Auteur : Francine Aïssi HOUANGNI
Editions : IDS
Nombre de pages : 164
5.000CFA
Certains moments de la vie favorisent une pause pour mieux déchiffrer quelques points saillants du parcours afin d’en saisir les axes porteurs pour mieux affronter en toute lucidité les défis présents et futurs. Cet exercice qui a commencé au virage de cinquante ans, s’achève après la boucle d’un quart de siècle d’activités professionnelles…
C’est alors que se découvrent d’abord la vie d’une fille qui, comme beaucoup, a tant reçu de sa mère en termes d’éducation à la vie; ensuite celle d’une jeune femme de vingt-cinq ans à peine, osant comme pluskan a certainement, à partir de moyens modestes à tous égenter dans l’entrepreneuriat et enfin celle d’une épouse et d’une mère devant conjuguer la de famille avec les exigences protestonelles. N’y aurait-il pas alors un qui la porte, la main invisible de Dieu, manifestée par les ma visibles de tant d’hommes et de femmes ?
Auteur : Francine Aïssi HOUANGNI
Editions : IDS
Nombre de pages : 164
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Mamy raconte des histoires mystérieuses au clair de lunc, les copines parlent de leurs secrets de filles, Mustapha tente sa chance… Mais Marianne
tourne dans ses pensées. Elle attend. Quoi au juste ?
Elle aimerait bien le savoir. Ce n’est pas toujours facile d’avoir 15 ans
Dans ce premier roman, Mabely Soumah aborde le problème de la puberté avec délicatesse et franchise pour tenter d’aider les jeunes filles, mais… pas uniquement les jeunes filles.
Dans la même Collection
Victimes 2 l’amour
-Sous les fleurs des larmes
-Les Fawx Marabouts
Je ne sais pas si ces histoires (ces contes) sont vraiment du passé, je ne sais pas si ces vérités d’autrefois sont des mensonges aujourd’hui. Mais nous nous trompons peut-être.
Car je reviens d’Amérique et je crois que, dans ce pays qui est encore l’un des rares à faire rêver, les héros existent toujours, les miracles existent, les animaux parlent, la nature parle toujours aux hommes. En fait, ceci devrait être la même chose chez nous. Et si nos vieilles histoires d’hier correspondaient aussi au monde de demain ? Je ne sais pas. Je ne sais pas si tout cela est vrai. Mais j’aimerais entendre encore ces histoires (contes). Je crois que ce sont des histoires du passé, mais qui nous projettent dans le futur…
Les enfants chantaient. Ils battaient les mains, regroupés en cercle. Certains tapaient sur des boîtes de conserve éventrées ; d’autres, cherchant un son plus particulier, plus excitant, frappaient leurs cuisses faméliques ou leur caleçon sentant d’urine et de morve. La musique montait haut, encore plus, semblait aussi prendre part à la fête.
La bande grossissait, peu à peu. On criait, on sautait, on gambadait, et on criait encore. C’était une vraie troupe qui se produisait en pleine rue. Spectacle gratuit. Pas besoin de ticket. Certains passants s’arrêtaient pour participer à la fête. Les motocyclistes grimpaient sur leurs engins pour s’offrir pleine vu.
𝓐𝓲𝓬𝓱𝓪 ! 𝓐𝓲𝓬𝓱𝓪, 𝓮𝓬𝓸𝓾𝓽𝓮 –𝓶𝓸𝓲 !
𝓐𝓲𝓬𝓱𝓪 ! 𝓐𝓲𝓬𝓱𝓪, 𝓽 ‘𝓮𝓷 𝓿𝓪 𝓹𝓪𝓼 !
Et les héros dansaient. Ils dansaient sur le refrain de Khaled. Un homme et une femme. Un vrai couple. La femme semblait beaucoup plus âgée que l’homme, mais peu importait. Une femme n’a pas d’âge, l’important c’est ce qu’elle peut offrir à son homme.
« Les erreurs les plus fondamentales des gens intelligents qui prétendent accomplir de grands changements, surtout s’ils emploient des stratégies ou initiatives à haut risque, restent essentiellement les mêmes aujourd’hui.
Face à l’écrasante probabilité d’échouer, aucun individu rationnel ne s’y risquerait. Or nous le faisons. Tous les jours. Car ce que nous ressentons est plus puissant que ce que nous pensons de manière réfléchie. Et c’est alors que nous ne choisissons pas ce qui nous arrive, mais nous pouvons choisir la façon dont nous les vivons.
Que nous l’admettons ou pas, nous ne sommes pas des êtres tout à fait rationnels. Sinon, personne ne tomberait jamais amoureux… »
Extrait de la préface de Franz L. OKEY
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