Auteur : Abdel Hakim A. Laleye
Editions : Laha
Nombre de pages : 111pages
3.000CFA
Suite à de fréquentes parties de pêches infructueuses, un brave homme réussit à prendre dans ses filets un magnifique poisson rouge. Peu satisfait, il décide de retourner à la maison avec cette prise. Mais le poisson le supplie de bien vouloir le relâcher. Il lui demande, contre sa libération, de former les vœux de son choix qu’il rendrait réels. Le pêcheur souhaite devenir riche. En moins de temps qu’il n’en faut, il se retrouve propriétaire d’une fortune avec laquelle il s’offre maisons et tous les biens possibles. Craignant de devoir un jour être concurrencé par un autre, il décide de capturer son précieux bienfaiteur pour en disposer à sa guise à la maison. Mais le poisson meurt asphyxié dans le bocal où il est enfermé. Dès lors, c’est le déchaînement des éléments. La nature, agacée par cette gourmandise, déverse sa colère sur l’homme et sa famille.
Des siècles plus tard, alors que nous sommes en pleine modernité, des élèves en excursion sur le site, pêchent par amusement trois poissons et l’emportent avec eux. Mal- heureusement, les trois alevins meurent dans le bocal où ils sont faits prisonniers. Un tourbillon furieux s’élève alors du lac pour s’abattre sur eux.
Auteur : Abdel Hakim A. Laleye
Editions : Laha
Nombre de pages : 111pages
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Les rêves de Fati, une fiction socio-politique qui émerge de la réalité contemporaine. Un personnage né dans le quotidien du lecteur avec des dons extraordinaires, doté d’une détermination à nulle autre pareille. Le génie combiné au travail produit l’excellence.
Du collège au ministère en passant par la direction de l’agence nationale de lutte contre les pandémies, Fatimata Damagui montre le chemin de la résilience aux jeunes. Pas de compromission avec les valeurs ni de reniement de l’identité culturelle.
Par le sas de ce récit, l’auteur dénonce les tares de la société : corruption, harcèlement sexuel, stéréotypes sexistes, viol, trafic des enfants, insécurité, dégâts de la transhumance… Il y valorise l’éducation, les traditions endogènes, le patrimoine culturel matériel et immatériel.
Adéyêmi resta ainsi sans bouger, sans porter. Soudain, le bruit se fit de nouveau entendre. Cette fois-ci, il était plus fort, plus distinct. Adéyêmi leva lentement la tête vers l’endroit d’où le sort provenait C’est alors qu’il vit l’étrange créature, perchée sur une branche du cocotier, la tête en bas comme si elle était en train de le regarder. C’était le Aagan. Le jeune homme ne pouvait plus bouger ».
Adjao a oublié la promesse faite un jour aux dieux des tambours de les servir jusqu’à la fin de sa vie. Il leur avait demandé la fertilité, pour couronner son mariage où l’absence d’enfant menaçait la dislocation du couple. Mais une fois comblé, une fois l’enfant né, Adjao a semblé faire dos à cet engagement. Surtout que l’enfant en question, devenu riche et peu flatté par le métier de griot de son père, lui a demandé de tout laisser tomber en échange d’une vie plus sereine et à l’abri du besoin.
Mais les choses ne fonctionnent pas de cette façon. Hanté par l’esprit d’Ayangalu, traqué par les gens de la tradition qui lui recommandent de se retremper dans ses vieux habits de griot, le vieil Adjao mesure avec gravité la menace qui pèse sur lui et sur sa famille. Surtout sur l’enfant prodige. Mais il refuse de se prêter au jeu des croyances de son milieu.
A travers la première partie de cette histoire, nous voyons comment se constituent les pièces de ce drame qui s’interroge sur la place du griot dans les sociétés africaines modernes et la portée des engagements pris au nom de notre propre confort. Une histoire forte à l’heure où on parle de revalorisation des religions traditionnelles.
Un ouvrage à nouveau, qui s’adresse d’abord à la tendre jeunesse, Avec pour partage la nature, les rêves, les peines et les joies de la vie.
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