Auteur : Mariam Diawara
Editions : Les classiques ivoiriens
Nombre de pages : 23 pages
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Votre réussite financière ne dépend pas forcément de vos connaissances. Elle dépend de votre attitude. Or l’attitude n’est pas quelque chose qui s’apprend facilement, même quand on est très intelligent.
Le plus souvent, la finance est enseignée comme une discipline mathématique où il suffirait d’entrer des données et d’appliquer des formules pour savoir quoi faire en matière d’investissement, de finances personnelles ou de stratégie économique. Pourtant, dans la vraie vie, nous ne prenons pas nos décisions financières devant des feuilles de calcul. Nous les prenons à la table du dîner familial ou dans une vision du monde qui n’appartient qu’à nous, notre ego, notre fierté, des considération commerciales et d’étranges motivations.
Les Bààtɔ̃̀bù du Nord-Bénin, comme la plupart des peuples L d’Afrique subsaharienne n’échappent pas à ces pratiques. On note en effet dans le protocole funèbre Bààtɔ̃̀nù, précisément celui des Bààtɔ̃̀géóbù, une multitude de rituels, les uns destinés à accompagner le défunt vers sa dernière demeure et les autres, à non seulement aider à maintenir un lien entre le monde des vivants et l’au-delà, mais aussi à permettre aux vivants de contrôler leur souffrance. S’il est vrai que la société bààtónù apparaît comme une société homogène et unie, il n’en demeure pas moins vrai qu’il existe au sein même de cette même communauté une différence cultuelle. C’est justement cette différence cultuelle qui fonde notre discours.
Houèdo ou l’arc-en-ciel, est une œuvre où conte, musique, couleurs, mimes, rythmes et danses s’entremêlent. Ce texte est une interrogation sur la dualité, le bien et le mal, dans laquelle l’homme vit au quotidien. Il pose le problème du développement en termes de vertus et de limites de l’homme en axant ses actions sur des personnages mystérieux, ordinaires, sur le pouvoir, la religion, la politique et la mort. Gbêxo vient compléter cette œuvre dans le sens du respect de la tradition, des consignes divines et ancestrales.
L’homme qui n’a aucune expérience spirituelle est comme un L manchot. Un bras lui manque. Lorsque le seul bras qu’il lui reste s’épuise, le manchot est vaincu. La vraie foi en Dieu n’a pas de limites. L’ouvrage se veut donc une boussole pour une jeunesse ancrée dans la puissance spirituelle. Lorsque nous sommes estropié, nous ne pouvons pas avoir les mêmes capacités que les autres hommes qui ont tous leurs membres en état. Un homme qui ignore ou abandonne la spiritualité est un estropié. Il aura beau avoir des ambitions, de nobles objectifs, ses plans seront toujours voués à l’échec ou partiellement réalisés.
Ainsi, pour bénéficier pleinement de la spiritualité, il vaut mieux s’y accrocher dès sa jeunesse. Devenu adulte, nous n’avons plus le temps, l’humilité et l’attention nécessaires pour nous focaliser sur les exigences de la foi.
Xó cyancyan bo gbajeme
Ló ɔ senunywekan dagbe we bo è no nyó má dó wũ, di lèé xó no xw’ali gbon é dohun. Senunywe ɔ, akota lee bi, togun lee bi, hwendo lee bi we se na. Bo ye no le gle ton sin susu kpo akwe e xo e kpo le e e kplon yee gbon le. Có bo vogbugbon na wá jujɔn ayi ɔ; bŭnino gbeto ton ko dè sin xóxóhwenu. Gŭ ene è jodo nu mi 3, bŭnuno miton ton we bo do nú é sogbè jle nu mĩ we, nŭ dagbe xlé mě we kpó nũ é dó nunywe é kpó.
Ló wema elo jlo na nyi honkankpleten akota le bĩ tɔn. Kpó xomehunhun kpó we mĩ dò mĩ de le ylo we dó tavò ɖokpo ɔ tó we b’a dó do xo dó nunywe wú, dó cyan hwendo dokpo dokpo me sin xó. Đò kplé ene o tenme ɔ, mi na sè vivĩ nú nunyweli é è jodo nu mě b’e nyi gbe o bi sin gŭ bo mi du é.
La vie ne fait pas de cadeau et l’être humain est tout sauf un ange. La méchanceté (parfois gratuite), la haine, les coups bas et autres sont devenus monnaie courante. Mais heureusement qu’il n’y a pas que ça. Parce que l’homme est aussi un être capable d’altruisme, d’amour sincère et de don de soi… Et c’est l’être humain justement, avec ses bons et mauvais côtés, qui constitue la matière première des confidences des lectrices et lecteurs du Magazine numéro 1 en Côte d’Ivoire. Confidences faites à Anzata Ouattara qui les traite et les publie dans les colonnes du journal.
Des histoires captivantes, mais douloureuses aussi, surprenantes, et même parfois insolites, puisque traitant de réalités pouvant déranger des esprits dits cartésiens.
L’histoire relate le parcours de Mwenewa, un élève distrait de Kinshasa, République Démocratique du Congo, dont le manque de sérieux en classe l’amène à commettre un acte désespéré. L’histoire explore aussi les valeurs traditionnelles africaines à travers la sagesse de la grand-mère de Mwenewa, soulignant l’importance cruciale de l’éducation pour le développement personnel et le bien de l’Afrique.
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