2.000CFA
Il a pour objectifs essentiels:
Développer les facultés intellectuelles de l’enfant;
– Développer sa créativité, sa concentration, sa curiosité, son imagination, sa patience, sa faculté d’observation, son sens esthétique;
– Développer ses capacités de mémorisation et d’attention;
– Eveiller son intelligence (capacités de réflexion et d’analyse).
Le dessin est donc d’une importance capitale dans la formation éducative des enfants
La collection les Doigts de Fée propose une gamme de livrets pour aider nos jeunes enfants à maîtriser cet art. REUSSIR LE DESSIN, fruit de longues et passionnantes années de recherches, constitue un précieux outil de travail qui comblera l’attente des écoliers et des enseignants. Une méthode dynamique et rapide qui excite l’imagination de l’enfant. Elle permet d’acquérir des techniques élémentaires qui sont les règles de base indispensables. Une méthode qui assure son propre élan et donne à son génie personnel de se révéler et de se manifester à son tour.
Auteur : TEVI-BEISSAN Anselme
Editions : Gameeli
Nombre de pages : 72 pages
M. TEVI-BENISSAN Anselme a été précédemment professeur, en service au Collège Catholique Pére Aupiais et dans beaucoup d’autres Collèges et lycées de Cotonou. Il a mis ce manuel d’écriture à la disposition des enfants du CM1 pour répondre à la préoccupation des enseignants et des parents qui ont compris que l’apprentissage, de l’écriture crée des automatismes qui durent toute la vie.
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«Un enfant qui apprend à écrire, à bien conduire les mouvements de sa main, exerce un contrôle de soi. L’élève qui écrit péniblement sera gêné dans ses études et dans sa vie »
De nos jours, les élèves écrivent de plus en plus mal. Cela gêne énormément les enseignants qui éprouvent souvent de grandes difficultés à lire les copies de leurs élèves. Cela gêne les apprenants eux-mêmes qui, bien souvent, n’arrivent pas à déchiffrer leur propre écriture. Comment peuvent-ils apprendre leurs leçons?
Face à cette situation dramatique, la collection «les doigts de fée» propose une gamme de livrets pour aider nos jeunes enfants à maîtriser cet art qu’est l’écriture; car un enfant qui apprend à bien écrire, qui soigne son écriture, a le maximum de chance de réussir ses études et sa vie. « Réussir l’écriture au CM1 », fruit de longues et passionnantes années de recherches, constitue un précieux outil de travail qui comblera l’attente des écoliers, des enseignants et des parents. Cette nouvelle édition s’est enrichie pour répondre aux besoins des enfants.
«Un enfant qui apprend à écrire, à bien conduire les mouvements de sa main, exerce un contrôle de soi. L’élève qui écrit péniblement sera gêné dans ses études et dans sa vie»
De nos jours, les élèves écrivent de plus en plus mal. Cela gêne énormément les enseignants qui éprouvent souvent de grandes difficultés à lire les copies de leurs élèves. Cela gêne les apprenants eux-mêmes qui, bien souvent, n’arrivent pas à déchiffrer leur propre écriture. Comment peuvent-ils apprendre leurs leçons?
Face à cette situation dramatique, la collection «les doigts de fée» propose une gamme de livrets pour aider nos jeunes enfants à maîtriser cet art qu’est l’écriture; car un enfant qui apprend à bien écrire, qui soigne son écriture, a le maximum de chance de réussir ses études et sa vie. « Réussir l’écriture au CM1 », fruit de longues et passionnantes années de recherches, constitue un précieux outil de travail qui comblera l’attente des écoliers, des enseignants et des parents. Cette nouvelle édition s’est enrichie pour répondre aux besoins des enfants
Destinée aux enfants de la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
Délé est revenu à de meilleurs sentiments. Son épouse Hironkè qui lui a fait un beau bébé, semble avoir négocié une trêve avec ses démons intérieurs. La vie, chez les Craig, a retrouvé le parfum enthousiaste des lendemains qui chantent. Mais pas pour longtemps : Hironkè se retrouve du jour au lendemain à l’hôpital avec une grossesse extra-utérine. Pour le médecin traitant, il n’est plus question pour elle d’avoir un autre enfant. Le risque est grand, il en informe le mari d’autant qu’elle a déjà subi deux césariennes.
Pour Délé, les interrogations sur le passé de sa femme refont brusquement jour. Depuis quand elle a subi sa première césarienne ? Aurait-elle eu un enfant avant lui et de qui ? Et si l’enfant existe, qu’est-il devenu ? Et pourquoi garde-t-elle jalousement ce secret ?
De son côté, Délé est dans l’embarras ; il attend un bébé d’une autre femme, une de ses anciennes employées avec il folâtrait. Alors que sa mère s’en réjouit, lui-même se demande si ce n’est pas une erreur de trop. Pendant ce temps, Hironkè attend à la maison et compte patiemment les coups.
Un homme s’élança dans le cercle, hurla, déchira ses habits, les lança en l’air et se mit à rouler comme un canari. Trois adeptes du dieu surgirent et se jetèrent à sa poursuite. Ils eurent assez de mal à le maîtriser. Il les traîna d’un bout à l’autre de la grande place. Incessants va-et-vient. Moqueurs va-et-vient. Ils l’étreignirent. Il semblait avoir plus de force qu’eux. Ils parvinrent à le contenir. Redevenu calme, le possédé redressa la tête.
Le colonel ! Il venait d’être choisit par la danseuse. Le fétiche avait fait de lui son pur-sang. Pouvait-il refuser ? D’ailleurs, n’était-ce pas là une bonne façon de se repentir ? Se mettre au service de la justice après des décennies d’injustices, des siècles de viols, des millénaires de meurtres…Les adeptes l’entraînèrent vers le couvent. Le colonel y séjourna six mois. Il apprendra la vie. Il apprendra le respect de la dignité des autres. Il apprendra les lois de la nature. Il apprendra les valeurs. Et un soir, sous le gros iroko de la place Sato, on le verra se contorsionner, paré de couleurs et de vie, sous les youyous qui fuseront de toutes parts…
Destinée aux enfants de la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
Fari, Funmi, Kadara, Rissi, Tobi, cinq personnages trempés dans de sulfureuses intrigues, confrontées chacune à des situations extrêmes où se mêlent visible et invisible, rationnel et irrationnel, naturel et para-naturel et où, sur fond d’humour noir, l’amour côtoie non seulement l e religieux et le sacré mais aussi et surtout l’horreur et la mort.
Ils sont beaux, jeunes, promis à un bel avenir et veulent échanger leurs vœux devant Dieu et devant les hommes. La veille alors que l’homme s’apprête à aller enlever sa vie de garçon en compagnie de ses amis, il fait un tour chez sa fiancée. Stupeur : dans la chambre, la future mariée est dans les bras d’un autre. Décomposé, révolte, le jeune homme accuse le coup, mais décide, contre toute attente, de célébrer le mariage. En lui, un plan se met en place. Jusqu’où ira-t-il pour nourrir sa vengeance ? Pourquoi faire souffrir l’autre alors qu’on n’est pas soi-même un exemple de vertu ?
Dans le tome I de cette saga, les deux personnages se livrent, sans réserve, à un combat de nerfs. Si, pour l’homme, ce combat est physique et explosif, pour la femme, il est subtil et intérieur. Mais chaque pas posé par les personnages se transforme en conflit permanent, et chaque situation, en un volcan qui explose.
Déconstruire le fantasme de l’ailleurs (…)
Relater la longue traversée de l’amère mer dont la gorge est aussi profonde que le ventre vide des rêveurs inassouvis (…)
On perçoit un souffle scrupuleux, Un élan de conscience, Une démarche consciencieuse. De rompre les amarres de l’assimilation,
Qui au fil des lignes se muent et se meuvent en rafales, en cisailles, Incarnant des strates de significations aux tonalités souvent tragiques, s’agglutinant au rythme des multiples transfigurations au possible (…) Extrait de la préface de Djamille Mama Gao
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