Auteurs: Tatiana ZANNOU
Editions: Ruisseaux d’Afrique
Collection : Le serin
Format : 15 cm x 21 cm ; 12 pages ; Poids : 0,05 kg ; Couverture souple
1.000CFA
Destinée aux enfants dès la maternelle, cette collection est pleine de couleurs, de tendresse et de simplicité. Elle renvoie au tout-petit une image de lui-même et joue aussi un rôle didactique.
Auteurs: Tatiana ZANNOU
Editions: Ruisseaux d’Afrique
Collection : Le serin
Format : 15 cm x 21 cm ; 12 pages ; Poids : 0,05 kg ; Couverture souple
SKU: | ERA 2 |
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Categories: | Auteurs Béninois, Bénin, Littérature Jeunesse Général, Livres Béninois |
Tags: | Afrique, Auteur Béninois, littérature jeunesse |
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Il est beau talentueux et plein d’avenir. Remarqué par une femme d’affaires installée au Nigéria, le Sultan devient, en un temps record, une vedette de la chanson adulée au Bénin et ailleurs. Mais bien vite, il se laisse séduire par sa productrice, néglige ses amis des premières galères et devient inaccessible. Le pauvre ne sait pas qu’il vient d’entrer dans un engrenage et que la gloire est aussi factice que les flonflons et les sunlights du showbiz. A ses dépens, il l’apprendra…
Ce roman nous entraîne dans le monde de la musique, milieu qui paraît, de prime abord clinquant, mais où la guerre des trachées est aussi impitoyable qu’en politique.
Découvrez de merveilleux contes sur le Bénin.
Un ouvrage à nouveau, qui s’adresse d’abord à la tendre jeunesse, Avec pour partage la nature, les rêves, les peines et les joies de la vie.
Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde. Jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Évènement dérisoire : le fantasme d’une femme, mais tel est le piège qui fait qu’à l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique.
Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres Françaises, au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme. Sur sa solitude aussi, à quelque climat qu’il appartienne. »
Séparé d’Hirankè, son épouse, Délé Craiq, patron d’une entreprise de BTP, pensait trouver le réconfort dans les bras d’une autre femme, en se lançant tout azimut dans les aventures extraconjugales. S’il rejette les avances de la fantasque Alero, sa secrétaire de bureau, il préfère les élans enfiévrés de Buiki, la jeune femme avec qui, la veille de son mariage, il pensait pouvoir enterrer sa vie de garçon. Mais Alero se sent presque « trahie ». Arrêtée pour trafic de stupéfiants, elle accuse Délé d’en être le commanditaire. La police appréhende le jeune homme et le fait incarcérer. Commence pour Hironkè, la femme répudiée, un véritable parcours du combattant afin d’innocenter son époux et le faire libérer.
Dans le deuxième tome de La Nuit Fatale, l’histoire d’Hironkè et de Délé Craig se conjugue à coups de cris, de blessures et de larmes. Si, à des moments donnés, l’homme pense maîtriser les évènements, il se rend compte, à la lueur de leurs développements, qu’il n’en est que le jouet vulgaire et mécanique.
Un homme s’élança dans le cercle, hurla, déchira ses habits, les lança en l’air et se mit à rouler comme un canari. Trois adeptes du dieu surgirent et se jetèrent à sa poursuite. Ils eurent assez de mal à le maîtriser. Il les traîna d’un bout à l’autre de la grande place. Incessants va-et-vient. Moqueurs va-et-vient. Ils l’étreignirent. Il semblait avoir plus de force qu’eux. Ils parvinrent à le contenir. Redevenu calme, le possédé redressa la tête.
Le colonel ! Il venait d’être choisit par la danseuse. Le fétiche avait fait de lui son pur-sang. Pouvait-il refuser ? D’ailleurs, n’était-ce pas là une bonne façon de se repentir ? Se mettre au service de la justice après des décennies d’injustices, des siècles de viols, des millénaires de meurtres…Les adeptes l’entraînèrent vers le couvent. Le colonel y séjourna six mois. Il apprendra la vie. Il apprendra le respect de la dignité des autres. Il apprendra les lois de la nature. Il apprendra les valeurs. Et un soir, sous le gros iroko de la place Sato, on le verra se contorsionner, paré de couleurs et de vie, sous les youyous qui fuseront de toutes parts…
Deux destins que tout oppose se croisent : un bébé abandonné par Monique, une femme démunie et un couple riche en quête d’un enfant. Adopté, le bébé grandit dans ce foyer où par miracle un autre enfant naît. Déji. Amoureux, il ne vit que dans la certitude de l’épouser. Mais Jojo, c’est la fille de Monique, elle ne sait pas que son fiancé est le frère de lait de son propre demi-frère, Plus grave : les parents de Déji s’opposent à elle, arguant qu’une danseuse n’est qu’une femme de mœurs légères. Dans cette intrigue où l’on avance à tâtons les personnages deviennent des marionnettes aux mains du destin qui les instrumentalise et se joue d’eux.
Heureusement que l’amour est là. Puissant antidote contre les trajectoires imposées, il donne parfois à la vie des saveurs insoupçonnées.
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