AUTEUR : Jacques HOUEGBE
EDITION : PLURIELLES
Page : 127pages
4.000CFA
Les spectres, ils sont ou ils ne sont pas, ils cherchent, ils se cherchent tels des fantômes voguant sur une belle nuit clairsèment des seuls battements de leurs compagnons rongeur génétiquement aillée. Leurs vies est une anomalie , une suite d’angoisse existentielles avec une lueur logée dans une sphère qui ose les éclairés.
AUTEUR : Jacques HOUEGBE
EDITION : PLURIELLES
Page : 127pages
Categories: | Autres genres littéraires, Nouvelles |
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Tag: | nouvelle |
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Elle s’arrêta donc devant la porte des toilettes .Y accrocha son oreille gauche. Soufflement haletant. Des murmures féminin ou masculin? Rien n’était sur. Il fallait attendre. De cœur ferme .là .Devant la porte d’entrée. L’attention accrochée à la poignée. Encore dix minute. Peut être quinze. Les râlements reprirent de plus belles. Dessinant une courbe acoustiques insaisissable. Derrière la porte deux chairs s’offrait a une distraction inhabituel.
Lauréat du prix Plumes Dorées en 2013 avec son premier roman temps additionnel, ce jeune auteur laisse libre cours aux envolées de sa plume volontiers éclectique. Vous laisserez-vous toucher par l’iocece du petit
Skéléwu, emporter par la fougue du jeune Zéwé ou encore choquer par les punchlines de la belle Dolziao ? De Cotonou à Paris, entre hilarité et violence, humaité et passion, cette plume fantaisiste et incisive retient votre souffle en otage, avec un sens de l’intrigue et une maîtrise de l’humour noir déconcertants.
Convaincu d’être atteint d’une grave maladie, Argan ne peut se passer des médecins. Il rêve donc de voir sa fille Angélique épouser un docteur, Thomas Diafoirus. Sauf qu’Angélique aime Cléante et refuse le choix de son père. Ce dernier, ulcéré, décide alors de la déshériter au profit de Béline, épouse hypocrite et odieuse marâtre. Mais c’est compter sans l’aide providentielle de Toinette et Béralde, qui s’ingénient à faire triompher la cause des amoureux !
Dernière œuvre de Molière, cette comédie-ballet en trois actes a connu un grand succès du vivant de l’auteur et reste aujourd’hui encore l’une des pièces les plus célèbres du dramaturge.
Les mémés sexagénaires, les baronnes ménopausées (BM), servent également la joie ! Valère Vignigbè « Mal dans l’âme »
Sa fraîche peau de vingt-trois ans était pulpeuse comme un fruit mûr d’acajou: Ismael Ichola, « la petite calebasse d’espoir »
C’est vrai que je suis différent mais bon ! je ne suis qu’un monsieur accoutré d’un jarabu balafré de noir: Djamile Mama Gao, « messe d’action de fuite »
La peur le tenaillait et la sueur coula le long de ses tempes. De quoi avait-il peur ? Yves Modiano
Biaou, « Grand frisson »
Tiens cette noix de cola. Tu en croqueras un peu et tu deviendras bel homme: Daniel Atrévi, « le mendiant »
Soumaila, le frère de Moktar, est resté prisonnier des islamistes pour avoir explosé le front à l’un de leurs responsables au cours de la lapidation. Hurcyle Gnonhoué, « étouffé dans le sahel »
Tu redoubleras d’ardeur. Tu dansas, petit ver d’eau solitaire. Tu dansas pendant près d’un quart d’heure, puis soudain tu t’arrêtas. Rodrigue Atchaoué, « Cœur de rasta ».
En 1890, commence la première guerre franco dahoméenne qui aboutit, trois ans plus tard, à la création de la colonie du Dahomey et Dépendances, ancêtre de l’actuelle République Populaire du Bénin. Cet ouvrage étudie, à partir d’une approche quantitative et pendant les trois premières décennies de la colonisation, le processus d’intégration de différents territoires au sein d’une entité coloniale créée de toutes pièces par une volonté extérieure. Le bilan, effectué à l’aide d’indicateurs « classiques » (mouvement des prix, termes de l’échange…) ou élaborés spécialement pour pallier l’insuffisance de nos sources (« indices de capacité monétaire », « indices de pression fiscale ») fait apparaître un taux de croissance soutenu. Il met au jour d’une part les limites de l’extraversion économique et, d’autre part, la vitalité du pays en face des exigences coloniales
« …En attendant la promesse de l’aube à la Colince de Yann, vous lirez les textes qu’il a rassemblés ici pour nous. Il a un beau style joliment drapé dans un bel humour. J’ai lu chacun des textes avec tendresse pour les personnages, avec reconnaissance envers l’auteur. Colince Yann a du talent. Je vous le recommande » Roger Gbégnonvi
Triste, dramatique ou satirique, chacune des six pistes proposées est un chef-d’œuvre de raffinement et de lucidité. Tiburce Adagbè, Le Déchainé du jeudi
C’est une véritable caméra embarquée pour un film en six séquences sur quelques tranches de vie. Elles remettent en scène pour la énième fois le même Africain moyen, déchiré par la précarité, égaré dans sa crise d’identité séculaire, livré aux soubresauts des bourreaux de la politique, mais vivant, désespérément vivant. Désiré Godonou, Top Correcteurs
Dans la nouvelle Fesser tard ou jamais, celle que j’aime le plus, l’auteur, tout en atténuant quelque peu sa traditionnelle gouaille enjouée, s’abonne à un verbe poétique en par- faite harmonie avec l’amour qui brûle les cœurs, les doigts, les voix, les lames de couteau… Josué Mèhouénou, La Nation
En somme, un livre d’une constante amertume toujours en- robée dans cet humour impitoyable mais – parfois un peu trop – raffiné. Simplement, du pur Habib Dakpogan. Alain Sotchoumè, journaliste à l’ORTB
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