Conforme au programme en vigueur au Bénin
Edition : Yaslo Bénin
Nombre de pages : 135pages
2.500CFA
Manuel Scolaire de la collection « Les cahiers de la réussite » Français de la classe de CM2. C’est un recueil de résumés de cours, des exercices à traité mais aussi des bilans d’étapes.
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Edition : Yaslo Bénin
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Il est beau talentueux et plein d’avenir. Remarqué par une femme d’affaires installée au Nigéria, le Sultan devient, en un temps record, une vedette de la chanson adulée au Bénin et ailleurs. Mais bien vite, il se laisse séduire par sa productrice, néglige ses amis des premières galères et devient inaccessible. Le pauvre ne sait pas qu’il vient d’entrer dans un engrenage et que la gloire est aussi factice que les flonflons et les sunlights du showbiz. A ses dépens, il l’apprendra…
Ce roman nous entraîne dans le monde de la musique, milieu qui paraît, de prime abord clinquant, mais où la guerre des trachées est aussi impitoyable qu’en politique.
Comment vivre un mariage lorsqu’on est géographiquement séparés ? Comment sauver son couple lorsque l’on retourne au pays pour s’inventer une nouvelle vie alors que l’autre préfère rester en terre étrangère, préoccupée par sa carrière professionnelle ? Que faire de chaque côté pour ne pas tomber dans les tentatives d’une aventure extraconjugale alors que l’absence de l’autre pèse sur soi autant qu’un boulet ?
Empêtrés dans cette balançoire de la vie à deux, entre la Côte d’Ivoire et le Bénin, Gohé et Antoina ne font rien pour éviter la rupture. Mais au moment où l’inévitable doit se produire, les deux parviennent à trouver la force nécessaire pour se réconcilier. Ce combat aussitôt terminé, se profite un autre, plus éprouvant incapacité pour eux de faire ensemble un enfant…
Aimer de Nouveau est un roman à tiroirs. Histoire d’amour, combat contre la solitude et l’intolérance d’une société arquée sur ses traditions, il apparaît surtout comme une initiation à assurer son destin, quelle qu’en soit l’issue.
Noël, un jeune immigré africain est passé à tabac par des hooligans blancs dans le métro de Londres. Un groupe de clochards qui étaient à proximité, intervient pour le sauver. Ayant perdu connaissance, Noël se réveille plus tard chez l’un de ses sauveurs, un mendiant. Le jeune homme découvre que sous ce manteau de clochard, se cache un homme puissant, se faisant appeler le Grand Baba – l’Etre Suprême – qui lui propose la richesse et le pouvoir, s’il acceptait d’être son « représentant » en Afrique. En acceptant ce pacte, Noël ne sait pas qu’il est désormais lié au diable qui fera de lui un homme riche, craint, mais aussi l’un des destins les plus tragiques de l’Afrique.
Ce roman est une odyssée profonde dans le milieu et les souterrains des grosses fortunes et des pouvoirs inusables. C’est un faible moderne qui déconstruit le mythe des destins toilés sur mesure.
Un homme s’élança dans le cercle, hurla, déchira ses habits, les lança en l’air et se mit à rouler comme un canari. Trois adeptes du dieu surgirent et se jetèrent à sa poursuite. Ils eurent assez de mal à le maîtriser. Il les traîna d’un bout à l’autre de la grande place. Incessants va-et-vient. Moqueurs va-et-vient. Ils l’étreignirent. Il semblait avoir plus de force qu’eux. Ils parvinrent à le contenir. Redevenu calme, le possédé redressa la tête.
Le colonel ! Il venait d’être choisit par la danseuse. Le fétiche avait fait de lui son pur-sang. Pouvait-il refuser ? D’ailleurs, n’était-ce pas là une bonne façon de se repentir ? Se mettre au service de la justice après des décennies d’injustices, des siècles de viols, des millénaires de meurtres…Les adeptes l’entraînèrent vers le couvent. Le colonel y séjourna six mois. Il apprendra la vie. Il apprendra le respect de la dignité des autres. Il apprendra les lois de la nature. Il apprendra les valeurs. Et un soir, sous le gros iroko de la place Sato, on le verra se contorsionner, paré de couleurs et de vie, sous les youyous qui fuseront de toutes parts…
Deux destins que tout oppose se croisent : un bébé abandonné par Monique, une femme démunie et un couple riche en quête d’un enfant. Adopté, le bébé grandit dans ce foyer où par miracle un autre enfant naît. Déji. Amoureux, il ne vit que dans la certitude de l’épouser. Mais Jojo, c’est la fille de Monique, elle ne sait pas que son fiancé est le frère de lait de son propre demi-frère, Plus grave : les parents de Déji s’opposent à elle, arguant qu’une danseuse n’est qu’une femme de mœurs légères. Dans cette intrigue où l’on avance à tâtons les personnages deviennent des marionnettes aux mains du destin qui les instrumentalise et se joue d’eux.
Heureusement que l’amour est là. Puissant antidote contre les trajectoires imposées, il donne parfois à la vie des saveurs insoupçonnées.
Délé vient de célébrer son deuxième mariage à l’insu de sa première épouse, Hironkè. Alors que la jeune mariée s’ennuie dans l’attente de l’enfant qu’elle accouchera bientôt, Mariam, la veuve de son oncle, commence à mettre au point la stratégie destinée à lui arracher Craigs Holding, la société familiale à la tête de laquelle trône le jeune homme. Mariam s’est adjoint les services d’Alex, son jeune frère revenu des Etats-Unis et enrichi dans des activités troubles. Peu à peu, l’étau se resserre autour de Délé qui empêtré dans ses histoires matrimoniales, ne voit pas venir le mal. Mais il y a comme l’ombre d’une bonne fée qui plane sur lui en la personne du détective privé Amzat qu’il a engagé à son service.
Règlement de comptes, cinquième tome de La Nuit fatale, met un point final à cette saga familiale où, amour, argent, haine, trahison, rapprochent et en même temps divisent les personnages, véritables archétypes des figures du business moderne africain, dignes des caractères des grandes séries américaines comme Dallas ou Dynastie.
Deux collégiens, Olaoyé et Lyabo, sont épris l’un de l’autre. De cet amour banal est censé naître une expérience pour les deux tourtereaux dont l’idéal sentimental est, pour leurs proches, condamné à se heurter aux épreuves de la vie. C’est la fable de Tristan et Yseul.
Destinée aux enfants dès la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout-petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
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