Auteur: Bruno O. GANSA et Roger Boni YARATCHOU
Editions: Ruisseaux d’Afrique
2.000CFA
Afi est la fille aînée d’une famille de quatre enfants. Elle dort en classe et ses résultats scolaires
sont mauvais. Que faire pour que la petite Afi réussisse ?
Auteur: Bruno O. GANSA et Roger Boni YARATCHOU
Editions: Ruisseaux d’Afrique
SKU: | 003ERA |
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Categories: | Bénin, Littérature Jeunesse Général |
Tags: | Afrique, Auteur Béninois, Jeunesse, Jeunesse Auteur béninois |
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« Un jeune homme, orphelin de père, ose réclamer son héritage à son oncle, le frère aîné de son père. En fait Saka souhaite récupérer les deux palmeraies laissées par son père décédé précocement. Cette audace fait trembler sa mère et donne des soucis au chef de la collectivité. Pourquoi tant de peurs ? »
Destinée aux enfants de la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
Destinée aux enfants dès la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout-petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
Voici une cuvre qui est une harmonieuse fusion de la violence physique, verbale et psychologique. Un hymne aux douleurs existentielles avec des personnages dont la psychologie rejoint souvent la souffrance, épine dorsale de l’ouvrage. Ainsi, à travers les pages de Loin, vers mes treize ans de Mireille Gandébagni, vous rencontrerez des personnages-martyrs, des person-nages-souffre-douleurs et des personnages-soutiens.
La douleur et la souffrance sont célébrées dans une écriture noire peut-être, mais richement thérapeutique.
Les nouvelles de ce recueil laissent toujours entrevoir, à travers leurs dénouements, des horizons meilleurs, de l’espoir et un accotoir pour les âmes désorientées.
Paterne Tchaou
Bénincultures
La perte.
Il faut perdre les mots pour peut-être espérer gagner ou échouer dans la quête quotidienne du bonheur longtemps recherché en vain. Hermann Yao KOUASSI perd les mots des mots de la langue de Molière (…) .
En vérité la poésie d’Hermann marque toute son africanité au détour d’image, de musique mais aussi de sursignification. Dans ce recueil de poèmes, il dénonce tam-tam en main, les maux qui minent l’Afrique, le désespoir qui s’empare des cœurs, la ruine des valeurs de base comme reconnaissance.
Destinée aux enfants dès la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout-petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
Ce texte est Agréable à lire, avec beaucoup d’humour, et arrive à nous attraper à un endroit de réflexion de façon extrêmement fine. Avec le travail effectué pour utiliser une métaphore, on se retrouve face à une forme qui évolue comme une marée, c’est-à-dire qu’on se laisse bercer par le flot des mots avec un rythmique très agréable, on flotte tranquille, et tout ça nous aspire petit à petit vers le grand large sans qu’on s’en rende compte.
On se retrouve à un moment sans repères avec une mer un peu plus tendue et la sensation qu’on ne pourra pas revenir tranquille sur la berge. La Traversée laisse une sensation physique forte de par sa rythmique et la physicalité des personnages. Il remue des questions existentielles fondamentales de façon a priori légère et nous plonge dans les abysses de réflexion à l’issue de la lecture.
Sandrine Roche
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