Editions: Hatier
Collection: L’Afrique et le monde
Editions: Hatier
Collection: L’Afrique et le monde
SKU: | 0224LRO |
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Categories: | 1er Cycle, Manuels Scolaires, Secondaire |
Tags: | Afrique, Histoire |
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Les nombreuses publications d’Abiola Felix Iroko font de lui un chercheur hors pair . Ses domaines de prédilections se sont élargies avec le temps et l’expérience : la traite negrière et ses corolaires, l’organisation socio économiques et politiques des sociétés béninoises de la période précoloniale , la vaste domaine de l’histoire des mentalités sont des aspects de l’historiographie africaine auxquels s’est intéressé la belle plume de Felix Iroko.Ce livre est un hommage rendue à un grand historien béninois , à un érudit africain.
_L’anthologie »Sororité Chérie » coordonné par Carmen Toudonou est édité par Vénus d’Ébène. Il présente les textes de 32 contributrices du monde entier sur la thématique de la sororité. Elles sont Béninoises, Ivoiriennes, Camerounaises, Suissesse, Françaises, Togolaise, Canadienne et Malienne, et elles unissent leurs voix autour de cette thématique. Le collectif présente des réflexions, du théâtre, des nouvelles, de la poésie et de l’art graphique. Les contributrices sont écrivaines, journalistes, chanteuse, enseignantes, dramaturges, bibliothécaires, avocate, peintre, chercheures…
La sororité, c’est la solidarité entre femmes. Aussi vrai que les femmes ne devraient pas être forcément des rivales les unes pour les autres.
Après une terrible inondation qui a plongé le village dans la désolation, les jeunes ont pris ensemble la résolution d’assainir leur milieu de vie.
Mais comment y parviendront-ils?
Fièrement, Wangaharo
s’approcha de sa femme et lui proposa :
-Bori,
permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je
t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante tête de vaches
comme moussouforey.
Celle-ci
répondit calmement :
-Mon cher
frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens
périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la
vénération d’une déesse
Le prince Wangaho s’éprend
éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à
son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale.
Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux
roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestrales où la parole est tout
un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui
conférer la forme voulue.
Yénounkoun écrasa un graillon tout près de moi. Je n’ai aucunement peur qu’il me contamine avec sa tuberculose, le rue ne m’a pas laissé grand espoir. Mourir d’une tuberculose serait un luxe dans les rues de Cotonou. Je n’ose pas m’en plaindre. Pas du tout. Je peux pleurer nuit et jour, la vie ne m’offrira rien de gratuit, j’en suis bien conscient. Elle en a décidé ainsi depuis l’époque de mes parents. Voilà d’ailleurs pourquoi j’ai horreur de prier. Je ne comprends même pas cette contradiction. Les mêmes dans leur chasuble ou veste allèguent … Tout est accompli …, et pourquoi vais-je encore prier ?
Dans ce livre foisonnant d’images se lisent et vivent les petites joies des enfants de la rue, et aussi leurs peines. Ces enfants qui ne sont rien d’autre que notre propre reflet, et qui n’attendent qu’une main.
Une femme à qui son ami propose, pour devenir immensément riche comme elle, de piler son bébé afin d’en faire un savon magique ; une jeune fille folle amoureuse de l’amant de sa mère et qui en tombe même enceinte ; un chef d’Etat véreux dont le seul souci est de s’éterniser au pouvoir au détriment du peuple ; toute une famille mise
en branle par l’annonce du décès d’un des siens, mais qui découvre que c’était en réalité une fausse alerte ; un féticheur qui identifie l’auteur d’un vol ; un autre qui, invité pour découvrir la cause d’un décès, révèle plutôt la maladie d’un tiers, etc…
Tel est le cocktail littéraire que constitue ce recueil. Tant d’histoires savamment écrites qui nous plongent dans
des réalités sociales, culturelles et politiques surprenantes.
Le docteur a félicité Bernard.
Quand son frère s’est brûlé, il a eu de bons réflexes.
Depuis que sa mère lui avait appris devrait suivre sa tante lors de son prochain séjour au village, afin d’être placée comme « vidomegon »dans une famille nantie en vine, Yèmi pouvait plus dormir. Elle était inquiète sur son sort. Ce qu’elle ignorait, c’est que sa mère également n’était pas tranquille. On dit tellement de choses concernant les « vidomègon ». Ce sont des enfants battus à longueur de journée ; des enfants taillables et corvéables à merci. Ils sont les premiers levés et les derniers couches. ils sont mal nourris et dorment souvent sur le sol nu. On raconte tellement de choses sur eux !
Plus le jour du départ approchait, et plus grande était sa peur de l’inconnu.
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