enrichir quotidiennement. L’ouvrage « 365 jours dans la sagesse Boussanké (Boo) » est une contribution précieuse à la préservation et à la transmission du riche patrimoine culturel de la communauté Boo.
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La science de mon grand-père
6.000CFAJe commençai par comprendre, sinon par deviner de quoi était faite cette longue discussion téléphonique. En Afrique, principalement, cette fonction à laquelle on m’avait destiné n’était pas la mienne. C’est la belle-mère, paternelle de préférence, qui assiste sa belle-fille qui est en travail. Moi, je n’ai pas connu mon grand-père. Mon oncle non plus. Mon père me racontait souvent que son père était un grand chasseur et un guérisseur avéré, craint par tous pour sa science. Il savait quelle plante utilisée pour remédier à une telle ou telle maladie. Il savait, exactement, quand utiliser les racines, quand prescrire l’écorce et quand intervenaient les feuilles.
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