-
Du Danxome d’alors Tome 7 (Panégyrique des femmes devenues kpojito & jeux traditionnels du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 6 (Économie 3 Artisanat 2 du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 5 (Économie 2 Artisanat 1 du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 4 (économie 1- Agriculture & commerce du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice. -
Du Danxome d’alors Tome 3 (Vodun transversaux du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice». -
Du Danxome d’alors Tome 2 ( Vodun jowamon du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice». -
Du Danxome d’alors Tome 1 (berceau & expansion du Danxome)
L’histoire du Danxōme est un chantier important.
C’est d’abord une chance pour moi. C’est ensuite une chance pour mon pays.
C’est enfin une chance.
Car qui parle le Fongbé parle d’abord le Yoruba.
Car qui parle le Fongbé parle ensuite le Nago.
Car qui parle le Fongbé parle enfin le Éwé.
Le Fongbé est donc une langue fédératrice». -
Mon premier recueil
DJOSSOU Princia Donatella Mignonna est née le Vendredi 16 Mars 2012. Avant mars 2021, elle est donc dans sa huitième (8è) année d’existence.
Elle est née un Vendredi, comme son père, DJOSSOU Patrick fils de Maurice, et comme son frère, DJOSSOU Primaël Mauriciano.
Elle est née d’une mère poétesse, Judith-Bernice ADIVIGNON alias Judbern Sytah d’où lui vient donc sa fibre poétique. Ses prénoms rimés (Princia – Donatella – Mignonna) rythment déjà poétiquement sa vie dès sa naissance. Son père est aussi Ecrivain.
-
L’alphabet du vodun
L’accusé Vous, mes ancêtres, l’heure a sonné. L’heure de la vérité. Nous avons assez été manipulés. Nous sommes continûment persécutés. Nous sommes chosifiés et animalisés à la fois. Ils nous ont enlevé notre dignité, ils nous ont volé notre humanité et, cela a trop duré. Nos chaînes portées n’étaient pas définitives. Il est temps de prendre la voie de notre Science. Il est temps de réagir. Il est l’heure d’agir. Vous, mes ancêtres, ne m’abandonnez pas. Soyez chers ancêtres, l’avocat de nos divinités diabolisées par les temps d’aliénation.
-
Wôlôguèdè la chaîne incarcérée
Vous, chaînes !
Symbole d’aliénation !
Symbole de blessures !
Symbole de soumission!
Symbole de meurtrissures !
Je vous transforme en instrument de réconciliation !
Je vous transforme en image du futur !
Et ces anneaux, ces multiples anneaux, en symbole de tous nos frères et sœurs d’Amérique, d’Afrique et des Caraïbes guéris de toutes leurs brûlures et déchirures, en route vers la construction de la grandeur retrouvée de notre Nation. -
Il n’y a pas de départ sans retour
Micheline ADJOVI, auteure de cet ouvrage, ne s’est pas contentée de présenter historiquement les obstacles au développement des peuples africains et particulièrement celui de Danxomè déstabilisé par les affres de la colonisation. Partant du principe de la dynamique sociale, elle a jeté les bases d’un éveil citoyen capable de provoquer les changements sociaux attendus depuis des siècles à travers un postulat énoncé ainsi qu’il suit : « il n’y a pas de départ sans retour ». Cette « loi de l’équilibre cosmique >>> comme le précise l’auteure, est une autre façon de lancer à la face du monde que tout ce qui a été dérobé aux peuples africains en général et au Danxomè en particulier, leur retournera car ils savent attendre tout comme ils savent se battre.
-
Sèblamèco
Un peu après minuit, un chien avait commencé à pleurer à travers le village. Aux premiers cris de l’animal, les gens avaient pensé à l’aboiement d’un chien affolé par une silhouette indécise. Mais très vite, la persistance, la détresse et la mutation subite des aboiements en pleurs avaient jeté l’effroi et la panique sous tous les toits. Réveillés par les hurlements, certains hommes, assis au bord de leurs lits, avaient essayé en vain de comprendre le malheur contre lequel les ancêtres et les dieux prévenaient le village. Sous d’autres cieux, dans d’autres villages, cet événement pouvait paraître banal. Mais dans un village fon, particulièrement où chaque chose émettait un souffle, chaque élément de la nature avait une âme et les mythes comme le respect du sacré maintenaient les hommes sous le joug du pouvoir tutélaire des dieux, un chien ne pouvait jamais pleurer par simple hasard. >>>
-
Illusion dermique
Cela fait six jours que cette chose a vu le jour, et elle paraît encore plus claire qu’à sa naissance. Elle ne brunit pas. Aucune pigmentation ne s’annonce. Je m’en suis émue sans trop vouloir l’admettre, puis là, mes pires craintes se confirment. Elle a l’iris de l’œil rouge. Il est indéniable que Moulaya a mis au monde une albinos…
Bineta dit vrai, mon fils Adama, ta femme a donné naissance à une albinos. Le malheur frappera notre village. Nous devons agir aujourd’hui même selon notre tradition. Elle sera traitée à l’instar de tous les êtres anormaux qui ont l’impudence de voir le jour chez nous, qu’ils naissent avec une dent, qu’ils débutent leur première dentition par la gencive du haut, qu’ils sortent par le siège à la naissance et autres anomalies… Comment cela a-t-il pu nous arriver ? Moulaya doit se confesser.
-
LE RETOUR DES ANCETRES
Après avoir perdu nos frères, après avoir perdu les bras valides de notre continent dans l’indigne et inhumain commerce des bois d’Ebène, nous troquons à présent ce qui fait notre essence contre des miettes ! Nous nous dépossédons joyeusement de nos objets, nous détruisons les vestiges de notre passé sous prétexte de pauvreté, d’urbanisation et de construction d’infrastructures. Nous nous appauvrissons davantage et dissolvons notre identité dans l’océan de notre ignorance.
-
365 jours avec la sagesse Bousanké (BOO)
Avec une centaine de pages, Cosme Orou Logouma guide les lecteurs à travers les dédales de la sagesse Boo, offrant une immersion constante dans cet univers polyvalent. Chaque jour de l’année est accompagné d’une sagesse spécifique, permettant aux lecteurs de s’enrichir quotidiennement. L’ouvrage « 365 jours dans la sagesse Boussanké (Boo) » est une contribution précieuse à la préservation et à la transmission du riche patrimoine culturel de la communauté Boo.
-
La science de mon grand-père
Je commençai par comprendre, sinon par deviner de quoi était faite cette longue discussion téléphonique. En Afrique, principalement, cette fonction à laquelle on m’avait destiné n’était pas la mienne. C’est la belle-mère, paternelle de préférence, qui assiste sa belle-fille qui est en travail. Moi, je n’ai pas connu mon grand-père. Mon oncle non plus. Mon père me racontait souvent que son père était un grand chasseur et un guérisseur avéré, craint par tous pour sa science. Il savait quelle plante utilisée pour remédier à une telle ou telle maladie. Il savait, exactement, quand utiliser les racines, quand prescrire l’écorce et quand intervenaient les feuilles.
-
Le roman en Afrique anglophone et francophone
Cette réflexion rend compte de la façon dont l’affranchisse- ment des normes classiques de la langue étrangère permet aux écrivains africains de poser un regard plus objectif sur la partie de la création romanesque qui concerne les réalités endogènes de l’Afrique et offre de nouveaux outils de base pour la lisibilité du roman négro-africain. A travers une lecture intertextuelle et comparatiste des romans d’Amos Tutuola, de Gabriel Okara et d’Ahmadou Kourouma, nous avons montré comment la nouvelle technique de création par télescopage culturel et interférence linguistique participe de l’esthétique romanesque de ces auteurs.
-
Le fait religion culturelle vodoun, sans la psychose
Comme a l’habitude de le dire Monseigneur Anselme T. SANON, Archevêque émérite de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso), « le dieu des autres est toujours un démon », autrement dit, il est très facile de diaboliser ce qu’on ne connaît pas, et qui nous est étranger et étrange.
Je me fais dans cet opuscule le devoir intellectuel de présenter un exposé succinct et le plus simple possible du fait religio-culturel vodún (vodoun/vodu/vaudou), dans l’espoir que le mythe cède place à la réalité.
-
Rapport Bénin Tofa 2024
Il est donc heureux que notre pays comprenne la nécessité de tenir compte de la dimension humaine et spirituelle dans la quête du bonheur des populations en intégrant le concept du Bonheur National Brut. Le Fá étant un outil fondamental de connaissance de soi, son utilisation dans les différentes stratégies de développement peut conduire à d’heureux résultats, étant donné qu’il est une méthode d’approche aussi bien scientifique que spirituelle fondée sur la révélation de soi.
-
Les fils de Ra
Les fils de Ra est riche de paroles sacrées empruntées de toutes parts. Les religions semblent y prôner les mêmes lois d’amour. Et les mythes que voilent les innombrables symboles du poème concourent à le prouver. Toutefois, l’origine de ce poème reste un mystère, ses motivations aussi. Et quand Kakpo est questionné, la soif du curieux devient plus inassouvie. Si Eros rime avec Thanatos, Les fils de Ra l’accrédite davantage avec les couples éternels Jiku/Abiku, Mort/Vie et toutes les lois contradictoires universelles profanes et mystiques.