TITRE :SYRAM
AUTEUR :OKRI PASCAL TOSSOU
EDITION : LAHA
Page :135
2.500CFA
Un idéologue en prison. Des tractations en cours pour le Libérer. Des coups de phares dans la mémoire du prisonnier Une Afrique qui pleure l’humanité qui se déshumanise Mais, loin de cette apocalypse annoncée, l’enfance, l’innocente enfance voudrait qu’on l’écoute. Elle pourrait réexpliquer aux adultes le sens de l’Amour !
TITRE :SYRAM
AUTEUR :OKRI PASCAL TOSSOU
EDITION : LAHA
Page :135
Category: | Romans Général |
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Tags: | guide pédagogiques, roman |
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Il était une fois, en Afrique de l’Ouest, un jeune homme qui, au seuil de sa vie d’adulte, se mit à méditer sur son destin d’homme dans une Afrique qui tarde à se prendre en charge. L’amour frappe à sa porte. Il se laisse attendrir. Akossiwa mon amour est aussi une douce évocation de la poésie naturelle de nos campagnes, faite d’une succession de tableaux réalistes de la vie rustique africaine. |
TITRE COMPLÈTE : Tant de gens espèrent être aimés et beaucoup ne sont que mariés
Ce roman prend pour prétexte une histoire d’amour improbable entre un truand et une avocate, pour questionner l’une des institutions les plus classiques de notre société: le mariage. Grâce à une trame bouleversante, et tout en suspense, la romancière pose la question préjudicielle: Pourquoi se marie t-on?
Et vous, avez-vous la réponse?
Achou, jeune étudiante à l’école des sciences économiques et bancaires de l’université de Cotonou 2, fait la connaissance d’Alain, un jeune diplômé en droit international. Elle tombe amoureuse après avoir été séduite par sa gentillesse, son flair et surtout son charme. Au bout de quelques rencards, elle lui avoue ses sentiments. Ayant trouvé grâce aux yeux de cette mousmé, Alain se laissera emporter par un amour réel, profond et réciproque. Les jeunes amoureux commenceront ainsi, de la façon la plus douce, leur relation qui ne restera pas douce, mais plutôt doucereuse. Le jeune homme sera à mille lieues de s’imaginer qu’il s’est énamouré d’une fille hantée. Il sera confronté à un dilemme : renoncer à cet amour en l’abandonnant ou l’aider…
Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde. Jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Évènement dérisoire : le fantasme d’une femme, mais tel est le piège qui fait qu’à l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique.
Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres Françaises, au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme. Sur sa solitude aussi, à quelque climat qu’il appartienne. »
« Feuilles de mon destin s’implante dans un contexte contemporain où le religieux, le spirituel et le naturel sont trop souvent négligés au profit d’un culte de l’apparence et de l’image. A travers ce récit fantastique où se mêlent thématiques socio-familiales et rapports de l’homme avec le mystique, l’auteur ne se contente pas de rappeler, subtilement, le pouvoir médicinal des plantes. Il souligne aussi qu’en toutes circonstances de la vie, une certaine dimension spirituelle subsiste toujours.
Environ huit semaines plus tard,on constata que Toula pâlissait.Elle rendait le plus petit aliment qu’elle ingérait. Bogbé était affecté par l’état de santé de sa tante. Serait-ce le paludisme? On lui fit boire tisane sur tisane,en vain. Toula était languide, elle somnolait tout le temps.Chacun se posait des questions en son for intérieur.Les spéculations allaient bon train. On se chuchotait: « As-tu vu notre ravissante Toula? Qu’a-t’elle donc? On ne lui connaît pourtant pas d’amants. A- t-elle fini par en décrocher un? Qui est l’heureux élu? Nous nous trompons peut-être.Il y a des choses qui ne se cachent pas longtemps. Attendons de voir. »
Au long des pages, la sensibilité n’est que menue monnaie. Chaque page, chaque paragraphe, chaque phrase presque, met l’accent sur un aspect important de la société sénégalaise, dont les soubassements culturels se trouvent exhumés, expliquant conduites et attitudes. Un grand roman africain est né, et au-delà, une grande romancière.
Délé est revenu à de meilleurs sentiments. Son épouse Hironkè qui lui a fait un beau bébé, semble avoir négocié une trêve avec ses démons intérieurs. La vie, chez les Craig, a retrouvé le parfum enthousiaste des lendemains qui chantent. Mais pas pour longtemps : Hironkè se retrouve du jour au lendemain à l’hôpital avec une grossesse extra-utérine. Pour le médecin traitant, il n’est plus question pour elle d’avoir un autre enfant. Le risque est grand, il en informe le mari d’autant qu’elle a déjà subi deux césariennes.
Pour Délé, les interrogations sur le passé de sa femme refont brusquement jour. Depuis quand elle a subi sa première césarienne ? Aurait-elle eu un enfant avant lui et de qui ? Et si l’enfant existe, qu’est-il devenu ? Et pourquoi garde-t-elle jalousement ce secret ?
De son côté, Délé est dans l’embarras ; il attend un bébé d’une autre femme, une de ses anciennes employées avec il folâtrait. Alors que sa mère s’en réjouit, lui-même se demande si ce n’est pas une erreur de trop. Pendant ce temps, Hironkè attend à la maison et compte patiemment les coups.
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