Voici une cuvre qui est une harmonieuse fusion de la violence physique, verbale et psychologique. Un hymne aux douleurs existentielles avec des personnages dont la psychologie rejoint souvent la souffrance, épine dorsale de l’ouvrage. Ainsi, à travers les pages de Loin, vers mes treize ans de Mireille Gandébagni, vous rencontrerez des personnages-martyrs, des person-nages-souffre-douleurs et des personnages-soutiens.
La douleur et la souffrance sont célébrées dans une écriture noire peut-être, mais richement thérapeutique.
Les nouvelles de ce recueil laissent toujours entrevoir, à travers leurs dénouements, des horizons meilleurs, de l’espoir et un accotoir pour les âmes désorientées.
Paterne Tchaou
Bénincultures