Edition : Eburnie
Nombre de pages : 81pages
J’apprends à lire à écrire et à compter CP1
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J’apprends à lire à écrire et à compter CP1
Category: | Autres genres littéraires |
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Ce soir-là, une histoire d’amitié, de transmission commençait son tissage entre la jeune Afrique et la vieille Europe… Il lui manquait juste un « vas-y » d’encouragement et elle, une braise sur laquelle souffler….Son inspiration a pris feu et vous avez le résultat sous vos yeux : Dominique Guibert de Villoutreys, Psychologue, accompagnante et enseignante certifiée PNL
Rodrigue et Chimène s’aiment et s’apprêtent à se marier. Mais lorsque le comte de Gomès, le père de Chimène, donne un soufflet à don Diègue, celui de Rodrigue, c’est au jeune homme que revient le devoir de laver, dans le sang, l’outrage fait à son vieux père.
Rodrigue a « du coeur », mais il ne sait que faire : mourir sans offenser Chimène ? Se venger et la perdre ? Cruel dilemme. Le Cid est un poème amoureux. Corneille raconte l’histoire d’une jeunesse que ses aînés condamnent au renoncement et que les sentiments poussent à la révolte.
• Objet d’étude : Dire l’amour ; Individu et société : confrontation de valeurs ? • Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes • Prolongement : La querelle du Cid Classe de quatrième.
Observer le monde. L’analyser. Le contempler. Puis faire part de ses réflexions à autrui. Telles sont les attributions de l’écrivain. Si ses expériences ne lui appartiennent plus entièrement, il en fait don avec plaisir.
Et se laissant aller à ses rêveries et à ses questionnements les plus intimes comme les plus universels, il devient tout à la fois penseur, poète, et guide, afin d’éclairer la terre de ses lumières…
10 récits, 10 tranches de vie, 10 autofictions, j’allais dire, 10 nouvelles autofictionnelles. Mais pourquoi l’autofiction vous demandez-vous certainement. Tout simplement parce que je ne reconnais pas(ou plus) les frontières entre la réalité et la fiction qui ne sont que l’envers et le revers de la même vie, la nôtre. Quand à savoir si tout cela relève de ma vie ou non, inutile de s’attarder là-dessus. A vous de voir si vous vous retrouvez dans les tranches de vie qui vous sont livrées. Si elles vous ressemblent, elles me ressemblent . Si elles vous arrachent, chacune, un rin de sourire, j’aurais tenu mon pari.
THEÄTRE
Devant la certitude de la mort, quelle attitude faille-t-il garder ? Rester passif en bon stoïcien (comme cara) ou se révolter à la camus. Le relationnisme peut-il servir de paradigme solutionniste à toute problématique ? Voilà autant de questions (philosophiques) dont cet opuscule pourtant essentiellement littéraire se veut être l’illustration. En effet, cette jeune plume qui n’est qu’à sa première tentative(expérience) donne des raisons de croire en une relève assumée et assurée. Avec une finesse et adresse alertes et allantes, l’auteur dans cette pièce remet la contingence qu’impose la versatilité de la vie sur tapis en syntonisant allure poétique et pertinence thématique qu’une bonne maîtrise du patrimoine stylistique porte à son faite. Il n’en fallait pas moins pour conduire Lily, L’aile au jour où il finirait par cesser de battre, le jour où elle chut(choit).
Et la rosée inspira dix-sept plumes. Qui eurent la fraîcheur matinale non pas dans des brumes. Mais sous des lumières rutilantes. Pour égayer les yeux et les cœurs assoiffés de lignes limantes. Ils leur demandèrent de boire le fruit de cette rosée.
Au fil des deux cent cinquante-six entités qui constituent cette œuvre, nous avons été nourris, questionnés, interpellés, amenés à comprendre le code de vie de nos ancêtres, nous avons été introduits à la sagesse africaine.
L’auteur, à travers l’analyse des légendes et des aphorismes recueillis de l’oralité, nous a suggéré
d’actualiser les anciennes valeurs sociales afin de les intégrer à notre quotidien. En ce monde où les repères se perdent, où les valeurs s’emmêlent, la présente œuvre qui s’adresse à vous et à la postérité, vous invite à retrouver ce qui a du sens, à partir de vos racines propres, de vos souches culturelles et humaines pour être et bâtir la cité.
Oui ! Je t’ai vu, Je t’envie Je te veux, Je te vis, J’ai ta langue, Je languis, Je joue oui! Je jouis. Lhys est écrivaine prolifique. Edison a le slam en plus.
Tous deux sont Béninois, jeunes, fous. D’écriture. Et là, de poésie. Le duo invite à prendre le risque de vivre le fruit d’un exercice d’équilibre, d’harmonie et de sensualité; un voyage de nuit , un voyage d’envies sous un ciel marbre de vers, un ciel de lettres qui salive de toute sa pluie.
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