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LE PECHE DU PERE
: Une malédiction frappe AKAMBI et son frère depuis un certain nombre d’années. Malheureux dans la vie professionnelle, les deux frères n’arrivent pas à expliquer les malheurs successifs qui s’abattent sur eux. Après consultation, il leur est révélé qu’un crime de sang commis par leur père est la cause de cette infortune. Mais pour y mettre fin, tout un rituel leur est proposé qui exige mort d’homme dans la famille. Akambi décide de porter le poids de cette lourde responsabilité mais au lieu de lui-même, c’est sur son fils et sur sa femme que le sort s’acharne…
Doit-on répondre des actes posés par ses parents ? Comment construire sa propre vie alors que pend sur soi un sort auquel on est soi-même étranger ?
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Pourquoi moi ?
Pour gagner facilement de l’argent, Boladji oblige sa femme, Asaké à passer la nuit avec un riche homme d’affaires contre quinze millions de francs. Enceinte, la jeune femme est répudiée par le mari et se retrouve dans la rue, avec ses deux enfants…
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Pierre précieuse
II est beau et riche, elle est belle et heureuse. Leur avenir est tout tracé. Mais elle ne veut pas ce destin de femme au foyer, parce qu’elle souhaite s’accomplir dans un travail à la mesure de ses ambitions femme d’affaires, entre deux avions, à l’Image de certaines de ses amies. Mais le mari s’y oppose, refuse d’avancer le capital qu’elle lui a demandé. Alors, elle devient insupportable, alterne provocations et chantages. En fait, la pauvre est manipulée par une ramie, qui la pousse a adopter cette stratégie du pourrissement pour un but inavouable.
Pierre précieuse est un huis clos sur les fondements du couple et de ses ressorts. Comment gérer le regard des autres sur son ménage ?Quoi privilégier dans leurs jugements ? D’ailleurs, est-il raisonnable de tendre les à oreilles autrui ? Sans donner des leçons, sans être un bréviaire pour des blesses de guerre conjugaux, ce texte n’en est pas mains une histoire humaine
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Tourbillons
: Revenue de L’Europe pour participer au mariage de sa demi-sœur Abakè, Abbey, jeune africaine et moderne, caresse secrètement le rêve de retrouver son amour de jeunesse, Ola, dont elle avait perdu la trace depuis huit ans. Le lendemain de son arrivée sa sœur l’appelle pour lui présenter l’heureux élu. C’est la stupeur. Le futur beau frère n’est autre que son ex, Ola.
Confus autant que bouleverse, Ola apprend (‘existence de Délé, un enfant issu de ses amours avec Ia jeune femme et qui lui ressemble trait pour trait. Remonte Alors a la surface la passion qui L’avait habité envers Abbey. S’il envisage un instant de se remettre avec elle, il opte finalement pour le mariage avec sa fiancée du moment. Mais l’autre, folle de rage, ira s’attacher les faveurs d’un marabout pour briser cette relation et inverser le tour des choses. Dans In famille, le tourbillon est déclenché. La force adverse va lui aussi contre attaquer.
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LA PRINCESSE DU DIABLE
Débarquant dans la précipitation, ma mère ne se rendit même pas compte que la chambre qu’elle avait pris soin de fermer à clé, il y avait a peine une heure, ne I ‘était plus. Elle tourna la poignée, la porte s’ouvrir instantanément. Elle s’introduisit et tomba pile poil devant le principal acte de la scène obscène. Interloquée, une exclamation, a peine audible, s’échappa de sa gorge.
Seigneur !!! Fit-elle les deux mains sur la poitrine. Dans le lit conjugal, sa fille de dix-sept ans était là, suant, en tenue d’Ève, activement rudoyée par ce solide quadragénaire. Lui faire ça a elle, mère vertueuse qui choisissait toujours les répétiteurs de ses filles parmi les professeurs les plus réputés pour leur intégrité morale… Ma mère perdit connaissance et s’effondra.
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Héros
« Pour les trois visiteurs, mieux valait partir. Mais, avant de se retirer, Paul tenait à terminer ce qu’il avait bien commencé
– Laisse-moi le buter, ce bâtard pour lui apprendre à respecter les femmes d’autrui.
– Pas maintenant, lui opposa Philippe. II va mourir mais pas aujourd’hui. Partons d’ici!
Il entraîna aussitôt son compagnon, pressa te pas jusqu’au seuil de ta porte. Avant de s’en aller, il jeta un dernier coup d’œil à l’homme assis sur le lit :
– Vis ces prochaines heures comme si c’était les dernières, lui lança-t-il, car je te promets que nous reviendrons ! »
Comment peut-on vouloir tuer celui qu’on est supposé avoir tué vingt ans plus tôt ? Lors d’un braquage, un voyou se rend compte que sa victime n’est autre que celui qui l’avait jadis accusé d’avoir provoqué sa mort. Ayant déjà purgé une peine relative à ce meurtre supposé, le jeune homme décide de se venger. Mais en face, l’homme est puissant et redoutable. A moins qu’il commette un acte héroïque.
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Le Bal des bouffeurs
Dans ce roman, le narrateur découvre après des années d’études scolaires et universitaires, entièrement théoriques, qu’aucun avenir ne s’offre à ses diplômes. Avant de vivoter, il devrait retourner à la terre qu’il a abandonnée des années durant. Dans ce pays où l’entreprise de taxi-moto embauche des dizaines d’employés au quotidien, le Secteur privé, grand pourvoyeur d’emploi agressé et asphyxié.
Alors que les mains de nos dirigeants sont toujours tendues à l’occident, L’Afrique réclame sa souveraineté hypothéquée par l’inaction et la mauvaise gouvernance. Les mêmes problèmes se déplacent depuis les indépendances, alors que ta population augmente exponentiellement.
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La déesse mère destinée
…Le suspens était à son comble. Le silence se fit. Qui allait le briser. Stupeur ! Emotions ! Tobi ne comprenait rien de rien. Il ramena son regard vers Sèna.
Qu’est-ce qui n’allait pas chez Sèna pour qu’on le regarde de la sorte…
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La perte
La perte.
Il faut perdre les mots pour peut-être espérer gagner ou échouer dans la quête quotidienne du bonheur longtemps recherché en vain. Hermann Yao KOUASSI perd les mots des mots de la langue de Molière (…) .En vérité la poésie d’Hermann marque toute son africanité au détour d’image, de musique mais aussi de sursignification. Dans ce recueil de poèmes, il dénonce tam-tam en main, les maux qui minent l’Afrique, le désespoir qui s’empare des cœurs, la ruine des valeurs de base comme reconnaissance.
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Parole citée
Et la rosée inspira dix-sept plumes. Qui eurent la fraîcheur matinale non pas dans des brumes. Mais sous des lumières rutilantes. Pour égayer les yeux et les cœurs assoiffés de lignes limantes. Ils leur demandèrent de boire le fruit de cette rosée.
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Vodou : la Forteresse d’Espérance
La civilisation vaudou va faire gagner l’Afrique. Lorsque l’Africain, de bonne foi va se fortifier dans sa culture et dans sa spiritualité et s’engager au travail avec audace et créativité, le développement prendra corps. Tu verras !
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Quelques clés d’IFA…
Titre complet: Quelques clés d’IFA. Sagesse existentielle du Golfe de Bénin
IFA, sans embrouille ni mystère !
Pour édifier les esprits ouverts, voici des explications claires sur une science millénaire. Science à trois branches et socle de la civilisation yoruba, le système IFA est inscrit au patrimoine culturel immatériel de l‛humanité. Sa sagesse existentielle recèle une éthique de compassion solidaire, basée sur la tempérance et l‛humilité, la solidarité et l‛équité.
Avec pédagogie et poésie, LPP expose la moisson d‛une quête patrimoniale de
profane curieux : 16 planches de salut extraites par thème (chap. 1 et 2), comme échantillon du corpus des 256 leçons allégoriques d‛une sagesse millénaire, codifiée par une écriture hexadécimale binaire, préfigurant l‛informatique (chap. 3). Enfin d‛ouvrage (chap. 4), quelques réflexions de morale universelle sont partagées.L‛auteur tire de son héritage culturel, jugé obscurantiste par ignorance, un outil pratique de développement humain et communautaire. Voici enfin une explication claire d‛une science complexe, pour édifier les esprits curieux et ouverts.
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OUIDAH : La Mémoire Silencieuse
L’auteure évoque les ramifications qui lient et relient Ouidah, ses habitants et ses patrimoines à d’autres communautés et peuples Outre Atlantique, notamment au Brésil, à Cuba, aux USA, à Haïti, aux Antilles et aux Caraïbes.
Ce livre est une invitation à la découverte, à une immersion sur les lieux et les sites pour partager avec des communautés, et vivre « in situ » la richesse et la variété de leurs terroirs.
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Ordalies
Les mémés sexagénaires, les baronnes ménopausées (BM), servent également la joie ! Valère Vignigbè « Mal dans l’âme »
Sa fraîche peau de vingt-trois ans était pulpeuse comme un fruit mûr d’acajou: Ismael Ichola, « la petite calebasse d’espoir »
C’est vrai que je suis différent mais bon ! je ne suis qu’un monsieur accoutré d’un jarabu balafré de noir: Djamile Mama Gao, « messe d’action de fuite »
La peur le tenaillait et la sueur coula le long de ses tempes. De quoi avait-il peur ? Yves Modiano
Biaou, « Grand frisson »Tiens cette noix de cola. Tu en croqueras un peu et tu deviendras bel homme: Daniel Atrévi, « le mendiant »
Soumaila, le frère de Moktar, est resté prisonnier des islamistes pour avoir explosé le front à l’un de leurs responsables au cours de la lapidation. Hurcyle Gnonhoué, « étouffé dans le sahel »
Tu redoubleras d’ardeur. Tu dansas, petit ver d’eau solitaire. Tu dansas pendant près d’un quart d’heure, puis soudain tu t’arrêtas. Rodrigue Atchaoué, « Cœur de rasta ».
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Odalisques
Quoi qu’il en soit, ces poèmes me parlent en tant que négation de l’anecdotique ambiant érigé en loi morale jusqu’au sommets les moins soupçonnables.
Extraits de la préface de Camille Adébah Amouro
Voici la génération Antée à laquelle mère Gaia prophétise immortalité, sur terre, et pas seulement. Dans les airs aussi. Ce ne sont que des tigrons. Mais, nom d’une mère, dans leurs griffes, il y a une mer… extrait de la postface de Constantin Amoussou
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L’Os du silence
Une poésie du silence. Des mots sourds-muets qu’on égrène, tels des grains de maïs à la bonne saison. L’écrivain prouve, ici, dans cet ensemble, qu’il est poète avant d’être romancier et nouvelliste.
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Passionné(e) s
C’est l’histoire de ma famille, d’une dynastie me diriez-vous. Intrinsèque. Voilà l’histoire qui coule dans mes veines, l’histoire de mon sang résumé en quelques mots. Une histoire réduite à une goutte de sang éclatant, cramoisi. Une goutte de sang entraperçue entre mes lèvres balbutiantes et à peines formées. Une goutte forçant ma bouche à compter…
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Meurtre à la pendjari
Le corps d’une jeune femme est retrouvé calciné dans le parc de la Pendjari. Tout porte à croire qu’il s’agit d’Anaïs Vezinou, vedette de la chanson et cliente de l’Hôtel du parc. Tout et tous accusent Sylvère Yémalian, son époux. Au même moment, les présidentielles s’annoncent à Cotonou, les tractations pour l’alternance au pouvoir s’annonce âpres. Et ce tragique accident pourrait nuire aux ambitions présidentielles de Stanislas Vézinou, père d’Anaïs, et bouleverser les plans du parti au pouvoir.
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L’ivrogne de la sorbonne
« …En attendant la promesse de l’aube à la Colince de Yann, vous lirez les textes qu’il a rassemblés ici pour nous. Il a un beau style joliment drapé dans un bel humour. J’ai lu chacun des textes avec tendresse pour les personnages, avec reconnaissance envers l’auteur. Colince Yann a du talent. Je vous le recommande » Roger Gbégnonvi
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Eclats de vers
Hey baudelaire
Au cœur des fleurs du mâle,
J’ai pu effleurer
Les sens parfumés de la mienne