Auteur : Patrice KOUAKOU
Nbre de pages : 152
Edition : Valesse
3.500CFA
Amoureuse de mon prof est un recueil de sept nouvelles ou l’auteur, observateur, dénonce certaines mœurs déviationnistes qui ont court dans la société. Il veut ainsi participer à l’éveil des consciences.
Auteur : Patrice KOUAKOU
Nbre de pages : 152
Edition : Valesse
SKU: | Val013 |
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Categories: | Littérature Africaine, Romans Général |
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Séparé d’Hirankè, son épouse, Délé Craiq, patron d’une entreprise de BTP, pensait trouver le réconfort dans les bras d’une autre femme, en se lançant tout azimut dans les aventures extraconjugales. S’il rejette les avances de la fantasque Alero, sa secrétaire de bureau, il préfère les élans enfiévrés de Buiki, la jeune femme avec qui, la veille de son mariage, il pensait pouvoir enterrer sa vie de garçon. Mais Alero se sent presque « trahie ». Arrêtée pour trafic de stupéfiants, elle accuse Délé d’en être le commanditaire. La police appréhende le jeune homme et le fait incarcérer. Commence pour Hironkè, la femme répudiée, un véritable parcours du combattant afin d’innocenter son époux et le faire libérer.
Dans le deuxième tome de La Nuit Fatale, l’histoire d’Hironkè et de Délé Craig se conjugue à coups de cris, de blessures et de larmes. Si, à des moments donnés, l’homme pense maîtriser les évènements, il se rend compte, à la lueur de leurs développements, qu’il n’en est que le jouet vulgaire et mécanique.
Délé est revenu à de meilleurs sentiments. Son épouse Hironkè qui lui a fait un beau bébé, semble avoir négocié une trêve avec ses démons intérieurs. La vie, chez les Craig, a retrouvé le parfum enthousiaste des lendemains qui chantent. Mais pas pour longtemps : Hironkè se retrouve du jour au lendemain à l’hôpital avec une grossesse extra-utérine. Pour le médecin traitant, il n’est plus question pour elle d’avoir un autre enfant. Le risque est grand, il en informe le mari d’autant qu’elle a déjà subi deux césariennes.
Pour Délé, les interrogations sur le passé de sa femme refont brusquement jour. Depuis quand elle a subi sa première césarienne ? Aurait-elle eu un enfant avant lui et de qui ? Et si l’enfant existe, qu’est-il devenu ? Et pourquoi garde-t-elle jalousement ce secret ?
De son côté, Délé est dans l’embarras ; il attend un bébé d’une autre femme, une de ses anciennes employées avec il folâtrait. Alors que sa mère s’en réjouit, lui-même se demande si ce n’est pas une erreur de trop. Pendant ce temps, Hironkè attend à la maison et compte patiemment les coups.
Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde. Jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Évènement dérisoire : le fantasme d’une femme, mais tel est le piège qui fait qu’à l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique.
Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres Françaises, au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme. Sur sa solitude aussi, à quelque climat qu’il appartienne. »
Quand amour rime avec bien matériel, vous vous croyez sur un petit nuage, tout vous sourit. Quand vous voyez fuir l’objet de vos désirs, tout devient noir, vous priez les eaux de vous engloutir. Marc et Ayélé, deux étudiants qui peinent à connaître le sens de l’amour et qui l’ont appris tardivement.
Une intrigue amoureuse où réalités africaines côtoient modernisme et où le miel ne coulent pas éternellement.
Au long des pages, la sensibilité n’est que menue monnaie. Chaque page, chaque paragraphe, chaque phrase presque, met l’accent sur un aspect important de la société sénégalaise, dont les soubassements culturels se trouvent exhumés, expliquant conduites et attitudes. Un grand roman africain est né, et au-delà, une grande romancière.
Achou, jeune étudiante à l’école des sciences économiques et bancaires de l’université de Cotonou 2, fait la connaissance d’Alain, un jeune diplômé en droit international. Elle tombe amoureuse après avoir été séduite par sa gentillesse, son flair et surtout son charme. Au bout de quelques rencards, elle lui avoue ses sentiments. Ayant trouvé grâce aux yeux de cette mousmé, Alain se laissera emporter par un amour réel, profond et réciproque. Les jeunes amoureux commenceront ainsi, de la façon la plus douce, leur relation qui ne restera pas douce, mais plutôt doucereuse. Le jeune homme sera à mille lieues de s’imaginer qu’il s’est énamouré d’une fille hantée. Il sera confronté à un dilemme : renoncer à cet amour en l’abandonnant ou l’aider…
Avec la Naissance de Fa que nous offre ici Mahougnon KAKPO, nous sommes dans ce double contexte. Onze récits révèlent, sous forme de tableaux ou de sketchs, une dimension de la sagesse béninoise, c’est-à-dire le sens, la signification, le pourquoi des choses, l’origine invisible de leur visibilité. Il s’agit notamment d’un ensemble de textes oraux, bien structurés et d’ampleur variée, exposant les origines mythiques du monde, de la vie, de la mort du bien, du mal…
Un d’entre eux nous enseigne une sentence proverbiale placée en exergue, comme pour tous les textes, proclame une parole de Fa : « A force de persévérer, le lépreux se remettra de son mal, l’infirme guérira de son infirmité, comme l’aveugle guérira de sa cécité ».
Découvrez de merveilleux contes sur le Bénin.
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