Auteur : Patrice KOUAKOU
Nbre de pages : 152
Edition : Valesse
3.500CFA
Amoureuse de mon prof est un recueil de sept nouvelles ou l’auteur, observateur, dénonce certaines mœurs déviationnistes qui ont court dans la société. Il veut ainsi participer à l’éveil des consciences.
Auteur : Patrice KOUAKOU
Nbre de pages : 152
Edition : Valesse
SKU: | Val013 |
---|---|
Categories: | Littérature Africaine, Romans Général |
book-author |
---|
Il n'y a pas encore de demandes de renseignements.
Recevez le livre où que vous soyez!
Paiement 100% Sécurisé
Sous 15 jours
Disponible sur WhatsApp
Il est beau talentueux et plein d’avenir. Remarqué par une femme d’affaires installée au Nigéria, le Sultan devient, en un temps record, une vedette de la chanson adulée au Bénin et ailleurs. Mais bien vite, il se laisse séduire par sa productrice, néglige ses amis des premières galères et devient inaccessible. Le pauvre ne sait pas qu’il vient d’entrer dans un engrenage et que la gloire est aussi factice que les flonflons et les sunlights du showbiz. A ses dépens, il l’apprendra…
Ce roman nous entraîne dans le monde de la musique, milieu qui paraît, de prime abord clinquant, mais où la guerre des trachées est aussi impitoyable qu’en politique.
Marius O. Chabi est un globe-trotter et un preneur de risques.
Double champion national de Global Management Challenge, la plus grande compétition virtuelle mondiale de gestion d’entreprises, il a représenté le Bénin et l’Afrique en Chine et en Russie pour des activités sur l’entrepreneuriat et le leadership.
En plus de ses multiples voyages, ce passionné des chiffres, polyglottes et auteur d’articles scientifiques publiés à l’international, est un entrepreneur, leader et amoureux.
Après avoir longtemps séjourné au Bénin, au Sénégal, en Inde, au Rwanda et au Burkina-Faso, il est actuellement le Directeur pour l’Afrique Francophone de l’ONG américaine Innovation for Poverty Action, pour laquelle il gère un portefeuille de plusieurs millions de dollars américains.
Au long des pages, la sensibilité n’est que menue monnaie. Chaque page, chaque paragraphe, chaque phrase presque, met l’accent sur un aspect important de la société sénégalaise, dont les soubassements culturels se trouvent exhumés, expliquant conduites et attitudes. Un grand roman africain est né, et au-delà, une grande romancière.
Délé est revenu à de meilleurs sentiments. Son épouse Hironkè qui lui a fait un beau bébé, semble avoir négocié une trêve avec ses démons intérieurs. La vie, chez les Craig, a retrouvé le parfum enthousiaste des lendemains qui chantent. Mais pas pour longtemps : Hironkè se retrouve du jour au lendemain à l’hôpital avec une grossesse extra-utérine. Pour le médecin traitant, il n’est plus question pour elle d’avoir un autre enfant. Le risque est grand, il en informe le mari d’autant qu’elle a déjà subi deux césariennes.
Pour Délé, les interrogations sur le passé de sa femme refont brusquement jour. Depuis quand elle a subi sa première césarienne ? Aurait-elle eu un enfant avant lui et de qui ? Et si l’enfant existe, qu’est-il devenu ? Et pourquoi garde-t-elle jalousement ce secret ?
De son côté, Délé est dans l’embarras ; il attend un bébé d’une autre femme, une de ses anciennes employées avec il folâtrait. Alors que sa mère s’en réjouit, lui-même se demande si ce n’est pas une erreur de trop. Pendant ce temps, Hironkè attend à la maison et compte patiemment les coups.
Fari, Funmi, Kadara, Rissi, Tobi, cinq personnages trempés dans de sulfureuses intrigues, confrontées chacune à des situations extrêmes où se mêlent visible et invisible, rationnel et irrationnel, naturel et para-naturel et où, sur fond d’humour noir, l’amour côtoie non seulement l e religieux et le sacré mais aussi et surtout l’horreur et la mort.
Je retrouvai mon appartement. Vidé de son contenu, comme un bélier éventré le jour de la Tabaski. Il me restait juste le haut-parleur, qui ornait encore cette pauvre chambre, triste de mes désirs. C’était du moins l’image que je recevais. Mon lit, le matelas, tout le reste était parti dans des bradages commerciaux pour que je puisse prendre ce vol vers le Canada. J’avais dépensé tout l’argent qui m’avait été donné, en plus de ce que j’avais pu réunir de la vente de mes biens. Et là, je revenais bredouille, la tête assaillie par une marée de doutes.
Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde. Jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Évènement dérisoire : le fantasme d’une femme, mais tel est le piège qui fait qu’à l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique.
Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres Françaises, au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme. Sur sa solitude aussi, à quelque climat qu’il appartienne. »
Avec la Naissance de Fa que nous offre ici Mahougnon KAKPO, nous sommes dans ce double contexte. Onze récits révèlent, sous forme de tableaux ou de sketchs, une dimension de la sagesse béninoise, c’est-à-dire le sens, la signification, le pourquoi des choses, l’origine invisible de leur visibilité. Il s’agit notamment d’un ensemble de textes oraux, bien structurés et d’ampleur variée, exposant les origines mythiques du monde, de la vie, de la mort du bien, du mal…
Un d’entre eux nous enseigne une sentence proverbiale placée en exergue, comme pour tous les textes, proclame une parole de Fa : « A force de persévérer, le lépreux se remettra de son mal, l’infirme guérira de son infirmité, comme l’aveugle guérira de sa cécité ».
Vous pouvez sauvegarder votre panier en saisissant votre email 😊