Editions : Hatier
Collection : L’Afrique et le monde
Editions : Hatier
Collection : L’Afrique et le monde
SKU: | 0225LRO |
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Categories: | 1er Cycle, Manuels Scolaires, Secondaire |
Tags: | Afrique, Histoire |
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Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette oeuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente oeuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.
Le docteur a félicité Bernard.
Quand son frère s’est brûlé, il a eu de bons réflexes.
Mais qu’avez vous à parlementer avec ce déchet humain, proféra celui qui semblait être l’aîné de la fratrie. Hors de notre vue, t’a-t-on dit, père indigne! Tu n’es pas un père, t’es une vipère. Va t’adonner à la loterie sous d’autres cieux.
Ce disant , il s’empara des bagages de son géniteur , aidé par ses frères et sa sœur. Ils allaient jeter les effets de leur ascendant sur la route très passante du quartier Kouhounou
Impuissant, le père renié courut vers ces modestes biens afin qu’ils ne fussent pas aplatis par le flot incessant des véhicules. Compréhensifs, les conducteurs ralentirent pour épargner ces objets incongrus. Les spectateurs viennent à sa rescousse et lui prêtèrent main-forte. Ainsi Norbert sauva-t-il de justesse ses affaires.
…..Norbert fut pourchassé comme un malfrat pris la main dans le sac, et se fut conspuer. Aussi les badauds le virent-ils, pliant sous le poids de ses baluchons comme s’il ployait sous celui du destin, essayant de s’enfuir afin d’échapper aux jets de pierres. Pierres que lui lançaient ses propres enfants dans le but de s’éloigner de son domicile dans le meilleur des cas, à moins qu’il ne s’agit de le lapider…
L’ouvrage est centré sur un vécu quotidien et la vraisemblance d’un réel cri d’amour. Elle amène très adroitement, au fil des pages, le lecteur à voir la blessure et la souffrance des adolescents qui découvrent le grand Amour qui leur échappera tout aussi banalement.
La réalité que décrit Barbara n’appartient qu’au genre humain. Tout le monde, tôt ou tard, en fait les frais. L’auteur livre aux lecteurs sans faux-fuyants, ni dissimulation d’aucune sorte, ce que ressentent les jeunes amoureux. A cet âge, on est jaloux de ses sentiments que l’on dissimule dans son jardin secret. Barbara Akplogan termine son ouvrage.
Les mots d’Amour, par une mise en garde à la jeunesse insouciante. Elle persiste et signe : Le sida existe, il faut savoir l’éviter par un
comportement responsable.
Les nombreuses publications d’Abiola Felix Iroko font de lui un chercheur hors pair . Ses domaines de prédilections se sont élargis avec le temps et l’expérience : la traite négrière et ses corollaires, l’organisation socio économiques et politiques des sociétés béninoises de la période précoloniale , le vaste domaine de l’histoire des mentalités sont des aspects de l’historiographie africaine auxquels s’est intéressée la belle plume de Felix Iroko. Ce livre est un hommage rendu à un grand historien béninois , à un érudit africain.
Je retrouvai mon appartement. Vidé de son contenu, comme un bélier éventré le jour de la Tabaski. Il me restait juste le haut-parleur, qui ornait encore cette pauvre chambre, triste de mes désirs. C’était du moins l’image que je recevais. Mon lit, le matelas, tout le reste était parti dans des bradages commerciaux pour que je puisse prendre ce vol vers le Canada. J’avais dépensé tout l’argent qui m’avait été donné, en plus de ce que j’avais pu réunir de la vente de mes biens. Et là, je revenais bredouille, la tête assaillie par une marée de doutes.
Ils se mirent côte à côte. Je me plaçai devant eux, toute nue, les jambes légèrement écartées. Ils fixèrent mon entre-jambe et mes deux petits citrons chéris installés de part et d’autre de la poitrine. Et leur quéquette, entre les cuisses, se mit naturellement à redresser la tête, comme un lézard. Certains se la chatouillèrent pour la rendre plus prompte. J’attendis là, impatiente de voir celui dont le bout de chair résistera plus que les autres. Après quelques minutes, un lézard se mit à piquer du nez, doucement, et finit par se recroqueviller complètement. Celui-là s’écarta honteusement du groupe et laissa les autres continuer le test.
Fuyant la guerre dans son pays, Sylvia arrive au Bénin, sans adresse, et est hébergée par Claudy, un étudiant en fin de formation. Elle raconte son enfance en Côte d’Ivoire, mais évite de parler de la guerre qui lui a pris tout ce qu’elle a de plus cher. Mais ce que Sylvia ignore, Claudy est, lui aussi, un réfugié de guerre.
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