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Je connais et je respecte les règles
Un enfant incapable de respecter les règles est un enfant souvent en difficulté. Avec des mots simples et des illustrations attrayantes, ce livre apprend aux enfants les règles de base et leur explique pourquoi elles sont importantes : parce qu’elles les aident à apprendre, à assurer leur sécurité, à se montrer justes et équitables, et à vivre en bonne entente avec les autres. L’objectif est de leur faire découvrir l’aspect positif du sentiment de fierté lié au respect des règles, et non les conséquences négatives de leur non-respect. Conçu pour être lu à haute voix, ce livre inclut un chapitre spécial destiné aux adultes avec des questions autour desquelles engager la discussion, des jeux et des activités de renforcement des compétences sociales.
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Un amour sans lendemain
<<< Quand on referme le recueil de nouvelles de Barbara AKPLOGAN, Un amour sans lendemain, on est poursuivi par des sentiments divers, des sentiments fort contrastés. L’ardente présence de l’amour côtoie le vide abyssal de la mort. La vie, même pleine, reste toujours précaire et la mort, même invisible, n’est jamais absente. >>>
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J’ai vaincu parceque j’ai cru
J’ai décidé de relater l’expérience que j’ai vécue dans une épreuve inattendue qui, loin de m’affaiblir, m’a donné la force d’en parler à visage découvert. Mon intention est d’encourager tous ceux qui font face à des situations délicates. L’échec peut constituer un tremplin qui nous relance. C’est un mécanisme qui nous apprend à mieux faire. Le don de l’échec réside dans la maturation de la personnalité. Quelle que soit l’acuité de l’épreuve à laquelle nous sommes confrontés, il y a lieu de regarder sereinement, dans la foi, l’avenir avec espoir.
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Les draps du passé
Et je crie en silence… Je crie de ce qu’il n’y aura plus entre nous. Je pleure ce souvenir qui n’en restera qu’un. Je pleure notre vie partagée avec d’autres êtres qui nous ont acceptés. Et depuis cette seule fois que nous nous sommes retrouvés, je pleure ! Je crie ce bonheur que nous avons laissé se consumer. Je crie ton nom, la chaleur de tes lèvres, de ta paume, de ton corps. Et je crie en silence. Le silence, c’est le cri de mon âme dont les mots ne dépassent pas mes lèvres… Le silence, c’est le cri de mes larmes étouffées dans les oreillers. Les draps de mes souvenirs se déplient ; et je voudrais repartir en arrière, voir les jours qui défilent, puis m’arrêter un jour de temps clair pour écrire ce temps qui file.
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Un labyrinthe sans issue
Le choix du thème de la corruption, comme on peut le deviner, n’est pas fortuit. Nous sommes en face d’une gangrène, d’un fléau, qui, loin de faiblir, prend de l’ampleur, au fil des années, dans tous les pays d’Afrique. Il s’agit d’un véritable dragon tentaculaire qui affecte et souille tous les domaines de la vie publique. En demandant aux jeunes écrivains de traiter de cette problématique, notre intention est d’exposer cette nécrose à leur appréciation afin qu’ils la flétrissent, la traquent, la dénudent, la mettent sur la place publique comme un mal qu’il faut éradiquer par tous les moyens.
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Talouablé la dévoreuse de livres
Dès sa naissance, Talouablé, une belle fillette, est placée dans un environnement dominé par les livres. Ses parents, soucieux de sa réussite, sont décidés à faire d’elle une grande lectrice. Le résultat, malgré quelques accrocs liés au parcours de tout enfant, est plus que satisfaisant.
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Le piège de la rue
Koffi se retrouve en ville chez son oncle Kouadio. La promesse faite à ses parents de le scolariser n’a pas été tenue. Koffi est traité comme un esclave. Cette situation l’amène à fuquer et il se retrouve dans la rue où il intègre la bande de son ami Brice. Que lui réserve cette nouvelle vie faite d’errance et de larcins ?
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Missiba contre les génies de la forêt & les ruses d’agbafri l’araignée
Jérôme KASSI KOUADIO est né vers 1958 à Tiassalé. De nationalité Ivoirienne, il est statisticien de formation, mais exerçe présentement comme commerçant. Il est père de quatre enfants. Il réside Anonkoi-Kouté dans la commune d’Abobo. Il est écrivain « volontairement en herbe>> avec plusieurs ouvrages inédits à son actif, des romans, des essais, des poèmes, des pensées philosophiques et même une doctrine philosophique (le kassisme), etc. Sais-tu, mon fils, pourquoi les éperviers aiment à tournoyer au-dessous des feux de brousse quand montent les épais nuages de fumées noires ? Pour le savoir, sois sage et écoute attentivement cette très belle histoire que m’avait racontée grand-père lorsque j’avais encore ton âge, ou même un peu moins.
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Akissi Kaako
KOFFI KOFFI est né en 1968 à Kringambo dans la sous-préfecture de Bouaflé. Titulaire d’un D.E.A. de lettres modernes, option littérature orale, il est professeur de lettres de lycée. Il est aussi responsable de l’association Point de lecture qui organise les cafés littéraires en Côte d’Ivoire et Ahoko Kouah’in n’gwa gwa, le Festival Ahoko Kouah’in de contes de Kringambo.
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Takou Bahon
Alexis DJISSO, Djah Toty à l’État civil, est né en 1949. Fonctionnaire de la police nationale de Côte d’Ivoire, il fait valoir ses droits à la retraite depuis 2004. Djisso est une des figures emblématiques du conte en Côte d’Ivoire. De 1983 à 2010, il a animé Mensonge d’un soir, une émission de contes devenue célèbre à la télévision nationale. Les Ivoiriens gardent de cette émission sa formule fameuse : Apa zinibo tīti mati ? Na dé assa! Takou Bahon est son premier livre. Ce conte explique pourquoi les requins sont intolérants avec les hommes.
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La dernière ruse de compère araignée
En 2012, elle publie un roman << LE JARDIN D’ADALOU >> qui fait référance à la vie d’une enfant prise dans les tourments de la guerre. Depuis quelques années, elle est libraire à Abidjan. Si vous donnez le choix à notre ami Araignée, il vous dira qu’il préfère tisser sa toile à l’ombre des habitations, des vérandas et des arbres, mais point dans la fournaise des cuisines où à tout moment l’on risque de se brûler une patte. Il se souvient encore de ce qui est arrivé à son ancêtre, il y a très, très longtemps.
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Dictionnaire Fon- Français
Ce dictionnaire est le fruit du travail de deux missionnaires qui ont passé leur vie au Bénin et de beaucoup de collaborateurs béninois qui ont travaillé avec eux. Le Père Basilio SEGUROLA, (Vitoria, Espagne 1911-1987) commença ce dictionnaire en 1948 et y travailla 26 ans, en même temps qu’il enseignait dans le séminaire de Ouidah.
Le Père Jean RASSINOUX (Grosbreuil, France, 1932) arrive au Bénin en 1967, et, après avoir réalisé un dictionnaire Français – Fon en 1974, entreprend de réviser et compléter le dictionnaire Fon – Français du Père SEGU- ROLA à la fin de son séjour à Sagon (1995-2000).
Dans cette recherche, ils se sont laissés porter par la passion pour une connaissance toujours au service du dialogue et ils ont pris plaisir à un travail long et caché.
Aujourd’hui, c’est nous qui avons la joie de publier ce dictionnaire où le lecteur que vous être peut trouver, dans les vibrations de la langue, la présence vivante des personnes qui ont créé parole et musique propres pour dire la vie du monde et rendre possible et agréable celle des hommes.
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Dictionnaire Français-Fon
Ce dictionnaire a été réalisé par le Père Jean RASSINOUX, missionnaire sma qui a passé la majeure partie de sa vie au Bénin, en pays Fon. Commencé sous forme de lexique en 1969, il a été édité pour la première fois en 1974.
Comme il fallait le rééditer, le Père, achevant de corriger et augmenter le dictionnaire Français-Fon du Père SEGUROLA, a pu bénéficier de ce travail pour parfaire son propre dictionnaire qui reparaît donc profondément enrichi.
Fruit du désir de mieux communiquer et partager avec les personnes du pays Fon, nous nous réjouissons de publier ce dictionnaire qui pourra aider tous ceux qui désirent pareillement rencontrer plus profondément les Fons et mieux découvrir toutes leurs richesses culturelles.
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Notre fille ne se mariera pas !
Une famille de paysans africains s’est saignée aux quatre veines pour permettre à un de ses enfants de poursuivre ses études. Charlotte, après un brillant cursus, trouve un emploi et occupe conséquemment une place centrale dans sa famille : père, mère, oncles, tantes, petits frères… ont tous une foule de projets qu’ils entendent concrétiser grâce à l’argent gagné par Charlotte. Mais, cette manne tombée du ciel pourrait tarir si la jeune femme venait à se marier.
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Trois prétendant… un mari
Dans un contexte africain où le système de la dot semble pousser les jeunes au travail et encourager les vieux à la paresse, Trois prétendants… un mari donne à voir et à méditer sur les implications de cette pratique.
Cette pièce, traduite en plusieurs langues, est devenue un classique du théâtre africain. Elle a été un succès partout où elle a été jouée : en Afrique comme en Europe.
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Le lion et la perle
Le lion et la perle, première de ses pièces de théâtre à paraître en traduction française, est une comédie de mœurs dans la tradition satirique de Molière, cependant parfaitement africaine. La lutte entre l’homme d’action et de sagesse traditionnelle qu’est le chef Barocka et ce petit évolué, l’instituteur Lakounlé, pour posséder cette perle qu’est la jeune et jolie Sidi reflète l’opposition combien actuelle entre les tenants de la tradition et les promoteurs d’un certain modernisme. Le langage poétique et le déroulement dramatique, dans lequel s’insèrent trois grandes des scènes de mime, révèlent un sens accompli du théâtre.
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La secrétaire particulière
Dans la secrétaire particulière, Pliya traduit fidèlement la déception et l’indignation de la grande majorité des Africains face à la misère extrême et aux humiliations des masses rurales, même après les indépendances. Des fonctionnaires véreux se livrent impunément à la pratique des pots-de-vin, du favoritisme, du népotisme, des abus d’autorité, de détournements de mineurs… C’est donc le cri de tous les Africains frustré de leur légitime désir de travailler et de s’épanouir dans une société juste que lance l’auteur de cette pièce.