Format : 21 cm x 29 cm ;
Nombre de pages : 48 pages ;
Poids : 0,17 kg ;
Collection : Grains et ficelles
1.000CFA
Les cahiers d’activités « Grains et ficelles » favorisent l’apprentissage pratique des chiffres et des lettres par manipulation de grains et de ficelles. Après l’activité manuelle, l’enfant transcrit son expérience et apprend facilement.
Format : 21 cm x 29 cm ;
Nombre de pages : 48 pages ;
Poids : 0,17 kg ;
Collection : Grains et ficelles
SKU: | 062ERA |
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Categories: | Manuels Scolaires, Primaire |
Tags: | Afrique, Bénin, Maternelle |
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<<Petit, il était si beau qu’on le prenait pour une fille. Il était beau, très beau, Sitou était vraiment beau…“Ce n’est rien, pensaient ses géniteurs. Avec le temps Sitou changera, sa vigueur s’affirmera ; Sitou s’affranchira de cette étrange féminité” Erreur !!>>
Ainsi se décrit Sitou, l’étrange et le stupéfiant personnage de ce recueil. Vous le découvrirez davantage en savourant les pages de l’ouvrage. Sitou et la rivière de la nudité, Grand prix littéraire du Bénin en 2019, catégorie Contes, est un recueil renfermant deux contes du Bénin d’inspiration endogène. Il est
L’ouvrage est centré sur un vécu quotidien et la vraisemblance d’un réel cri d’amour. Elle amène très adroitement, au fil des pages, le lecteur à voir la blessure et la souffrance des adolescents qui découvrent le grand Amour qui leur échappera tout aussi banalement.
La réalité que décrit Barbara n’appartient qu’au genre humain. Tout le monde, tôt ou tard, en fait les frais. L’auteur livre aux lecteurs sans faux-fuyants, ni dissimulation d’aucune sorte, ce que ressentent les jeunes amoureux. A cet âge, on est jaloux de ses sentiments que l’on dissimule dans son jardin secret. Barbara Akplogan termine son ouvrage.
Les mots d’Amour, par une mise en garde à la jeunesse insouciante. Elle persiste et signe : Le sida existe, il faut savoir l’éviter par un
comportement responsable.
Mais qu’avez vous à parlementer avec ce déchet humain, proféra celui qui semblait être l’aîné de la fratrie. Hors de notre vue, t’a-t-on dit, père indigne! Tu n’es pas un père, t’es une vipère. Va t’adonner à la loterie sous d’autres cieux.
Ce disant , il s’empara des bagages de son géniteur , aidé par ses frères et sa sœur. Ils allaient jeter les effets de leur ascendant sur la route très passante du quartier Kouhounou
Impuissant, le père renié courut vers ces modestes biens afin qu’ils ne fussent pas aplatis par le flot incessant des véhicules. Compréhensifs, les conducteurs ralentirent pour épargner ces objets incongrus. Les spectateurs viennent à sa rescousse et lui prêtèrent main-forte. Ainsi Norbert sauva-t-il de justesse ses affaires.
…..Norbert fut pourchassé comme un malfrat pris la main dans le sac, et se fut conspuer. Aussi les badauds le virent-ils, pliant sous le poids de ses baluchons comme s’il ployait sous celui du destin, essayant de s’enfuir afin d’échapper aux jets de pierres. Pierres que lui lançaient ses propres enfants dans le but de s’éloigner de son domicile dans le meilleur des cas, à moins qu’il ne s’agit de le lapider…
_L’anthologie »Sororité Chérie » coordonné par Carmen Toudonou est édité par Vénus d’Ébène. Il présente les textes de 32 contributrices du monde entier sur la thématique de la sororité. Elles sont Béninoises, Ivoiriennes, Camerounaises, Suissesse, Françaises, Togolaise, Canadienne et Malienne, et elles unissent leurs voix autour de cette thématique. Le collectif présente des réflexions, du théâtre, des nouvelles, de la poésie et de l’art graphique. Les contributrices sont écrivaines, journalistes, chanteuse, enseignantes, dramaturges, bibliothécaires, avocate, peintre, chercheures…
La sororité, c’est la solidarité entre femmes. Aussi vrai que les femmes ne devraient pas être forcément des rivales les unes pour les autres.
Yénounkoun écrasa un graillon tout près de moi. Je n’ai aucunement peur qu’il me contamine avec sa tuberculose, le rue ne m’a pas laissé grand espoir. Mourir d’une tuberculose serait un luxe dans les rues de Cotonou. Je n’ose pas m’en plaindre. Pas du tout. Je peux pleurer nuit et jour, la vie ne m’offrira rien de gratuit, j’en suis bien conscient. Elle en a décidé ainsi depuis l’époque de mes parents. Voilà d’ailleurs pourquoi j’ai horreur de prier. Je ne comprends même pas cette contradiction. Les mêmes dans leur chasuble ou veste allèguent … Tout est accompli …, et pourquoi vais-je encore prier ?
Dans ce livre foisonnant d’images se lisent et vivent les petites joies des enfants de la rue, et aussi leurs peines. Ces enfants qui ne sont rien d’autre que notre propre reflet, et qui n’attendent qu’une main.
Les nombreuses publications d’Abiola Felix Iroko font de lui un chercheur hors pair . Ses domaines de prédilections se sont élargis avec le temps et l’expérience : la traite négrière et ses corollaires, l’organisation socio économiques et politiques des sociétés béninoises de la période précoloniale , le vaste domaine de l’histoire des mentalités sont des aspects de l’historiographie africaine auxquels s’est intéressée la belle plume de Felix Iroko. Ce livre est un hommage rendu à un grand historien béninois , à un érudit africain.
Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette oeuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente oeuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.
Depuis que sa mère lui avait appris devrait suivre sa tante lors de son prochain séjour au village, afin d’être placée comme « vidomegon »dans une famille nantie en vine, Yèmi pouvait plus dormir. Elle était inquiète sur son sort. Ce qu’elle ignorait, c’est que sa mère également n’était pas tranquille. On dit tellement de choses concernant les « vidomègon ». Ce sont des enfants battus à longueur de journée ; des enfants taillables et corvéables à merci. Ils sont les premiers levés et les derniers couches. ils sont mal nourris et dorment souvent sur le sol nu. On raconte tellement de choses sur eux !
Plus le jour du départ approchait, et plus grande était sa peur de l’inconnu.
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