Editions: Hatier
Collection: L’Afrique et le monde
Editions: Hatier
Collection: L’Afrique et le monde
SKU: | 0225LRO |
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Categories: | 1er Cycle, Manuels Scolaires, Secondaire |
Tags: | Afrique, Histoire |
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Arouna est le plus petit des concurrents. Les organisateurs de la course hésitent à
l’accepter. La foule se moque de lui. Mais Arouna ne se laisse pas décourager…
Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette œuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente œuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.
Fièrement, Wangaharo
s’approcha de sa femme et lui proposa :
-Bori,
permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je
t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante tête de vaches
comme moussouforey.
Celle-ci
répondit calmement :
-Mon cher
frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens
périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la
vénération d’une déesse
Le prince Wangaho s’éprend
éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à
son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale.
Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux
roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestrales où la parole est tout
un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui
conférer la forme voulue.
Je retrouvai mon appartement. Vidé de son contenu, comme un bélier éventré le jour de la Tabaski. Il me restait juste le haut-parleur, qui ornait encore cette pauvre chambre, triste de mes désirs. C’était du moins l’image que je recevais. Mon lit, le matelas, tout le reste était parti dans des bradages commerciaux pour que je puisse prendre ce vol vers le Canada. J’avais dépensé tout l’argent qui m’avait été donné, en plus de ce que j’avais pu réunir de la vente de mes biens. Et là, je revenais bredouille, la tête assaillie par une marée de doutes.
Mais qu’avez vous à parlementer avec ce déchet humain, proféra celui qui semblait être l’aîné de la fratrie. Hors de notre vue, t’a-t-on dit, père indigne! Tu n’es pas un père, t’es une vipère. Va t’adonner à la loterie sous d’autres cieux.
Ce disant , il s’empara des bagages de son géniteur , aidé par ses frères et sa sœur. Ils allaient jeter les effets de leur ascendant sur la route très passante du quartier Kouhounou
Impuissant, le père renié courut vers ces modestes biens afin qu’ils ne fussent pas aplatis par le flot incessant des véhicules. Compréhensifs, les conducteurs ralentirent pour épargner ces objets incongrus. Les spectateurs viennent à sa rescousse et lui prêtèrent main-forte. Ainsi Norbert sauva-t-il de justesse ses affaires.
…..Norbert fut pourchassé comme un malfrat pris la main dans le sac, et se fut conspuer. Aussi les badauds le virent-ils, pliant sous le poids de ses baluchons comme s’il ployait sous celui du destin, essayant de s’enfuir afin d’échapper aux jets de pierres. Pierres que lui lançaient ses propres enfants dans le but de s’éloigner de son domicile dans le meilleur des cas, à moins qu’il ne s’agit de le lapider…
Après une terrible inondation qui a plongé le village dans la désolation, les jeunes ont pris ensemble la résolution d’assainir leur milieu de vie.
Mais comment y parviendront-ils?
Ils se mirent côte à côte. Je me plaçai devant eux, toute nue, les jambes légèrement écartées. Ils fixèrent mon entre-jambe et mes deux petits citrons chéris installés de part et d’autre de la poitrine. Et leur quéquette, entre les cuisses, se mit naturellement à redresser la tête, comme un lézard. Certains se la chatouillèrent pour la rendre plus prompte. J’attendis là, impatiente de voir celui dont le bout de chair résistera plus que les autres. Après quelques minutes, un lézard se mit à piquer du nez, doucement, et finit par se recroqueviller complètement. Celui-là s’écarta honteusement du groupe et laissa les autres continuer le test.
Fuyant la guerre dans son pays, Sylvia arrive au Bénin, sans adresse, et est hébergée par Claudy, un étudiant en fin de formation. Elle raconte son enfance en Côte d’Ivoire, mais évite de parler de la guerre qui lui a pris tout ce qu’elle a de plus cher. Mais ce que Sylvia ignore, Claudy est, lui aussi, un réfugié de guerre.
Le docteur a félicité Bernard.
Quand son frère s’est brûlé, il a eu de bons réflexes.
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