Campagne « Consommons Le livre Béninois »
S’inspirant de la campagne Consommons Local initié par le gouvernement, BOOKCONEKT a lancé la campagne digitale ‘’Consommons le livre béninois (CLB)’’. C’est une campagne digitale de mise en avant du livre béninois à travers le livre lui-même, les auteurs et les maisons d’éditions. Cela permet de révéler le livre béninois non seulement aux acteurs mais aussi à la population puis d’inciter les usagers à l’achat.
Cette 4ème édition démarre le 5 décembre 2022 et finit le 15 Janvier 2023 et se passera sur les réseaux sociaux de BOOKCONEKT mais aussi sur le terrain à travers des affiches qui seront collés.
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Yogbo le tartuffe et autres contes du Bénin
Dans ce recueil, des animaux ont parlé, des génies ont parlé; dans ce recueil, des végétaux aussi ont parlé ! Et le suc de leurs paroles cible la race humaine. Le suc de leurs paroles, superposant, confortant et ou opposant l’exemplarité et l’inexemplarité interpelle l’homme. Ces contes sont autant de théâtre d’éveil à l’exercice de la fonction humaine. Onze contes donc, autrement dit onze situation de communication spécifique ou le texte-parole se veut un potentiel susceptible d’actualisation, d’interpellation et donc d’édification.
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YEMALIN
YEMALIN, ce recueil d’histoire extraordinaire est inspiré aussi bien de souvenir d’enfance de l’auteur que de son imaginaire presque intarissable.
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VODU YOHOUÉ
Il est question dans cet ouvrage du fondement de Mahou, la puissance suprême à qui tout le monde se confie, et de la finalité réelle du Yohoué-Vodu. l’Afrique selon l’auteur, a légué à travers le Vodu, le vrai sens du divin à l’humanité. Dans ce sens, «n’est-il pas injuste qu’une religion qui interdit le crime et le vol soit sacrilège et ses adeptes voués à l’enfer?». Quel lien est-il donc nécessaire de faire entre le Yohoué de nos ancêtres et la religion importée par le colonisateur ?
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Vodou: la Forteresse d’Espérance
La civilisation vaudou va faire gagner l’Afrique. Lorsque l’Africain, de bonne foi va se fortifier dans sa culture et dans sa spiritualité et s’engager au travail avec audace et créativité, le développement prendra corps. Tu verras !
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Vivez la vie de vos rêves
Ce livre est écrit par Julien AWOLOSSOU, Coach certifié et membre du cabinet Artémise Consulting, basé à Abomey Calavi, en République du Bénin. Il expose des outils exceptionnels de coaching et développement personnel pour booster la performance des individus et des organisations. Ces outils portent sur comment orienter et réorienter sur les plans scolaire ,académique ,et professionnel; comment détecter et valoriser ses potentiels (talent et passion), créer et gérer son entreprise, son argent, son temps , ses objectifs et ses relations humaines.
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Une nuit inoubliable
Bibath et Alioune dormaient paisiblement, après une journée de dur labeur. Rien ne présageait d’une nuit pleine
d’événements inoubliables. Soudain, ils furent réveillés par une incroyable inondation.
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Un piège sans fin
Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde. Jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Évènement dérisoire : le fantasme d’une femme, mais tel est le piège qui fait qu’à l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique.
Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres Françaises, au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme. Sur sa solitude aussi, à quelque climat qu’il appartienne. »
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Un espoir émasculé
La ville… un conte de fées pour les jeunes villageois qui pensent à jamais laisser la souffrance derrière eux en y arrivant. Mais ce qu’ils ignorent, ce miroir aux alouettes ne pardonne pas, ca paie cash. Notre héros le comprend a-t-il un jour ? Espérons seulement qu’il ne soit pas trop tard pour lui.
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Un drôle de rêve
Coovi est triste parce que sa grand-mère est malade. II en perd l’appétit. Dans un rêve fort troublant, il la voit
Mais il ne peut aller vers elle. En route vers l’école, il relate son rêve à Kaïvi sa camarade. ll est soucieux.
Grand-mère ira-t-elle mieux ? Coovi s’interroge sur le cycle de la vie : naître, grandir, mûrir, vieillir, mourir.
La mort. Plus de jeux, plus de sourires, plus d’instants partagés… Quand on meurt, tout s’arrête ?
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Tu seras ma passerelle…
S’asseoir sur le rebord de la vie et regarder passer le temps qui laisse derrière une grosse traînée de regrets.
Voir le temps faire du roller. Sauter d’harmattan en harmattan boire d’un trait les feux de brousse en un mot s’entraîner pour une pirouette au Cirque du Soleil.
Moissonner les étoiles pour en faire un collier à ton cou.
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Trop de diables sous leur jupe
Nous avons écrit Trop de diables sous leur jupe à
deux : Une femme et un homme, un Européen et une Africaine, une Noire est
un Blanc, de sexe, de culture et de sensibilité différents. Entreprendre une
co-écriture à égalité, c’était emprunter un chemin long et difficile. Après
coup et non sans quelques inévitables, conflits, -nous sommes devenus
incapables, l’une et l’autre, se distinguer les coutures de nos contributions
respectives.C’est cet échange, nécessairement lent et
complexe pour éviter les malentendus, qui permet à chacun de nous prendre une
distance avec ses habitudes de pensée ou de comportement, de créer, couche
après couche, une écriture commune, vivante et imagée, parfois émaillée de
proverbes ou d’expressions en fon, en mina ou en yoruba pour donner du relief à
la langue. -
Tresses d’océan
Dans l’intimité bleue qui s’écarte devant nous j’ai pêché l’ombre de la folie je l’ai pêchée à l’hameçon de tes yeux sans me soucier de notre passé qui insuffle vie.
Il était là, vêtu de toute sa candeur, de son innocence déstabilisante. Il était là, vêtu de ses dents de lait tant enviée par le soleil.