Editions : Hatier
Collection : L’Afrique et le monde
Editions : Hatier
Collection : L’Afrique et le monde
SKU: | 0224LRO |
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Categories: | 1er Cycle, Manuels Scolaires, Secondaire |
Tags: | Afrique, Histoire |
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Yénounkoun écrasa un graillon tout près de moi. Je n’ai aucunement peur qu’il me contamine avec sa tuberculose, le rue ne m’a pas laissé grand espoir. Mourir d’une tuberculose serait un luxe dans les rues de Cotonou. Je n’ose pas m’en plaindre. Pas du tout. Je peux pleurer nuit et jour, la vie ne m’offrira rien de gratuit, j’en suis bien conscient. Elle en a décidé ainsi depuis l’époque de mes parents. Voilà d’ailleurs pourquoi j’ai horreur de prier. Je ne comprends même pas cette contradiction. Les mêmes dans leur chasuble ou veste allèguent … Tout est accompli …, et pourquoi vais-je encore prier ?
Dans ce livre foisonnant d’images se lisent et vivent les petites joies des enfants de la rue, et aussi leurs peines. Ces enfants qui ne sont rien d’autre que notre propre reflet, et qui n’attendent qu’une main.
Arouna est le plus petit des concurrents. Les organisateurs de la course hésitent à l’accepter. La foule se moque de lui. Mais Arouna ne se laisse pas décourager…
Les nombreuses publications d’Abiola Felix Iroko font de lui un chercheur hors pair . Ses domaines de prédilections se sont élargis avec le temps et l’expérience : la traite négrière et ses corollaires, l’organisation socio économiques et politiques des sociétés béninoises de la période précoloniale , le vaste domaine de l’histoire des mentalités sont des aspects de l’historiographie africaine auxquels s’est intéressée la belle plume de Felix Iroko. Ce livre est un hommage rendu à un grand historien béninois , à un érudit africain.
L’ouvrage est centré sur un vécu quotidien et la vraisemblance d’un réel cri d’amour. Elle amène très adroitement, au fil des pages, le lecteur à voir la blessure et la souffrance des adolescents qui découvrent le grand Amour qui leur échappera tout aussi banalement.
La réalité que décrit Barbara n’appartient qu’au genre humain. Tout le monde, tôt ou tard, en fait les frais. L’auteur livre aux lecteurs sans faux-fuyants, ni dissimulation d’aucune sorte, ce que ressentent les jeunes amoureux. A cet âge, on est jaloux de ses sentiments que l’on dissimule dans son jardin secret. Barbara Akplogan termine son ouvrage.
Les mots d’Amour, par une mise en garde à la jeunesse insouciante. Elle persiste et signe : Le sida existe, il faut savoir l’éviter par un
comportement responsable.
Mais qu’avez vous à parlementer avec ce déchet humain, proféra celui qui semblait être l’aîné de la fratrie. Hors de notre vue, t’a-t-on dit, père indigne! Tu n’es pas un père, t’es une vipère. Va t’adonner à la loterie sous d’autres cieux.
Ce disant , il s’empara des bagages de son géniteur , aidé par ses frères et sa sœur. Ils allaient jeter les effets de leur ascendant sur la route très passante du quartier Kouhounou
Impuissant, le père renié courut vers ces modestes biens afin qu’ils ne fussent pas aplatis par le flot incessant des véhicules. Compréhensifs, les conducteurs ralentirent pour épargner ces objets incongrus. Les spectateurs viennent à sa rescousse et lui prêtèrent main-forte. Ainsi Norbert sauva-t-il de justesse ses affaires.
…..Norbert fut pourchassé comme un malfrat pris la main dans le sac, et se fut conspuer. Aussi les badauds le virent-ils, pliant sous le poids de ses baluchons comme s’il ployait sous celui du destin, essayant de s’enfuir afin d’échapper aux jets de pierres. Pierres que lui lançaient ses propres enfants dans le but de s’éloigner de son domicile dans le meilleur des cas, à moins qu’il ne s’agit de le lapider…
Le docteur a félicité Bernard.
Quand son frère s’est brûlé, il a eu de bons réflexes.
_L’anthologie »Sororité Chérie » coordonné par Carmen Toudonou est édité par Vénus d’Ébène. Il présente les textes de 32 contributrices du monde entier sur la thématique de la sororité. Elles sont Béninoises, Ivoiriennes, Camerounaises, Suissesse, Françaises, Togolaise, Canadienne et Malienne, et elles unissent leurs voix autour de cette thématique. Le collectif présente des réflexions, du théâtre, des nouvelles, de la poésie et de l’art graphique. Les contributrices sont écrivaines, journalistes, chanteuse, enseignantes, dramaturges, bibliothécaires, avocate, peintre, chercheures…
La sororité, c’est la solidarité entre femmes. Aussi vrai que les femmes ne devraient pas être forcément des rivales les unes pour les autres.
Fièrement, Wangaharo s’approcha de sa femme et lui proposa :
-Bori, permets-moi de faire de toi la princesse la plus heureuse de ce monde. Je t’offre cinq caisses remplies d’or et quatre cent cinquante têtes de vaches comme moussouforey.
Celle-ci répondit calmement :
-Mon cher frère, Bori mérite plus. Elle ne saurait être échangée contre ces biens périssables, mais elle exige une démarche digne qui rappelle celle de la vénération d’une déesse
Le prince Wangaho s’éprend éperdument de sa sœur. Celle-ci accepte la demande en mariage, mais impose à son frère des conditions qu’elle sait irréalisables. C’est la consternation générale. Que se passe-t-il finalement ? Ce ‘’crime’’ restera-t-il impuni ? Un savoureux roman qui plonge ses racines dans les veillés ancestraux où la parole est tout un art, une véritable motte d’argile que le conteur mouille pétrit pour lui conférer la forme voulue.
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